français

L’Alliance

A Violência das Cidades

Auteur(s) : Yves PEDRAZZINI
Pays de parution : Angola, Brésil, Guinée-Bissao, Portugal
Langue(s) : portugais

Traduit du français par Giselle UNTI

L’ouvrage La Violence des villes, paru initialement en 2005 dans la collection francophone « Enjeux Planète », est paru en juin 2006 en portugais.
Coédité par l’éditeur brésilien Vozes, l’angolais Chá de Caxinde et le portugais Campo das Letras, ce livre a reçu un appui de la Fondation Prince Claus pour la culture et le développement.
Après Les batailles de l’eau de Mohammed Larbi Bouguerra, c’est le second titre francophone de la collection « Enjeux Planète » traduit et publié dans la collection lusophone « Questões Mundiais ».

Au Nord comme au Sud, nous aimons les grandes villes, mais nous n’en aimons pas la violence. Une tendance lourde est d’en attribuer les causes aux habitants les plus pauvres, puis d’adopter, pour les combattre, des stratégies sécuritaires : nos sociétés se transforment vite en sociétés de la peur. L’urbanisme, déjà, divise l’espace en forteresses et bidonvilles. On ne peut pas continuer à penser l’urbanisation depuis les commissariats de police : une lecture alternative des phénomènes de violence et d’insécurité urbaines est nécessaire. Elle ne peut se faire qu’en les resituant dans le contexte de la violence de l’urbanisation et de la globalisation. En prenant en compte, aussi, le point de vue des pauvres et en privilégiant, d’entre les pauvres, les « méchants », les outsiders, les illégaux, les bandits, les membres des gangs.
Quand tout paraît fermé, la « vision du pauvre » ouvre des pistes pour une pacification des territoires urbains. Contre l’actuelle dérive sécuritaire, un dialogue créatif s’impose avec ceux que le pouvoir diabolise. Ce livre s’adresse à tous ceux qui cherchent à saisir le sens de la ville, ceux qu’elle effraie et ceux qui l’aiment et ne veulent pas y renoncer, mais également aux habitants des quartiers extrêmes, même s’ils sont pauvres et « méchants », même si la ville les détruit plus qu’elle ne les protège. Pour reconstruire des villes habitables, il faut désobéir aux modèles.

Date de publication : 2006,
188 pages

Collection Enjeux Planète

12 éditeurs francophones traitent de différents thèmes sur les défis de la mondialisation (ressources naturelles, aide au développement, rapports Nord-Sud, etc.). Une collection internationale pour une autre mondialisation : « Enjeux Planète » existe aussi en anglais et en portugais. De brefs essais, porteurs de diagnostics et de propositions, de perspectives d’action, accessibles à un large public. Portant le label « Le Livre équitable », la collection fait l’objet d’accords commerciaux justes et solidaires.

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Water Under Threat

Auteur(s) : Mohamed LARBI BOUGUERRA (dir.)
Pays de parution : Afrique du Sud, Canada, Inde, Malaisie, Royaume-Uni, Thaïlande
Langue(s) : anglais

Traduit du français par Patrick CAMILLER

Ouvrage également disponible en arabe, portugais, espagnol et français.

Cette coédition anglophone vient rejoindre les versions francophone (12 éditeurs), lusophone (5 éditeurs), arabophone (5 éditeurs) et espagnole (1 éditeur). Le livre de Mohamed Larbi Bouguerra est donc aujourd’hui disponible dans 5 langues, et publié dans 29 pays différents.

L’eau est devenue une question politique et géostratégique majeure qui fait l’actualité dans les sommets mondiaux et les forums alternatifs. En fait, cette ressource vitale commande le développement des sociétés humaines. Pour certains, elle est une banale marchandise qui doit générer des profits. Pour d’autres, c’est un bien commun de l’humanité, ayant une charge symbolique exceptionnelle dans toutes les cultures et toutes les religions. L’eau a-t-elle un prix ? L’eau est-elle un droit ou un besoin ? Y a-t-il assez d’eau pour chacun face à la croissance démographique ? Y a-t-il une crise de l’eau ? Y aura-t-il demain des guerres de l’eau ? Les solutions techniques suffiront-elles à juguler la pollution de l’eau ? Cet ouvrage montre que la gestion et les usages de l’eau posent aux hommes des questions essentielles sur leur mode de vie, leur éthique, leur rapport avec la nature et à la biosphère. Il plaide pour une société économe en eau et pour une gestion globale solidaire de l’eau.

Date de publication : 2006,
208 pages

Collection Enjeux Planète

12 éditeurs francophones traitent de différents thèmes sur les défis de la mondialisation (ressources naturelles, aide au développement, rapports Nord-Sud, etc.). Une collection internationale pour une autre mondialisation : « Enjeux Planète » existe aussi en anglais et en portugais. De brefs essais, porteurs de diagnostics et de propositions, de perspectives d’action, accessibles à un large public. Portant le label « Le Livre équitable », la collection fait l’objet d’accords commerciaux justes et solidaires.

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La diplomatie non gouvernementale

Auteur(s) : Henri ROUILLÉ D’ORFEUIL
Pays de parution : Bénin, Cameroun, Canada, France, Gabon, Guinée, Mali, Maroc, Suisse
Langue(s) : français
Prix : 14 €

Comment assurer la survie de la planète et permettre une vie habitable pour tous en son sein ? Comment tenir les objectifs du millénaire pour le développement qui visent à réduire de moitié la pauvreté et la malnutrition à l’horizon 2015 ? La diplomatie des gouvernements, si nécessaire soit-elle, a besoin de l’action des citoyens pour être plus efficace, comme le prouve l’intervention des ONG dans l’espace public mondial. Depuis quinze ans, cette diplomatie non gouvernementale a permis des avancées non négligeables : campagnes d’opinion pour la défense des droits humains, des droits économiques et sociaux, des droits de l’enfant, actions en faveur des agriculteurs familiaux et pour la souveraineté alimentaire, mobilisations pour la protection de l’environnement, l’interdiction des mines antipersonnel, la production des médicaments génériques, l’annulation de la dette des pays pauvres et le lancement de taxes internationales.

Ce livre, qui repose sur une longue expérience des négociations internationales, examine les processus diplomatiques de ces quinze dernières années et propose des clés de lecture aux analystes qui s’intéressent à la construction d’un État de droit international. Il donne aussi des pistes d’action aux responsables d’associations et aux citoyens engagés dans la construction d’une mondialisation soucieuse du respect des droits sociaux et environnementaux. En décrivant l’étonnant pouvoir d’influence des ONG au regard de leurs modestes moyens, Henri Rouillé d’Orfeuil jette les bases d’une participation plus active des citoyens au gouvernement du monde.

Date de publication : 2006

Collection Enjeux Planète

12 éditeurs francophones traitent de différents thèmes sur les défis de la mondialisation (ressources naturelles, aide au développement, rapports Nord-Sud, etc.). Une collection internationale pour une autre mondialisation : « Enjeux Planète » existe aussi en anglais et en portugais. De brefs essais, porteurs de diagnostics et de propositions, de perspectives d’action, accessibles à un large public. Portant le label « Le Livre équitable », la collection fait l’objet d’accords commerciaux justes et solidaires.

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Maman

Auteur(s) : Béatrice LALINON GBADO ; Mamadou Wolid NIANG, Ousseynou SAKHO, Abdoulaye SECK, Ibrahima DIA, Chérif DIOP
Pays de parution : Bénin, Burkina Faso, Côte d’Ivoire, Sénégal, Congo Brazzaville
Langue(s) : français
Prix : 15 euros ; 5 000 FCFA

Ce texte poétique, écrit par Béatrice LALINON GBADO, est un véritable hommage à la femme, un long poème magnifiquement illustré par plusieurs artistes sénégalais travaillant la technique du « sous-verre ».

Date de publication : 2006,
48 pages,
24 X 24 cm

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Festins de la détresse

Auteur(s) : Aminata SOW FALL
Pays de parution : Bénin, Burkina Faso, Cameroun, Côte d’Ivoire, France, Mali, Maroc, Sénégal, Suisse
Langue(s) : français
Prix : 18 €

Chroniques d’une famille et d’une cour, Festins de la détresse, nous plongent au cœur de vies en proie aux absurdités que provoquent les changements économiques et sociaux, trop rapides pour le temps d’une vie humaine. Puisant dans la mémoire complexe du chant africain, Aminata Sow Fall veut « changer la croyance selon laquelle la nourriture et les biens matériels sont seuls nécessaires à la survie, et mettre en évidence l’importance de la créativité et des besoins spirituels. Ils sont même plus importants que les biens matériels, qui ne suffisent pas à fonder la dignité d’un être humain ».

Date de publication : 2005,
160 pages,
14,5 X 22 cm

Collection Terres d’écritures

La collection « Terres d’écritures » accueille des textes de création – populaires, littéraires et poétiques – coédités par des éditeurs au Nord et au Sud. Les coéditions de cette collection portent le label « Le Livre équitable ».

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La maison-monde

Auteur(s) : François-Xavier VERSCHAVE
Pays de parution : Bénin, Burkina Faso, Côte d’Ivoire, France, Gabon, Maroc
Langue(s) : français
Prix : 15 €

Disparu en 1985, Fernand Braudel a révolutionné la façon de concevoir et d’écrire l’histoire. En convoquant les données de la géographie, de l’économie politique et de la sociologie, il a redonné à l’histoire humaine toute l’amplitude de son mouvement. L’oeuvre de Braudel peut-elle ébranler le discours des économistes et des technocrates d’aujourd’hui ? En mettant en avant l’autonomie relative des différents étages de l’économie ainsi que les voies de passage entre eux, son analyse permet de comprendre les processus de domination actuels. Cet ouvrage réactualise le premier livre de F-X Verschave, bien connu pour sa dénonciation des dérives de la coopération internationale.

Date de publication : 2005,
246 pages,
14 X 22 cm

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As Batalhas da Água

Auteur(s) : Mohamed Larbi BOUGUERRA
Pays de parution : Angola, Brésil, Guinée-Bissao, Mozambique, Portugal
Langue(s) : portugais
Prix : 15 €

L’eau est devenue une question politique et géostratégique majeure qui fait l’actualité dans les sommets mondiaux et les forums alternatifs. En fait, cette ressource vitale commande le développement des sociétés humaines. Pour certains, elle est une banale marchandise qui doit générer des profits. Pour d’autres, c’est un bien commun de l’humanité, ayant une charge symbolique exceptionnelle dans toutes les cultures et toutes les religions. L’eau a-t-elle un prix ? L’eau est-elle un droit ou un besoin ? Y a-t-il assez d’eau pour chacun face à la croissance démographique ? Y a-t-il une crise de l’eau ? Y aura-t-il demain des guerres de l’eau ? Les solutions techniques suffiront-elles à juguler la pollution de l’eau ? Cet ouvrage montre que la gestion et les usages de l’eau posent aux hommes des questions essentielles sur leur mode de vie, leur éthique, leur rapport avec la nature et à la biosphère. Il plaide pour une société économe en eau et pour une gestion globale solidaire de l’eau.

Date de publication : 2003,
240 pages

Collection Enjeux Planète

12 éditeurs francophones traitent de différents thèmes sur les défis de la mondialisation (ressources naturelles, aide au développement, rapports Nord-Sud, etc.). Une collection internationale pour une autre mondialisation : « Enjeux Planète » existe aussi en anglais et en portugais. De brefs essais, porteurs de diagnostics et de propositions, de perspectives d’action, accessibles à un large public. Portant le label « Le Livre équitable », la collection fait l’objet d’accords commerciaux justes et solidaires.

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La violence des villes

Auteur(s) : Yves PEDRAZZINI
Pays de parution : Bénin, Cameroun, Canada, Côte d’Ivoire, France, Guinée, Mali, Maroc, Suisse, Tunisie
Langue(s) : français
Prix : 15 €

Au Nord comme au Sud, nous aimons les grandes villes, mais nous n’en aimons pas la violence. Une tendance lourde est d’en attribuer les causes aux habitants les plus pauvres, puis d’adopter, pour les combattre, des stratégies sécuritaires : nos sociétés se transforment vite en sociétés de la peur. L’urbanisme, déjà, divise l’espace en forteresses et bidonvilles. On ne peut pas continuer à penser l’urbanisation depuis les commissariats de police : une lecture alternative des phénomènes de violence et d’insécurité urbaines est nécessaire. Elle ne peut se faire qu’en les resituant dans le contexte de la violence de l’urbanisation et de la globalisation. En prenant en compte, aussi, le point de vue des pauvres et en privilégiant, d’entre les pauvres, les « méchants », les outsiders, les illégaux, les bandits, les membres des gangs.
Quand tout paraît fermé, la « vision du pauvre » ouvre des pistes pour une pacification des territoires urbains. Contre l’actuelle dérive sécuritaire, un dialogue créatif s’impose avec ceux que le pouvoir diabolise.

Ce livre s’adresse à tous ceux qui cherchent à saisir le sens de la ville, ceux qu’elle effraie et ceux qui l’aiment et ne veulent pas y renoncer, mais également aux habitants des quartiers extrêmes, même s’ils sont pauvres et « méchants », même si la ville les détruit plus qu’elle ne les protège. Pour reconstruire des villes habitables, il faut désobéir aux modèles.

Yves Pedrazzini est chercheur au Laboratoire de sociologie urbaine de l’École polytechnique fédérale de Lausanne, en Suisse. Dans le cadre du Programme national de compétences en recherche « Nord-Sud », il coordonne des travaux sur la violence et la sécurité urbaine en Afrique et en Amérique latine.

Date de publication : 2004

Collection Enjeux Planète

12 éditeurs francophones traitent de différents thèmes sur les défis de la mondialisation (ressources naturelles, aide au développement, rapports Nord-Sud, etc.). Une collection internationale pour une autre mondialisation : « Enjeux Planète » existe aussi en anglais et en portugais. De brefs essais, porteurs de diagnostics et de propositions, de perspectives d’action, accessibles à un large public. Portant le label « Le Livre équitable », la collection fait l’objet d’accords commerciaux justes et solidaires.

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Les Déclarations de 2003, 2005 et 2007

La Déclaration de Dakar (décembre 2003) est le texte fondateur de l’Alliance et acte la naissance de l’association. La Déclaration de Guadalajara (octobre 2005) est le fruit d’une rencontre tenue au Mexique, réunissant des éditeurs indépendants du monde latin.
La Déclaration internationale des éditeurs indépendants pour la protection et la promotion de la bibliodiversité (juillet 2007) a été rédigée et signée par les 70 éditeurs présents aux Assises internationales de l’édition indépendante tenues à Paris en 2007.
Ces trois textes, ainsi que la Déclaration internationale des éditrices et éditeurs indépendants de 2014, marquent l’histoire de l’Alliance – ils sont la mémoire et le présent de l’engagement des éditeurs indépendants, leurs textes politiques.

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L’Alliance au Salon du livre de Paris 2009

Pays de parution : France

Du vendredi 13 au mercredi 18 mars 2009, l’Alliance internationale des éditeurs indépendants sera présente au Salon du livre de Paris pour vous présenter :

  • les documents de présentation et d’engagement de l’Alliance ;
  • les titres de la collection « État des lieux de l’édition » ;
  • une sélection de titres jeunesse africains commercialisés par l’Alliance.

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Observatoire de la bibliodiversité

Le mythe de la « famine du livre » dans l’édition africaine, Elizabeth Le Roux, août 2020

Cet article est à retrouver ici, en anglais.

Références de l’article :
The myth of the ‘book famine’ in African publishing, Review of African Political Economy
DOI : 10.1080/03056244.2020.1792872
Elizabeth le Roux (2020)

Résumé de l’article :
L’industrie de l’édition en Afrique est généralement décrite en termes de « pénurie du livre », de « faim » ou de « famine ». Mais ce langage de la rareté reflète-t-il les réalités de la production et de la consommation de livres ? Dans cet article, le concept de « famine du livre » est analysé comme un cadre central du discours sur les livres africains, en utilisant une étude de la documentation existante. Deux manières de répondre à la famine du livre - l’approvisionnement et la production - sont identifiées, et les lacunes du système de dons de livres (l’approvisionnement) sont mises en contraste avec le renforcement des industries locales de l’édition (production). L’article fait valoir que le concept est devenu un cliché qui n’est plus pertinent et que l’édition africaine, bien que variable, répond aux besoins locaux.

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Être éditeur au Maroc : la pensée au triple défi du marché, du droit et des libertés, par Kenza Sefrioui, revue RELIEF, 2020

« Être éditeur au Maroc : la pensée au triple défi du marché, du droit et des libertés »
Kenza Sefrioui (En toutes lettres, Maroc)

Résumé :
Au Maroc, le métier d’éditeur est rendu très difficile par la conjonction entre le non développement économique du secteur et une longue histoire d’hostilité au monde intellectuel qui a abouti à la déstructuration des champs du savoir et de la culture. L’expérience d’En toutes lettres, jeune maison d’édition indépendante basée à Casablanca et spécialisée dans l’essai journalistique et en sciences humaines, témoigne de la nécessité de relever le triple défi du marché, du droit et des libertés et d’inventer de nouvelles solidarités entre édition, presse, recherche et société civile, pour reconstituer un pôle de production d’une pensée critique.

Lire l’article complet ici.

RELIEF – Revue électronique de littérature française 14 (1), 2020, p. 32-48
DOI : doi.org/10.18352/relief.1065
ISSN : 1873-5045 – URL : www.revue-relief.org

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Le manga en Afrique francophone (part. 2)

Christophe Cassiau-Haurie passe en revue les créations africaines de manga francophone. Le genre est en plein expansion et donne un nouveau souffle au monde de l’édition.

Lire la partie 2 consacrée à l’Afrique centrale et océanique, publiée par Africultures en juin 2020.

Lire ici la partie 1 consacrée au Maghreb et l’Afrique de l’Ouest (Africultures, juin 2020).

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Le manga en Afrique francophone (part. 1)

Christophe Cassiau-Haurie passe ici en revue les créations africaines de manga francophone. Le genre est en plein expansion et donne un nouveau souffle au monde de l’édition.

Lire la partie 1 consacrée au Maghreb et l’Afrique de l’Ouest, publiée par Africultures en juin 2020.

Lire la partie 2 consacrée à l’Afrique centrale et océanique (Africultures, juin 2020).

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RDC année 2020, quand la BD alternative devient la norme (part. 2)

La 6è édition du Salon Africain de la Bande Dessinée et de l’Autre Muzik s’est déroulée à Kinshasa du 10 au 14 décembre 2019. Dans un contexte où la République Démocratique du Congo est un pays encore très insuffisamment pourvu en librairies et où les maisons d’édition restent peu intéressées par le genre, le SABDAM a révélé de nombreuses surprises…

Lire l’article intégral : « RDC année 2020, quand la BD alternative devient la norme (part. 2) », par Christophe Cassiau-Haurie, publié par Africultures le 25 mai 2020.

Retrouver ici la partie 1 de l’article.

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RDC année 2020, quand la BD alternative devient la norme (part.1)

La 6è édition du Salon Africain de la Bande Dessinée et de l’Autre Muzik s’est déroulée à Kinshasa du 10 au 14 décembre 2019. Dans un contexte où la République Démocratique du Congo est un pays encore très insuffisamment pourvu en librairies et où les maisons d’édition restent peu intéressées par le genre, le SABDAM a révélé de nombreuses surprises…

Lire l’article intégral : « RDC année 2020, quand la BD alternative devient la norme (part. 1) », par Christophe Cassiau-Haurie, publié par Africultures le 21 mai 2020.

Retrouver ici la partie 2 de l’article.

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Que dire, et où le dire ? : lettre ouverte des éditrices et éditeurs indépendant.e.s aux autrices, auteurs et intellectuel.le.s engagé.e.s pour un monde plus juste

« Alors que nous sommes entrés dans le XXIe siècle, il est difficile de dissocier la fin des moyens : que dire, et où le dire ? Ainsi, nous constatons que beaucoup d’idées et d’écrits cherchant à promouvoir le débat, la création et la pensée critique, la justice et l’égalité sont publiés dans des grands conglomérats aux multiples labels éditoriaux. Le pouvoir transformateur de ces œuvres n’est-il pas réduit à néant lorsqu’elles plongent dans les rouages de l’industrie du divertissement ? C’est un fait, les sociétés transnationales, quel que soit leur domaine d’action, sont l’expression même du système qui nous domine. Les choisir comme maisons d’édition, n’est-ce pas, d’une manière ou d’une autre, laisser le monde des idées transformatrices aux mains de ceux qui jettent les bases du modèle que nous critiquons ? N’est-ce pas renforcer le contrôle du grand capital sur la parole et notre vie quotidienne ? Par ailleurs, comment ne pas s’interroger sur les investissements croisés des groupes d’entreprises qui possèdent les maisons d’édition ? Et, ces croisements sont-ils neutres ? »

Dans cette lettre ouverte, les éditrices et éditeurs indépendant.e.s proposent à l’ensemble des acteurs du livre de réfléchir avec elles et eux à leurs pratiques, et aux impacts qui en découlent. Elles et ils appellent notamment les auteurs, les universitaires et les intellectuels à travailler pour des projets dont la vocation est de transformer l’ordre des choses et non de le consolider, à publier leurs œuvres dans les maisons d’édition indépendantes de leur pays, et à privilégier également des maisons d’édition indépendantes lorsqu’il s’agit de céder les droits étrangers et de traduction.

Alors que le monde entier subit les conséquences sanitaires, sociales, économiques de la pandémie, les écosystèmes du livre et les maisons d’édition indépendantes sont davantage fragilisées, et pour certaines, tentent de survivre. Si la solidarité entre les créateurs et les professionnels du livre est un des fondements pour la bibliodiversité, cette solidarité s’avère vitale dans le contexte actuel.

Lire la lettre ici.
Cette lettre est également disponible en espagnol, anglais, arabe et portugais.

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« ’It’s a real battle’ : African authors fight for publishing independence », The Guardian, mai 2020

“Francophone African books are still very often published by French imprints, which can make them hard to get at home. But there is a growing push for change...

When Cameroonian author Daniel Alain Nsegbe first saw his debut novel for sale in his home city of Douala, the price was so high “you would have to ask someone to stop eating for two days in order to buy the book”. It was around 16,000 CFA francs (£20) ; the average monthly salary in Douala is £150. The book, Ceux qui sortent dans la nuit (Those Who Go Out at Night) was published by Grasset, a French imprint [...]”

Lire ici l’article d’Olivia Snaije, publié dans The Guardian, 14 mai 2020.

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Cartographie des politiques publiques du livre en Amérique latine et en Afrique subsaharienne et Madagascar

Un panorama inédit des politiques de soutien à la lecture et au livre dans 22 pays, consultable et téléchargeable en ligne : politiquespubliqueslivre.alliance-editeurs.org

Né du constat de l’absence de données sur les politiques publiques du livre dans les zones où exercent les éditrices et éditeurs membres de l’Alliance, particulièrement en Amérique latine et en Afrique subsaharienne, le projet de cartographie des politiques publiques est le fruit de plusieurs années de travail entre professionnel.le.s du livre et de l’édition, universitaires et expert.e.s des politiques publiques du livre. Il repose avant toute chose sur l’investissement et l’implication des éditrices et éditeurs membres de l’Alliance, qui en sont les acteurs premiers. Il est un des projets phares de l’Observatoire de la bibliodiversité.

La cartographie propose plusieurs entrées : une entrée par pays (fiche pays recensant les dispositifs existants en matière de soutien public au livre à l’échelle nationale) ; une entrée par thématique (régulation du marché, taxes, accords internationaux, aides à la création et à l’édition, etc.) ; une entrée régionale (données comparées à travers des analyses transversales).
La cartographie est interactive et évolutive : les fiches présentant les institutions et les politiques publiques nationales pour le livre peuvent faire l’objet d’amendements et de modifications au fil des évolutions des dispositifs. Cette cartographie a ainsi vocation à s’élargir à de nouveaux pays des deux régions, voire à intégrer une nouvelle région à terme (le monde arabe notamment).

La cartographie a pour objectifs de :
• mettre à disposition des données sur les politiques publiques du livre des pays concernés ;
• proposer des panoramas des politiques publiques du livre, libres d’accès, consultables et réutilisables par les professionnel.le.s et les pouvoirs publics ;
• favoriser le dialogue et les échanges entre les pouvoirs publics et les éditeurs ;
• développer des outils de plaidoyer pour les éditeurs indépendants ;
• contribuer à la mise en place et à la consolidation de politiques publiques du livre dans les pays en développement (entre autres pour une plus grande circulation des livres et des idées, pour une appropriation des outils numériques par les professionnels du livre, pour des échanges équilibrés entre le Nord et le Sud…) ;
• affirmer le rôle de la société civile (professionnels du livre et particulièrement éditeurs indépendants) dans l’élaboration et la mise en œuvre de politiques publiques du livre.

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L’Alliance remercie chaleureusement les partenaires de ce projet : la Fondation de France et la DDC Suisse.

Voir en complément le numéro « Politiques publiques du livre » de la revue Bibliodiversity.

Revue de presse

Pour toute question, n’hésitez pas à écrire à l’équipe de l’Alliance : equipe@alliance-editeurs.org

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