français

L’Alliance

FILDAK 2005 - Foire Internationale du Livre et du Matériel Didactique de Dakar (Sénégal)

Pays de parution : Sénégal

L’Alliance des éditeurs indépendants et l’Association Internationale des Libraires Francophones (AILF) ont tenu conjointement à la Foire Internationale du Livre et du matériel didactique de Dakar (Sénégal), un stand de présentation de leurs activités. À cette occasion, l’Alliance a lancée une étude sur l’édition en langues africaines, sous la direction de Jean-Claude Naba (éditions Sankofa & Gurli au Burkina Faso), avec l’appui de Karine Lewkowicz.

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Salon du livre et de la presse jeunesse, Montreuil, 2005

Pays de parution : France


L’Alliance des éditeurs indépendants a été invitée au Salon du livre et de la presse jeunesse de Seine-Saint-Denis, du 30 novembre au 5 décembre, sur le stand d’Afrilivres. Béatrice Lalinon-Gbado, présidente de l’association panafricaine et, par ailleurs, éditrice jeunesse au Bénin (Ruisseaux d’Afrique) et également auteur de l’ouvrage “Maman“, sélectionné pour participer au Prix Baobab, a eu le plaisir de vous y rencontrer.
Par ailleurs, la LIBRE, Ligue brésilienne des éditeurs, partenaire de l’Alliance, fut représentée au Salon par la maison d’édition Maco.


Site officiel du Salon

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Rencontre des éditeurs arabophones, Beyrouth, 2005

Pays de parution : Liban

La rencontre des éditeurs de langue arabe s’est tenue à Beyrouth, les 11 et 12 décembre 2005, et a réuni les éditeurs du Liban (Dar Al Farabi et Intishar), du Maroc (Toubkal), d’Algérie (Thala), de Tunisie (Med Ali), de Libye (Tala) et de Jordanie (Dar Al Shoruk). Les éditeurs ont également participé au Salon du livre arabophone de Beyrouth.

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L’Alliance au Centre Georges Pompidou

Pays de parution : France

L’Alliance des éditeurs indépendants participe le 10 octobre 2005, au Centre Georges Pompidou (Paris), à 19h, à un débat sur la bibliodiversité et les conditions d’existence du livre de création en France et ailleurs.
Cette rencontre, organisée par Littératures Pirates Korporation (LPK, voir www.litteraturespirates.org) s’inscrit dans le cadre de Lire en Fête.

Hélène Clémente d’Inextenso (diffuseur de petits éditeurs d’art contemporain : www.inextensodiffusion.com), Claire Mathon (LPK), Philippe Magnani (Paris Musées Diffusion), Jérôme Saliou (librarie Alphagraph, Rennes) et Étienne Galliand (Alliance des éditeurs indépendants) débattront des pratiques qui visent à défendre la diversité de l’édition indépendante. Ici et ailleurs, la question est plus que jamais d’actualité : comment valoriser la bibliodiversité ?

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Rencontre du réseau lusophone, septembre 2005

Pays de parution : Brésil

La rencontre du réseau lusophone de l’Alliance des éditeurs indépendants s’est tenue à Rio de Janeiro, les 14 et 15 septembre 2005, et a réuni les éditeurs d’Angola (Cha de Caxinde), de Guinée Bissao (Ku Si Mon), de Portugal (Campo das Letras), de Mozambique (Moçambique editora) et du Brésil (Vozes et Pallas). Ces éditeurs du Brésil, du Portugal et d’Afrique lusophone ont également participé à la Primavera dos Livros de Rio de Janeiro, foire du livre organisée par les éditeurs brésiliens du réseau LIBRE.

Les documents suivants sont disponibles auprès de l’Alliance :

1) Le rapport de la rencontre du réseau lusophone de l’Alliance des éditeurs indépendants (Rio de Janeiro, 14 et 15 septembre) ;

2) La participation à la Primavera dos Livros (Rio de Janeiro, 16-19 septembre) ;

3) Les projets 2004-2005 (Année du Brésil en France, Biennale de Rio, Bibliothèque Nationale) ;

4) L’annuaire des participants et autres contacts.

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Survie en deuil

L’Alliance des éditeurs indépendants s’associe à Survie pour vous faire part du décès de François-Xavier Verschave, survenu le 29 juin 2005.
« Fondateur de l’association Survie, qu’il présidait depuis 1995, il fut, 20 ans durant, en notre sein, ce qu’aucun qualificatif ne pourrait exprimer, au-delà des qualités et de la pertinence avec lesquelles il menait notre combat collectif. Il a défini lui même ce combat comme étant celui d’abord de ne pas nuire à autrui, et en particulier aux peuples africains. Emporté par un cancer que la meilleure des médecines n’a pu enrayer, sa disparition nous laisse dans l’incapacité de trouver les mots pour dire ce que nous avons au fond du cœur. Elle nous laisse, cependant, avec l’exemple que François-Xavier nous lègue : celui de ne point baisser les bras dans un combat pour que la vérité, la justice, l’équité, soient les maîtres mots dans la conduite des affaires humaines. À celui qui n’a jamais flanché devant la difficulté, jamais perdu l’espoir de « donner valeur de loi au devoir de sauver les vivants », nous devons de puiser en nous la force de poursuivre l’œuvre. Nous nous y engageons. » Association Survie.

François-Xavier Verschave est notamment l’auteur de La Maison Monde, publié par 6 éditeurs membres de l’Alliance. Nous sommes tous particulièrement touchés par cette disparition.

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Il est arrivé ! Catalogue 2005 des éditeurs francophones

À l’occasion du Salon du livre de Genève (du 27 avril au 1er mai 2005), l’Alliance des éditeurs indépendants présente et diffuse pour la première fois le Catalogue 2005 des éditeurs francophones (également consultable en ligne).

Vous y trouverez :

• une présentation de chacune des 28 maisons d’édition, couvrant tout l’espace francophone (du Mali au Québec en passant par la France) ;

• une sélection de titres représentatifs du travail de chaque éditeur, soit plus d’une centaine de titres ;

• un accès par genre, titre, auteur, éditeur ;

• des informations et coordonnées permettant de commander les ouvrages, qui que vous soyez, où que vous soyez !

Afin de faciliter les échanges d’informations entre les professionnels du livre (cessions de droits, traductions), cet outil inédit se décline aujourd’hui en deux langues : français et anglais.

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L’Ombre d’Imana, un texte enfin accessible pour tous

Pays de parution : Côte d’Ivoire, Rwanda

L’Alliance des éditeurs indépendants a voulu rendre disponible en Afrique un texte magnifique et subtil, traitant du Rwanda, écrit par Véronique Tadjo – auteure Ivoirienne –, publié originellement en France uniquement, par les éditions Actes Sud. L’Ombre d’Imana est aujourd’hui simultanément rendu disponible, par le jeu de la coédition, dans 8 pays africains : Côte d’Ivoire, Bénin, Tunisie, Cameroun, Gabon, Burkina Faso, Sénégal, Rwanda. Cette initiative, qui a reçu le soutien enthousiaste de l’auteure, de l’éditeur français et des coéditeurs africains, pourrait bien être reproduite à l’avenir - peut-être dans le cadre d’une collection ambitieuse. En effet, ne s’agit-il pas de favoriser la circulation d’un texte dans l’espace francophone, de renforcer la solidarité entre les éditeurs des pays du Nord et du Sud, de soutenir des maisons d’édition locales, de promouvoir enfin la lecture ? Le prix de vente maximal convenu est de 1 500 FCFA (soit 3,7 dinars tunisiens et 2,3 €), afin de rendre l’ouvrage le plus abordable possible pour les lecteurs africains.
Pour que ce projet voit le jour, les éditions Actes Sud ont accepté de céder les droits d’exploitation du texte à un tarif très avantageux. Par ailleurs, RFI, notre partenaire média sur cette opération, diffuse en ce moment même sur ses antennes africaines, et pendant 15 jours, une campagne de 45 messages annonçant la sortie du livre.
Devant l’extraordinaire enthousiasme que soulève cette opération – réalisable pourtant dès lors que sont réunies quelques conditions de base –, les acteurs de cette coédition lancent un appel aux auteurs, aux éditeurs français et africains, aux institutions francophones pour que soient soutenus ces projets de coédition permettant aux textes africains d’être accessibles pour tous. Pour que la bibliodiversité soit réellement au cœur de l’espace francophone.

Retrouvez L’Ombre d’Imana sur les sites de nos partenaires, Actes Sud et RFI

Villedetunis.com, Familiaclick.com et Bebelmed.net en parle...

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Le catalogue Afrilivres

Recensant plus de 1 300 titres publiés par 54 éditeurs africains, un outil indispensable pour les professionnels du livre.

Pour commander le catalogue Afrilivres.

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Rencontre du réseau anglophone à Londres, mars 2005

Pays de parution : Royaume-Uni

Les membres du réseau anglophone de l’Alliance des éditeurs indépendants se réunissent avant la Foire du livre de Londres (http://www.lbf-virtual.com), du 10 au 13 mars 2005.
Les participants viennent d’Australie, du Canada, du Royaume Uni, d’Inde, d’Indonésie, du Kenya, d’Afrique du Sud, de Tanzanie, de Turquie, de l’Ouganda, des États-Unis d’Amérique, et du Zimbabwe. Ils envisageront la mise en place de projets de coédition et exploreront des pistes possible pour une stratégie de développement et de fonctionnement du réseau.

Cette rencontre a été organisée en collaboration avec African Books Collective, INASP, et SABDET.

Un cocktail sera organisé conjointement par ces organisations, le 13 mars 2005 au Centre International du British Council, à 17h. Nous espérons vous y rencontrer.

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Observatoire de la bibliodiversité

Le mythe de la « famine du livre » dans l’édition africaine, Elizabeth Le Roux, août 2020

Cet article est à retrouver ici, en anglais.

Références de l’article :
The myth of the ‘book famine’ in African publishing, Review of African Political Economy
DOI : 10.1080/03056244.2020.1792872
Elizabeth le Roux (2020)

Résumé de l’article :
L’industrie de l’édition en Afrique est généralement décrite en termes de « pénurie du livre », de « faim » ou de « famine ». Mais ce langage de la rareté reflète-t-il les réalités de la production et de la consommation de livres ? Dans cet article, le concept de « famine du livre » est analysé comme un cadre central du discours sur les livres africains, en utilisant une étude de la documentation existante. Deux manières de répondre à la famine du livre - l’approvisionnement et la production - sont identifiées, et les lacunes du système de dons de livres (l’approvisionnement) sont mises en contraste avec le renforcement des industries locales de l’édition (production). L’article fait valoir que le concept est devenu un cliché qui n’est plus pertinent et que l’édition africaine, bien que variable, répond aux besoins locaux.

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Être éditeur au Maroc : la pensée au triple défi du marché, du droit et des libertés, par Kenza Sefrioui, revue RELIEF, 2020

« Être éditeur au Maroc : la pensée au triple défi du marché, du droit et des libertés »
Kenza Sefrioui (En toutes lettres, Maroc)

Résumé :
Au Maroc, le métier d’éditeur est rendu très difficile par la conjonction entre le non développement économique du secteur et une longue histoire d’hostilité au monde intellectuel qui a abouti à la déstructuration des champs du savoir et de la culture. L’expérience d’En toutes lettres, jeune maison d’édition indépendante basée à Casablanca et spécialisée dans l’essai journalistique et en sciences humaines, témoigne de la nécessité de relever le triple défi du marché, du droit et des libertés et d’inventer de nouvelles solidarités entre édition, presse, recherche et société civile, pour reconstituer un pôle de production d’une pensée critique.

Lire l’article complet ici.

RELIEF – Revue électronique de littérature française 14 (1), 2020, p. 32-48
DOI : doi.org/10.18352/relief.1065
ISSN : 1873-5045 – URL : www.revue-relief.org

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Le manga en Afrique francophone (part. 2)

Christophe Cassiau-Haurie passe en revue les créations africaines de manga francophone. Le genre est en plein expansion et donne un nouveau souffle au monde de l’édition.

Lire la partie 2 consacrée à l’Afrique centrale et océanique, publiée par Africultures en juin 2020.

Lire ici la partie 1 consacrée au Maghreb et l’Afrique de l’Ouest (Africultures, juin 2020).

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Le manga en Afrique francophone (part. 1)

Christophe Cassiau-Haurie passe ici en revue les créations africaines de manga francophone. Le genre est en plein expansion et donne un nouveau souffle au monde de l’édition.

Lire la partie 1 consacrée au Maghreb et l’Afrique de l’Ouest, publiée par Africultures en juin 2020.

Lire la partie 2 consacrée à l’Afrique centrale et océanique (Africultures, juin 2020).

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RDC année 2020, quand la BD alternative devient la norme (part. 2)

La 6è édition du Salon Africain de la Bande Dessinée et de l’Autre Muzik s’est déroulée à Kinshasa du 10 au 14 décembre 2019. Dans un contexte où la République Démocratique du Congo est un pays encore très insuffisamment pourvu en librairies et où les maisons d’édition restent peu intéressées par le genre, le SABDAM a révélé de nombreuses surprises…

Lire l’article intégral : « RDC année 2020, quand la BD alternative devient la norme (part. 2) », par Christophe Cassiau-Haurie, publié par Africultures le 25 mai 2020.

Retrouver ici la partie 1 de l’article.

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RDC année 2020, quand la BD alternative devient la norme (part.1)

La 6è édition du Salon Africain de la Bande Dessinée et de l’Autre Muzik s’est déroulée à Kinshasa du 10 au 14 décembre 2019. Dans un contexte où la République Démocratique du Congo est un pays encore très insuffisamment pourvu en librairies et où les maisons d’édition restent peu intéressées par le genre, le SABDAM a révélé de nombreuses surprises…

Lire l’article intégral : « RDC année 2020, quand la BD alternative devient la norme (part. 1) », par Christophe Cassiau-Haurie, publié par Africultures le 21 mai 2020.

Retrouver ici la partie 2 de l’article.

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Que dire, et où le dire ? : lettre ouverte des éditrices et éditeurs indépendant.e.s aux autrices, auteurs et intellectuel.le.s engagé.e.s pour un monde plus juste

« Alors que nous sommes entrés dans le XXIe siècle, il est difficile de dissocier la fin des moyens : que dire, et où le dire ? Ainsi, nous constatons que beaucoup d’idées et d’écrits cherchant à promouvoir le débat, la création et la pensée critique, la justice et l’égalité sont publiés dans des grands conglomérats aux multiples labels éditoriaux. Le pouvoir transformateur de ces œuvres n’est-il pas réduit à néant lorsqu’elles plongent dans les rouages de l’industrie du divertissement ? C’est un fait, les sociétés transnationales, quel que soit leur domaine d’action, sont l’expression même du système qui nous domine. Les choisir comme maisons d’édition, n’est-ce pas, d’une manière ou d’une autre, laisser le monde des idées transformatrices aux mains de ceux qui jettent les bases du modèle que nous critiquons ? N’est-ce pas renforcer le contrôle du grand capital sur la parole et notre vie quotidienne ? Par ailleurs, comment ne pas s’interroger sur les investissements croisés des groupes d’entreprises qui possèdent les maisons d’édition ? Et, ces croisements sont-ils neutres ? »

Dans cette lettre ouverte, les éditrices et éditeurs indépendant.e.s proposent à l’ensemble des acteurs du livre de réfléchir avec elles et eux à leurs pratiques, et aux impacts qui en découlent. Elles et ils appellent notamment les auteurs, les universitaires et les intellectuels à travailler pour des projets dont la vocation est de transformer l’ordre des choses et non de le consolider, à publier leurs œuvres dans les maisons d’édition indépendantes de leur pays, et à privilégier également des maisons d’édition indépendantes lorsqu’il s’agit de céder les droits étrangers et de traduction.

Alors que le monde entier subit les conséquences sanitaires, sociales, économiques de la pandémie, les écosystèmes du livre et les maisons d’édition indépendantes sont davantage fragilisées, et pour certaines, tentent de survivre. Si la solidarité entre les créateurs et les professionnels du livre est un des fondements pour la bibliodiversité, cette solidarité s’avère vitale dans le contexte actuel.

Lire la lettre ici.
Cette lettre est également disponible en espagnol, anglais, arabe et portugais.

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« ’It’s a real battle’ : African authors fight for publishing independence », The Guardian, mai 2020

“Francophone African books are still very often published by French imprints, which can make them hard to get at home. But there is a growing push for change...

When Cameroonian author Daniel Alain Nsegbe first saw his debut novel for sale in his home city of Douala, the price was so high “you would have to ask someone to stop eating for two days in order to buy the book”. It was around 16,000 CFA francs (£20) ; the average monthly salary in Douala is £150. The book, Ceux qui sortent dans la nuit (Those Who Go Out at Night) was published by Grasset, a French imprint [...]”

Lire ici l’article d’Olivia Snaije, publié dans The Guardian, 14 mai 2020.

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Cartographie des politiques publiques du livre en Amérique latine et en Afrique subsaharienne et Madagascar

Un panorama inédit des politiques de soutien à la lecture et au livre dans 22 pays, consultable et téléchargeable en ligne : politiquespubliqueslivre.alliance-editeurs.org

Né du constat de l’absence de données sur les politiques publiques du livre dans les zones où exercent les éditrices et éditeurs membres de l’Alliance, particulièrement en Amérique latine et en Afrique subsaharienne, le projet de cartographie des politiques publiques est le fruit de plusieurs années de travail entre professionnel.le.s du livre et de l’édition, universitaires et expert.e.s des politiques publiques du livre. Il repose avant toute chose sur l’investissement et l’implication des éditrices et éditeurs membres de l’Alliance, qui en sont les acteurs premiers. Il est un des projets phares de l’Observatoire de la bibliodiversité.

La cartographie propose plusieurs entrées : une entrée par pays (fiche pays recensant les dispositifs existants en matière de soutien public au livre à l’échelle nationale) ; une entrée par thématique (régulation du marché, taxes, accords internationaux, aides à la création et à l’édition, etc.) ; une entrée régionale (données comparées à travers des analyses transversales).
La cartographie est interactive et évolutive : les fiches présentant les institutions et les politiques publiques nationales pour le livre peuvent faire l’objet d’amendements et de modifications au fil des évolutions des dispositifs. Cette cartographie a ainsi vocation à s’élargir à de nouveaux pays des deux régions, voire à intégrer une nouvelle région à terme (le monde arabe notamment).

La cartographie a pour objectifs de :
• mettre à disposition des données sur les politiques publiques du livre des pays concernés ;
• proposer des panoramas des politiques publiques du livre, libres d’accès, consultables et réutilisables par les professionnel.le.s et les pouvoirs publics ;
• favoriser le dialogue et les échanges entre les pouvoirs publics et les éditeurs ;
• développer des outils de plaidoyer pour les éditeurs indépendants ;
• contribuer à la mise en place et à la consolidation de politiques publiques du livre dans les pays en développement (entre autres pour une plus grande circulation des livres et des idées, pour une appropriation des outils numériques par les professionnels du livre, pour des échanges équilibrés entre le Nord et le Sud…) ;
• affirmer le rôle de la société civile (professionnels du livre et particulièrement éditeurs indépendants) dans l’élaboration et la mise en œuvre de politiques publiques du livre.

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L’Alliance remercie chaleureusement les partenaires de ce projet : la Fondation de France et la DDC Suisse.

Voir en complément le numéro « Politiques publiques du livre » de la revue Bibliodiversity.

Revue de presse

Pour toute question, n’hésitez pas à écrire à l’équipe de l’Alliance : equipe@alliance-editeurs.org

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