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L’Alliance

Terra viva. My Life in a Biodiversity of Movements

Auteur(s) : Vandana SHIVA
Pays de parution : Argentine, Australie, Brésil, Chili, Égypte, Espagne, France, Grèce, Inde, Indonésie, Iran, Pays-Bas, Royaume-Uni, Syrie, Tunisie

Depuis les forêts himalayennes de son enfance jusqu’aux tribunes de l’ONU, Vandana Shiva offre pour la première fois le récit de son combat pour la vie et pour la Terre. Dans une écriture à la fois sensible et rebelle, elle revient sur près de cinquante années de lutte contre la déforestation et contre l’accaparement de l’eau et des semences.
Défenseuse infatigable de l’autonomie alimentaire, des connaissances indigènes et de la démocratie directe, elle établit par ses actes et sa pensée les liens entre crise écologique, patriarcat et capitalisme.
Lutte contre les OGM, catastrophe de Bhopal, mouvement Chipko : ces Mémoires terrestres nous font retraverser un demi-siècle de résistances planétaires en faveur de l’écologie et de la Terre-Mère. Par son destin hors du commun, la militante indienne incarne l’idée, aux côtés de tant d’autres, que les femmes sont « les véritables gardiennes des connaissances liées à la biodiversité ».
Vandana Shiva s’impose ici comme une héritière des luttes menées par Gandhi et Rachel Carson.
© Rue de l’échiquier

Première édition par deux membres de l’Alliance, Women Unlimited (Inde) et Spinifex (Australie).

Traductions et coéditions de Terra viva par des membres de l’Alliance :

  • Wildproject et Rue de l’échiquier (France), 2023
  • Boitempo (Brésil), 2024
  • Marjin Kiri (Indonésie), 2024
  • Continta Me Tienes (Espagne), LOM Ediciones (Chili) et Econautas Editorial (Argentine) pour une coédition en Espagne et en Amérique latine, 2024
  • Atlas Publishing (Syrie), Med Ali (Tunisie), Sefsafa Publishing (Égypte) et Mamdouh Adwan Publishing (Syrie) pour une coédition dans le monde arabe - en cours
  • Nogaam Publishing (Royaume-Uni/Iran) et Dena Books (Pays-Bas/Iran) pour une coédition en persan - en cours
  • Vakxikon Publications (Grèce) - en cours

Plusieurs de ces traductions ont bénéficié du soutien de la Fondation Jan Michalski.

Vandana Shiva est l’une des ambassadrices de la bibliodiversité de l’Alliance. Écoutez ici le replay de la table ronde avec Vandana Shiva lors de Babelica 2023.

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Rencontre du Comité international de l’édition indépendante (CIEI), 22-24 octobre 2024

Les coordinateur·rices des réseaux linguistiques de l’Alliance, réuni·es en un Comité international de l’édition indépendante (CIEI), se réunissent à Paris du 22 au 24 octobre prochain pour la réunion annuelle de gouvernance et de fonctionnement de l’Alliance.

Voir la liste des 12 membres (Afrique du Sud, Algérie, Brésil, Chili, Équateur, Indonésie, Haïti, Madagascar, Portugal, Royaume-Uni/Iran, Syrie, Togo) du CIEI.

Consulter le programme ici.

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Babelica 2024 - REPLAY

Les replay de Babelica 2024 sont en ligne sur la plateforme Babelica et sur la chaîne YouTube de l’Alliance !

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Ouverture du salon du livre Babelica le 19 septembre 2024 !

Dès le 19 septembre, les livres de cette édition 2024 du salon Babelica seront dévoilés : plus de 90 maisons d’édition représentées dans 53 pays dans le monde.

Un foisonnement de livres en littérature, sciences humaines et jeunesse à découvrir ici (et des filtres pour vous aider à affiner vos recherches, par langue, par genre littéraire, par pays).

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Babelica 2024, 20-21 septembre : le programme est disponible !

L’édition 2024 de Babelica se déroulera les 20 et 21 septembre, le 21 septembre étant la Journée internationale de la bibliodiversité.

Le programme de Babelica est en ligne ici !

Le salon du livre Babelica est disponible en ligne tout au long de l’année, retrouvez ici les livres présentés pendant l’édition 2023 de Babelica. Les livres présentés pour l’édition 2024 de Babelica seront dévoilés le 19 septembre prochain.

Pour visionner les discussions et débats de Babelica 2023, c’est ici.

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Terra viva. My Life in a Biodiversity of Movements, Vandana Shiva

Depuis les forêts himalayennes de son enfance jusqu’aux tribunes de l’ONU, Vandana Shiva offre pour la première fois le récit de son combat pour la vie et pour la Terre. Dans une écriture à la fois sensible et rebelle, elle revient sur près de cinquante années de lutte contre la déforestation et contre l’accaparement de l’eau et des semences.
Défenseuse infatigable de l’autonomie alimentaire, des connaissances indigènes et de la démocratie directe, elle établit par ses actes et sa pensée les liens entre crise écologique, patriarcat et capitalisme.
Lutte contre les OGM, catastrophe de Bhopal, mouvement Chipko : ces Mémoires terrestres nous font retraverser un demi-siècle de résistances planétaires en faveur de l’écologie et de la Terre-Mère. Par son destin hors du commun, la militante indienne incarne l’idée, aux côtés de tant d’autres, que les femmes sont « les véritables gardiennes des connaissances liées à la biodiversité ».
Vandana Shiva s’impose ici comme une héritière des luttes menées par Gandhi et Rachel Carson.
© Rue de l’échiquier

Première édition par deux membres de l’Alliance, Women Unlimited (Inde) et Spinifex (Australie).

Traductions et coéditions de Terra viva par des membres de l’Alliance :

  • Wildproject et Rue de l’échiquier (France), 2023
  • Boitempo (Brésil), 2024
  • Marjin Kiri (Indonésie), 2024
  • Continta Me Tienes (Espagne), LOM Ediciones (Chili) et Econautas Editorial (Argentine) pour une coédition en Espagne et en Amérique latine, 2024
  • Atlas Publishing (Syrie), Med Ali (Tunisie), Sefsafa Publishing (Égypte) et Mamdouh Adwan Publishing (Syrie) pour une coédition dans le monde arabe - en cours
  • Nogaam Publishing (Royaume-Uni/Iran) et Dena Books (Pays-Bas/Iran) pour une coédition en persan - en cours
  • Vakxikon Publications (Grèce) - en cours

Plusieurs de ces traductions ont bénéficié du soutien de la Fondation Jan Michalski.

Vandana Shiva est l’une des ambassadrices de la bibliodiversité de l’Alliance. Écoutez ici le replay de la table ronde avec Vandana Shiva lors de Babelica 2023.

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Ateliers sur l’IA, le livre audio et les partenariats éditoriaux solidaires (16-18 mai 2024), SIEL de Rabat (Maroc)

L’Alliance et la Fondation Orange ont noué un partenariat depuis 2020 permettant aux finalistes du Prix Orange du Livre en Afrique (POLA) de bénéficier d’ateliers professionnels, organisés par l’Alliance (voir ici les supports issus des ateliers précédents sur le Labo numérique). L’Organisation internationale de la Francophonie soutient par ailleurs ces ateliers, dans le cadre de son accompagnement sur les enjeux de la découvrabilité (visionner ici les vidéos du cycle d’ateliers sur la découvrabilité menés en 2023).

Cette année, les ateliers se dérouleront à Rabat à la Bibliothèque nationale du Royaume du Maroc, dans le cadre du Salon international de l’édition et du livre (SIEL, 9-19 mai 2024).

Parmi les thèmes étudiés : l’intelligence artificielle et la bibliodiversité, tour d’horizon de la fabrication de livres audios, sessions dédiées aux cessions de droits et coéditions francophones. Les ateliers auront lieu du 16 au 18 mai et réuniront une quinzaine de maisons d’édition d’Afrique francophone. Les participants participeront à la remise du POLA, qui aura lieu le 18 mai au SIEL.

Découvrir ici le programme détaillé et la liste des participants

Ces ateliers sont soutenus par la Fondation Orange, l’Organisation internationale de la Francophonie, Campus AFD et sont facilités par le SIEL et la Bibliothèque nationale du Royaume du Maroc.

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Salon du livre de Téhéran non censuré, 8e édition (25 avril-10 juin 2024), Europe et Amérique du Nord

Plus de 15 maisons d’édition iraniennes et de nombreux groupes culturels participent à cet événement dans le monde entier (Nuremberg, Vienne, Munich, Cologne, Francfort, Stuttgart, Berlin, Hambourg, Leipzig, Paris, Londres, Bruxelles, Rotterdam, Utrecht, Amsterdam, Helsinki, Stockholm, Oslo, Göteborg, Brême, Malmö, Copenhague, Lubec, Toronto, Montréal, Los Angeles). Cette année, un catalogue collectif présentant les nouveaux titres de 12 maisons d’édition est disponible à la fois en version numérique et en version imprimée.

Plus d’informations ici.

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Éditer en francophonie (4-5 avril 2024), Foire du livre de Bruxelles

En partenariat avec la Foire du livre de Bruxelles (Belgique), plusieurs collectifs professionnels (dont l’Alliance) organisent « Éditer en francophonie », ateliers qui se dérouleront les 4 et 5 avril 2024 et réuniront plus de 20 maisons d’édition de toute la francophonie. Au programme : présentation des catalogues des maisons d’édition, échanges d’expériences sur les coéditions solidaires, découverte de l’écosystème du livre belge...

Découvrez ici le programme de ces ateliers et les participants !

L’Alliance remercie très chaleureusement l’Organisation internationale de la Francophonie pour son soutien, permettant la venue de maisons d’édition d’Afrique francophone, de l’Océan indien et d’Haïti à ces ateliers.

Plus d’informations sur la Foire du livre de Bruxelles (4-7 avril 2024) ici.

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Observatoire de la bibliodiversité

La bande dessinée au Mali

Le Mali, pays sahélien de quatorze millions d’habitants n’a pas une grande tradition en matière d’édition. Durant longtemps, la seule maison d’édition du pays était un éditeur public, créé dans les années 1960 avec des capitaux de l’Etat : EDIM (EDitions Imprimerie du Mali). C’est seulement en 1988 que des éditeurs privés arriveront sur le marché.

Lire l’article intégral : « La bande dessinée au Mali », par Christophe Cassiau-Haurie.
Un état des lieux publié par Africultures, le 21 juillet 2017 à retrouver ici.

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Enquêtes, témoignages et sensibilisation sur les répercussions du don de livres à Madagascar, 2002-2015

Depuis plusieurs années, l’Association des éditeurs de Madagascar (AEdiM) et particulièrement l’une de ses membres, Marie Michèle Razafintsalama (éditions Jeunes malgaches), mène un travail d’enquêtes de terrain sur les dons de livres à Madagascar.

Différentes actions de sensibilisation ont été menées par cette éditrice auprès d’associations, organisations et professionnels localement mais aussi en France, qui portent leurs fruits progressivement, par exemple :

Lire aussi l’interview de Marie Michèle Razafintsalama publiée par le magazine en ligne ActuaLitté en novembre 2016 : « Madagascar : “À force de dons, les gens pensent que le livre ne s’achète pas.” »

Écouter ici l’émission « Cap Océan Indien », sur RFI, du 22 mai 2011 : L’appel de l’éditrice Marie-Michèle Razafintsalama.

Lire ci-contre les résultats des enquêtes sur le don de livres menées à Madagascar entre 2003 et 2012.

Ecouter l’interview de Marie Michèle Razafinstalama dans l’émission « Cap Océan Indien », sur RFI (22 mai 2011)

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La BD au Maroc : en attente de lecteurs

À première vue, le Maroc peut passer pour un pays où la bande dessinée est reine : le pays a abrité ou abrite plusieurs festivals de bande dessinée (Tétouan, Fès, Kénitra, Casablanca) et compte avec l’Institut National des beaux-arts de Tétouan, la seule filière BD de l’Afrique francophone. Malheureusement, la production de BD au niveau local ou dans la diaspora reste faible et la BD reste un genre mineur au Maroc, même si on constate un certain frémissement depuis quelques années. Retour sur une histoire vieille de plus de 50 ans.

Lire l’intégralité de l’article « La BD au Maroc : en attente des lecteurs », écrit par Christophe Cassiau-Haurie, publié par Africultures, le 23 mars 2017.

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Une opération de dons de livres en Côte d’Ivoire : quels impacts pour la bibliodiversité ?, juin 2017

Dans le cadre d’une convention signée en juin 2017 entre le ministère de la Culture de Côte d’Ivoire et le Syndicat national de l’Édition française (SNE), « les éditeurs français, via la société Electre, s’engagent à faire un don chaque année, de 5 000 livres de littérature générale, de jeunesse et de sciences humaines, destinés à enrichir et développer les fonds des bibliothèques nationales de Côte d’Ivoire. À travers ce texte, les parties partagent une volonté commune de développement de la Francophonie ainsi qu’une meilleure connaissance des livres de chaque pays ».

L’Association internationale des libraires francophones (AILF) et l’Alliance partagent dans un communiqué commun leurs réflexions et préoccupations et rappellent les possibles répercussions des dons de livres sur la chaîne du livre d’un pays.

Extrait du communiqué, 15 juin 2017 :
Nous invitons à se référer à plusieurs ressources et réflexions formulées par des professionnels du livre, des universitaires et des collectifs, recensées ici.

L’ensemble de ces témoignages, analyses et articles mettent en évidence certaines questions, fondamentales à prendre en compte pour toute opération de dons de livres, dont nous en rappelons les principales ici :
=> Prendre en compte les besoins des lecteurs pour que les ouvrages envoyés soient en adéquation avec leurs attentes, leurs langues, leurs envies : types d’ouvrages répondant à des besoins spécifiques identifiés
=> Travailler main dans la main avec les professionnels locaux :

  • Associer et travailler étroitement avec les bibliothécaires : les livres envoyés viennent-ils en complément de l’offre de la bibliothèque dans un souci de bibliodiversité ? Permettent-ils de constituer un nouveau rayon thématique ? Des animations sont-elles prévues pour que les lecteurs les découvrent ?
  • Associer les libraires et éditeurs locaux afin de respecter la chaîne du livre locale : comment faire en sorte que les dons ne viennent pas fragiliser et court-circuiter l’économie locale ?

=> Prévoir, en complément des opérations de dons de livres, des actions de soutien pérennes pour la filière locale.

Nous sommes attachés à inscrire ces recommandations en référence à la Convention sur la protection et la promotion de la diversité des expressions culturelles de l’UNESCO (2005).

Le développement du secteur culturel d’un pays – et en particulier celui du livre – est une des conditions d’émergence de la création ; garantit la vitalité d’un vivier de créateurs (auteurs, traducteurs, illustrateurs…) et de professionnels (bibliothécaires, éditeurs, libraires, diffuseurs…) ; génère un dynamisme économique. La Côte d’Ivoire en est une illustration exemplaire depuis plusieurs années. Il serait ainsi préoccupant que des opérations de dons viennent fragiliser l’écosystème local ; il serait regrettable que ces opérations ne prennent pas en compte le travail et les partenariats mis en place par les collectifs professionnels d’éditeurs et de libraires, au niveau national et international, depuis plusieurs années (coéditions francophones, travail sur les langues africaines, ateliers et formations…).

Nous rappelons par ailleurs qu’il existe d’autres manières de penser le don de livres :
=> S’appuyer sur un principe et des mécanismes de réciprocité : en contrepartie de 5 000 livres donnés, un achat de livres ivoiriens pourrait être réalisé pour les bibliothèques françaises – afin justement de renforcer « une meilleure connaissance des livres de chaque pays » ;
=> Monétiser le don dans une logique de redistribution : les 5 000 livres ne sont pas donnés mais vendus en France, et l’argent récolté est reversé à l’Association des éditeurs ivoiriens pour le prochain Salon International du livre d’Abidjan (cf. bibliobraderies organisées par Bibliothèques Sans Frontières) ;
=> Privilégier une logique de partenariats équilibrés entre professionnels : l’argent prévu pour le transport des 5 000 livres de France vers la Côte d’Ivoire n’est pas utilisé pour une opération de dons mais pour des rencontres entre éditeurs ivoiriens et français dans l’optique de cessions de droits ; pour des rencontres entre libraires ivoiriens et français dans l’optique de partenariats…

Il s’agit ainsi de trouver collectivement des systèmes de solidarité et de réciprocité, en adéquation avec les réalités du terrain. Ce sont ces formes de coopération et de liens qui assurent sur le moyen terme les bases de partenariats de confiance, la structuration pérenne et viable des marchés – garantissant également la conscientisation, l’éveil et l’émancipation des futures générations de lecteurs et citoyens.

Lire l’intégralité du Communiqué ci-contre.

Voir les articles publiés par ActuaLitté :

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Histoire de la bande dessinée en Côte d’Ivoire (3/3)

Peu de gens le savent, mais l’édition ivoirienne est l’une des plus anciennes du continent. Christophe Cassiau-Haurie documente en trois épisodes, l’histoire de la bande dessinée depuis les années 1960. En voici le troisième et dernier volet sur la décennie 2010.

Lire ici l’article publié par Africultures le 12 février 2019.

Retrouvez ici l’intégralité de « Histoire de la bande dessinée en Côte d’Ivoire (2/3) », par Christophe Cassiau-Haurie, publié par Africultures le 16 janvier 2018.
Et retrouvez ici l’Histoire de la bande dessinée en Côte d’Ivoire 1/3.

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Histoire de la bande dessinée en Cote d’Ivoire (2/3)

Après avoir retracé l’histoire de la bande dessinée en Côte d’Ivoire des années 1960 aux années 1990, Christophe Cassiau-Haurie nous plonge dans les années 2000.

La crise politique et militaire qui affecte le pays à compter de 2002 met un coup de frein aux activités des auteurs de BD (en particulier la publication d’albums) pendant près d’une décennie. Seules quelques productions locales sont visibles sur le marché national, beaucoup d’entre elles au tout début de la décennie.

Lire l’intégralité de « Histoire de la bande dessinée en Côte d’Ivoire (2/3) », par Christophe Cassiau-Haurie, publié par Africultures le 16 janvier 2018.
Et retrouvez ici l’Histoire de la bande dessinée en Côte d’Ivoire 1/3.

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Histoire de la bande dessinée en Côte d’Ivoire (1/3)

Peu de gens le savent, mais l’édition ivoirienne est l’une des plus anciennes du continent.
Les éditions CEDA sont nées en 1961. Elles ont été créées par l’Etat Ivoirien en partenariat avec les éditions françaises Hatier, Didier, Fouchier et Mame. Si l’Etat n’était actionnaire qu’à 25% à l’origine, il est passé à 51% en 1974. En 1972, sont créés à Dakar les NEA (Nouvelles Editions Africaines) avec une direction générale à Dakar et deux antennes à Lomé et Abidjan. Dix ans plus tard, les NEA Abidjan tentent une autonomie qui se solde par un dépôt de bilan en 1989.

Lire l’intégralité de « Histoire de la bande dessinée en Côte d’Ivoire (1/3) », par Christophe Cassiau-Haurie, publié par Africultures le 15 mars 2017.

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Des propositions et actions pour développer les partenariats éditoriaux solidaires

Ces recommandations et propositions sont extraites des 80 recommandations en faveur de la bibliodiversité, formulées lors des Assises internationales de l’édition indépendante (2012-2014).

Elles ont été formulées à partir de l’expérience et des pratiques au sein de l’Alliance internationale des éditeurs indépendants : elles concernent prioritairement les partenariats éditoriaux entre éditeurs des pays du Sud dans la mesure où les soutiens à l’édition dans ces pays sont souvent faibles, voire inexistants, et entre éditeurs du Sud et du Nord dans la mesure où ces échanges sont encore peu fréquents.

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Modèles de contrats pour des partenariats éditoriaux

L’Alliance tient à votre disposition des modèles de contrat type pour les partenariats éditoriaux suivants :

Pour toute demande de contrat type ou pour un conseil sur la mise en place d’un partenariat éditorial, n’hésitez pas à contacter l’équipe de l’Alliance.

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Les programmes de don de livre en Afrique : le temps venu pour une réévaluation ?, Raphaël Thierry / partie 2, 2015

Deuxième partie : Raphaël Thierry : Le don de livre, mais à quel prix, et en échange de quoi ? (un panorama du don de livre en Afrique francophone)

À venir dans African Research & Documentation, Revue de la SCOLMA (the UK Libraries and Archives Group on Africa), no. 127 (2015) [Publication 2017]

Retrouvez aussi l’article sur le site EditAfrica !

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