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L’Alliance

Le livre équitable : un réel enjeu pour demain. Coéditions, cessions de droits et autres partenariats éditoriaux solidaires - 14 au 17 juin 2013, Ouagadougou (Burkina Faso)

Pays de parution : Burkina Faso

Atelier préparatoire et thématique des Assises internationales de l’édition indépendante

16 éditeurs d’Afrique, d’Europe et d’Amérique latine se retrouveront au Burkina Faso pour ce 5e atelier des Assises.
À partir d’un bilan des partenariats éditoriaux développés au sein de l’Alliance depuis 10 ans, les éditeurs se donnent comme objectifs de :
* mettre en place de nouveaux projets éditoriaux solidaires ;
* établir un guide et/ou une charte des « bonnes » pratiques éditoriales accompagnant le logo « Le livre équitable » ;
* renforcer et initier des partenariats interprofessionnels.

Cet atelier sera clôturé par le lancement de la dernière coédition solidaire : À quand l’Afrique ? Entretien de Joseph KI-ZERBO avec René HOLENSTEIN - le 17 juin aux Archives nationales de Ouagadougou.

L’Alliance adresse ses remerciements les plus chaleureux à l’Organisation internationale de la Francophonie et au Centre national du livre pour leurs soutiens si précieux à la mise en place de cette rencontre.

Pour suivre les Assises et pour toute information supplémentaire, cliquez ici !

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Les langues locales et nationales : quelles opportunités pour l’édition en Afrique ? - 11 au 13 juin 2013, Ouagadougou (Burkina Faso)

Pays de parution : Burkina Faso

Atelier préparatoire et thématique des Assises internationales de l’édition indépendante

8 éditeurs africains publiant en langues nationales et des représentants d’ONG burkinabées se réuniront à Ouagadougou en juin prochain pour le 4e atelier des Assises internationales de l’édition indépendante.

À travers les échanges d’expériences entre éditeurs et les contributions des différents intervenants, l’atelier a pour enjeux de :
* sensibiliser les pouvoirs publics au développement de l’apprentissage en langues nationales ;
* formuler des propositions concrètes à destination des organismes travaillant en faveur des langues locales ;
* formuler des recommandations à destination des professionnels du livre pour la mise en place d’un salon du livre en langues locales et pour le développement de projets éditoriaux en langues africaines.

L’Alliance adresse ses remerciements à la Direction du développement et de la coopération (DDC) suisse pour son soutien.

Pour suivre les Assises et pour toute information supplémentaire sur cet atelier, cliquez ici !

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El comercio justo

Auteur(s) : Corinne GENDRON ; Arturo PALMA TORRES ; Véronique BISAILLON ; Olga NAVARRO-FLORES
Prix : 80 pesos argentin ; .000 CLP

Qu’est-ce que le commerce équitable aujourd’hui ? Qui en sont les principaux acteurs ? Quel est son avenir ? Autant de questions auxquelles ce livre se propose de répondre à travers sept expériences sur le terrain dans différentes régions du monde. Au gré de ce voyage, le lecteur partira notamment au Chiapas au cœur d’une petite organisation de producteurs de café, en Bolivie au sein d’une exploitation de quinoa, en Inde pour explorer des formes moins traditionnelles de commerce équitable… Lire la suite ici !

Une coédition « Le livre équitable » entre 6 éditeurs du réseau hispanophone : Libros de la Araucaria (Argentine), Lom ediciones (Chili), Marea editorial (Argentine), Txalaparta (Espagne), Icono (Colombie), Plural (Bolivie).

Année de parution : 2012 - 2013

Couverture de la version chilienne de « El comercio justo »

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À quand l’Afrique ? Entretien de Joseph KI-ZERBO avec René HOLENSTEIN

Auteur(s) : Joseph KI-ZERBO ; René HOLENSTEIN
Pays de parution : Bénin, Burkina Faso, Cameroun, Canada, Côte d’Ivoire, France, Haïti, Mali, Suisse
Langue(s) : français
Prix : 10 € (France) ; 15 CHF (Suisse) ; 16,95 CAD (Canada) ; 3 000 FCFA (Afrique subsaharienne) ; 350 G (Haïti)

À quand l’Afrique ? Voilà bien une question que nous préférons éviter, tant l’Afrique semble sans avenir. Mais Joseph Ki-Zerbo, historien et homme d’action burkinabé, ne peut et ne veut occulter cette question. Pour lui, l’Afrique doit conquérir son identité, fière de sa contribution à l’aventure humaine.
Un livre passionnant, nourri d’une Afrique vécue et étudiée pendant des décennies, riche de réflexions profondes d’un historien sur le rôle de son métier pour l’action concrète des hommes. Un livre engagé : N’an lara, an sara (Si nous nous couchons, nous sommes morts).

Joseph Ki-Zerbo, éminent historien, né à Toma (Burkina Faso) en 1922, est décédé en 2006 à Ouagadougou. Il a notamment publié Histoire de l’Afrique noire (Hatier), dirigé les volumes I et IV de la monumentale Histoire générale de l’Afrique (UNESCO), et La Natte des autres : pour un développement endogène en Afrique (Karthala). Il est interrogé par René Holenstein, docteur en histoire et spécialiste des questions du développement, longtemps en poste à Ouagadougou.

Cette réédition d’À quand l’Afrique, qui intervient après la disparition du Professeur Joseph Ki-Zerbo en 2006, rend témoignage de l’actualité et de la profondeur de sa pensée. Elle est publiée simultanément en Afrique, en Europe, au Canada et en Haïti.

Cette réédition est augmentée de notes réalisées par les éditions Pallas au Brésil pour la publication en portugais de l’ouvrage. Ces notes ont été traduites en français par Caroline Sordia.

Date de la première édition : 2004 ; réédition : 2013 ; 240 pages ; format poche ; ISBN France : 9782708241626 ; ISBN Suisse : 9782829004568 ; ISBN Québec : 9782897120337

Cette coédition solidaire porte le label Le livre équitable.  

Les coéditeurs et l’Alliance remercient Claude Calame, directeur d’études à l’EHESS à Paris et la Direction du Développement et de la Coopération suisse pour leur précieux soutien.

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OGM- La verità riguarda anche te !

Auteur(s) : Corinne LEPAGE ; Beatrice CERRAI (traductrice)
Pays de parution : Italie
Langue(s) : italien
Prix : 9 €

Les manœuvres des cigarettiers, les mensonges ayant entouré le Médiator, les non-dits de l’industrie chimique à propos du Bisphénol A : les scandales de santé publique ne manquent pas. Bien qu’il n’y ait pas toujours eu de certitude scientifique quant à la nocivité de ces produits, le principe de précaution aurait dû l’emporter. Nous sommes aujourd’hui dans la même situation pour les OGM.

Faisant le constat du refus des autorités publiques de jouer leur rôle, des défaillances, des conflits d’intérêt et autres manœuvres destinées à empêcher la recherche indépendante et la transparence sur les effets des OGM, le Comité de recherche et d’information indépendantes sur le génie génétique (Criigen) a décidé de mener lui-même une expérimentation qui est une première.

Corinne LEPAGE raconte dans cet ouvrage la saga de cette expérience, la manière dont elle s’inscrit dans l’histoire des OGM en Europe et les perspectives de participation qu’elle ouvre à la société civile. Elle propose un nouveau modèle d’expertise, pluraliste, pluridisciplinaire et contradictoire, fondé sur la responsabilité des experts et des politiques, et dans lequel les citoyens ont toute leur place.


Résumé extrait du site Internet des éditions Charles Léopold Mayer

Éditeur : Il leone verde
Date de publication : 2013 ; 140 pages ; ISBN : 9788865800669

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La littérature jeunesse africaine : quelle visibilité sur le marché international ? - 23 au 27 mars 2013, Foire du livre de jeunesse de Bologne (Italie) – hall 29, stand C/57

Pays de parution : Italie

Atelier préparatoire et thématique des Assises internationales de l’édition indépendante

En partenariat avec la Foire du livre de jeunesse de Bologne, l’Alliance réunit huit éditeurs africains à Bologne du 23 au 27 mars 2013.

Comment concilier l’édition des ouvrages à un double niveau, en s’adressant à la fois à un lectorat local et potentiellement à l’international ? Lors de l’atelier préparatoire des 23 et 24 mars, les éditeurs témoigneront de leurs expériences à l’international et s’interrogeront sur les normes éditoriales dans la conception et la fabrication des livres de jeunesse. Une agent littéraire interviendra également pour accompagner les éditeurs dans leurs questionnements et réfléchir avec eux aux stratégies éditoriales et commerciales pouvant être développées pour atteindre une plus grande visibilité sur les marchés internationaux. L’un des objectifs de l’atelier est aussi d’aboutir à la formulation de recommandations et d’un plaidoyer afin de favoriser la présence des éditeurs du Sud sur les foires du livre.
Enfin, cette rencontre donnera lieu à une foire aux projets pouvant aboutir à des propositions de traductions, de cessions de droits et de coéditions.

Présents du 25 au 27 mars sur le stand collectif Afrique (hall 29, stand C/57), les éditeurs vous attendent avec grand plaisir !


L’Alliance remercie chaleureusement la Foire du livre jeunesse de Bologne, la Fondation de France, le Centre national du livre et l’Institut français de Madagascar pour leurs soutiens, indispensables à la mise en place de cet atelier.

Pour suivre les Assises et pour toute information supplémentaire sur cet atelier, cliquez ici !

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Le numérique, quels enjeux pour la bibliodiversité dans le monde arabophone ?

Suite à la rencontre sur l’édition numérique organisée par l’Alliance à Tunis en 2011, plusieurs éditeurs arabophones membres de l’Alliance se sont lancés dans la fabrication et la commercialisation de fichiers EPUB. Ces expérimentations récentes ont révélé un certain nombre d’obstacles propres au monde arabe : spécificités des polices de caractères en arabe, difficultés pour commercialiser les ouvrages sur des plateformes de vente en ligne, etc. Les éditeurs arabophones ont donc souhaité mettre en place un atelier pour travailler sur ces questions et pour mutualiser, dans la mesure du possible, des outils et des techniques.

Cet atelier permettra aux éditeurs arabophones de s’entraîner très concrètement à la fabrication d’EPUB, en tentant d’apporter des solutions aux problèmes liés à la conversion numérique des textes en langue arabe. Alors que les contenus numérique en langue arabe sont pour l’instant peu nombreux, il semble en effet essentiel de favoriser le passage au numérique des éditeurs traditionnels, garants de la bibliodiversité dans l’espace arabophone.

Dans cette logique, les éditeurs apporteront des recommandations pour faciliter la numérisation des fichiers et pour favoriser une meilleure distribution et diffusion des ouvrages numériques dans le monde arabe. Ces propositions seront diffusées au niveau des pouvoirs publics mais également auprès des instances internationales de normalisation comme l’International Digital Publishing Forum (IDPF).

Le Labo numérique de l’Alliance relayera les expériences des éditeurs arabophones et accompagnera leurs projets sur le moyen terme.

Le 3 mai, de 11h00 à 12h00, nous vous invitons à assister au sein de la Foire à une table ronde sur l’ouvrage Words and Money d’André Schiffrin - traduit et coédité par le réseau arabophone de l’Alliance.

Cet atelier est organisé en partenariat avec la Foire internationale du livre d’Abu Dhabi, et soutenu par l’Organisation internationale de la Francophonie (Direction de la Francophonie numérique) et par la Fondation Prince Claus.

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Diffusion des ouvrages de sciences humaines et sociales : quelles stratégies innovantes pour tirer son épingle du jeu ?

Pays de parution : Allemagne

Pour les éditeurs indépendants, la diffusion et la distribution des livres « difficiles » que sont les ouvrages de sciences humaines s’avèrent la plupart du temps problématiques. Ces ouvrages ont en effet souvent du mal à trouver leurs lecteurs dans des marchés du livre marqués par la surproduction éditoriale, une très forte concentration des entreprises d’édition, des points de vente et des structures de distribution. Face à une multitude de canaux de diffusion, comment valoriser une production en marge du « mainstream » ?

Pour tirer leur épingle du jeu, certains éditeurs mettent en place des stratégies originales pour distribuer et promouvoir leurs ouvrages en associant des acteurs associatifs, de nouveaux acteurs numériques ou en mettant en place des partenariats avec des universités. Ces initiatives isolées restent cependant peu connues de la plupart des éditeurs. C’est pourquoi, dans l’esprit de solidarité qui anime l’Alliance, des éditeurs ont voulu partager leurs expériences et leur savoir-faire en abordant ces questions au cours d’un atelier qui pourrait se tenir en marge de la Foire du livre de Francfort en 2013 – lieu stratégique et symbolique pour les éditeurs.

Dans l’optique de favoriser une meilleure circulation des textes de sciences humaines et sociales, une foire aux projets sera également organisée afin de faire naître des projets de traduction et de coédition entre éditeurs de l’Alliance. Certains de ces projets pourront ensuite être soutenus financièrement par l’Alliance.

Cet atelier est organisé en partenariat avec la Foire du livre de Francfort, et avec le soutien de la Fondation de France, du Centre national du livre et du Goethe-Institut en Afrique du Sud.

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Le livre équitable : un réel enjeu pour demain / Coéditions, cessions de droits et autres partenariats éditoriaux solidaires

Les coéditions, pratiques au cœur de l’action et de la réflexion de l’Alliance depuis ses débuts, favorisent une meilleure diffusion des œuvres et des idées, tout en permettant une mutualisation des coûts entre éditeurs. Ces partenariats professionnels, basés sur la confiance et sur des méthodes collectives de travail, représentent par ailleurs un échange mutuel de savoir-faire.

Après 10 ans de pratiques et d’expériences, un bilan s’avère nécessaire : combien de projets de coéditions solidaires sont nés en une décennie, et dans combien de pays ? Quelles sont les retombées financières de ces projets ?

Pour éclairer cet atelier d’exemples concrets, la collection « Terres solidaires » (coéditions solidaires panafricaines) fait office de cas d’école, mais d’autres projets développés au sein ou hors de l’Alliance alimenteront également la discussion. Les participants réfléchiront ensemble sur la façon de développer de nouveaux partenariats tout en renforçant la dimension collective des projets. Ils proposeront aussi des stratégies pour faciliter la coopération sur des projets de cessions de droits (Nord-Sud, et surtout Sud-Nord, et Sud-Sud). Ils réfléchiront enfin aux perspectives offertes par le numérique pour les partenariats éditoriaux solidaires.

À partir de ces échanges, les participants dresseront un guide « des bonnes pratiques éditoriales ». Ce guide pourrait aboutir à la rédaction d’une charte, qui accompagnerait le logo « Le livre équitable » porté par l’Alliance.

Pour enrichir les discussions et dans un souci d’échanges de pratiques entre réseaux linguistiques, Guido INDIJ (directeur des éditions la marca editora en Argentine) partagera avec les participants les réflexions et projets menés par réseau hispanophone depuis plusieurs années en termes de partenariats éditoriaux.

Par ailleurs, et comme la plupart des coéditions et des traductions naissent lors de rencontres à dimension humaine, un temps important sera consacré à une foire aux projets. Ce « mini Francfort » offrira la possibilité aux éditeurs de proposer des ouvrages à la cession de droits ou à la coédition à leurs confrères. Ces projets pourront être soutenus (logistiquement, juridiquement ou financièrement) par l’Alliance dans la période à venir.

Nous profiterons de la présence des éditeurs à Ouagadougou pour organiser en partenariat avec la Fondation Joseph Ki-Zerbo et les éditions Sankofa & Gurli le lancement de la dernière coédition solidaire À quand l’Afrique ? Entretien de Joseph KI-ZERBO avec René HOLENSTEIN – lancement qui viendra clôturer l’atelier le 17 juin 2013.


Cet atelier est soutenu par l’Organisation internationale de la Francophonie et le Centre national du livre.

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Observatoire de la bibliodiversité

Quel est l’objet de cette formation ?

Cette formation en ligne est une présentation, étape par étape, de la création d’un manuel scolaire, du point de départ (recherche de financement et réponse à un appel d’offres s’il y a lieu) à l’arrivée dans les classes des manuels.

Elle vous offre un bon aperçu de ce que représente l’aventure que constitue l’édition d’un manuel scolaire, vous met en garde contre les difficultés et vous avertit des contraintes à respecter ; elle vous indique les actions les plus importantes à accomplir par l’éditeur et par les autres intervenants, et comment les réussir.

Elle propose enfin des outils et des exemples pratiques.

Chaque séquence peut être lue isolément. Vous pouvez ainsi vous renseigner sur un aspect précis, comme « lire un programme », sans lire les séquences qui précèdent et que vous connaîtriez déjà.

Les premiers modules ici présentés détaillent l’univers du scolaire, les caractéristiques d’un manuel, le calendrier des interventions, ainsi que le déroulement des opérations à l’initiation d’un manuel et enfin toutes les opérations sur les manuscrits avant leur mise en pages (ils deviennent alors des « épreuves ».

Le rôle et le mode de travail des auteurs et de l’éditeur pendant la phase de conception du manuel et de préparation des manuscrits sont particulièrement détaillés.

Cette formation en ligne ne remplace pas une formation présentielle, au cours de laquelle les participants apprennent à manipuler les outils nécessaires et se mettent en situation d’accomplir, sous la houlette d’un professionnel expérimenté, les différentes tâches menant à la publication réussie d’un manuel scolaire.

Elle vous permet cependant de professionnaliser votre activité dans le scolaire si vous en avez déjà une, vous apprendra sûrement des méthodes ou des astuces complémentaires, et vous offrira une bonne initiation si vous n’avez encore jamais dirigé la publication d’un manuel scolaire ou si vous n’y avez jamais participé.

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À qui s’adresse cette formation ?

Cette formation en ligne s’adresse tout particulièrement à vous si vous êtes (ou souhaitez être) :

  • éditeur et que vous dirigez une maison d’édition ;
  • assistant éditorial ou responsable éditorial ;
  • si vous travaillez dans ou pour une maison d’édition qui a peut-être déjà publié des livres éducatifs (ouvrages parascolaires, livrets, cahiers de travaux pratiques et d’exercices, etc.).

Elle sera aussi particulièrement pertinente si vous êtes :

  • auteur ;
  • maquettiste, graphiste ;
  • correcteur, relecteur.

Dans tous les cas, elle vous sera pleinement profitable si :

  • vous n’avez pas encore de véritable expérience dans la publication de manuels scolaires inscrits sur la liste ou commandés par l’Éducation nationale ;
  • vous avez une expérience que vous souhaitez évaluer ou enrichir.

Nota bene : si cette formation a été plus spécialement conçue pour les pays d’Afrique subsaharienne francophones, elle pourrait sans doute être pertinente pour d’autres zones géographiques ou linguistiques.

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Comment utiliser la formation ?

Cette formation en ligne propose :

  • une présentation, étape par étape, de la création d’un manuel scolaire, du point de départ (recherche de financement et réponse à un appel d’offres s’il y a lieu) à l’arrivée dans les classes des manuels ;
  • une démarche logique, permettant d’intégrer les principales étapes de la publication et les principaux facteurs clés de succès ;
  • des outils et des exemples pratiques.

Elle développe 4 modules, divisés en 14 séquences, qui ont été conçues :

  • de manière à pouvoir être utilisées indépendamment les unes des autres ;
  • de façon à faciliter l’acquisition d’une vision synthétique précise et documentée de la publication de manuels ;
  • pour vous permettre d’établir un calendrier de publication, de choisir un concept de manuel, d’établir un cahier des charges ;
  • pour vous aider à choisir et travailler avec les auteurs et le directeur d’ouvrage ;
  • pour assurer au mieux le suivi éditorial, reprendre et faire illustrer des manuscrits, travailler à la structure d’un chapitre, ou suivre le travail de correction.

Nota bene : si les séquences peuvent être lues séparément, elles ont également été élaborées selon le plan d’une véritable formation en ligne, que vous pouvez suivre pas à pas. Cette utilisation est particulièrement conseillée pour les professionnels et auteurs qui n’ont encore jamais travaillé sur un manuel scolaire.

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Quels sont les objectifs de cette formation ?

  • Cette formation présente les étapes de la réalisation d’un manuel et de son livre du professeur. Dans un premier temps, elle a pour objectif de permettre aux utilisateurs de se familiariser avec l’univers du scolaire : ses acteurs, ses procédures, son calendrier. Ensuite elle accorde une attention particulière à la phase préliminaire de la publication d’un manuel : la conception d’un projet, la sélection des auteurs et le travail avec eux, la construction d’un cahier des charges.
  • Elle permet ainsi de répertorier et de mémoriser les actions à mener dans l’ensemble de la chaîne du livre scolaire, et fournit particulièrement des informations, des conseils et des outils pour savoir organiser l’édition d’un manuel, notamment avec les auteurs, et savoir travailler les manuscrits.
  • Son objectif est donc double : synthétiser les savoirs et développer les savoir-faire éditoriaux, pour une pratique éclairée et efficace dans le domaine du manuel scolaire.

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Quels sont les résultats attendus ?

Lorsque l’ensemble des étapes de la formation en ligne ont été intégrées :

  • vous possédez une vision d’ensemble du calendrier, des interventions et des intervenants, de la conception du projet à l’arrivée du manuel dans la classe ;
  • vous connaissez les actions les plus importantes à accomplir par l’éditeur et par les autres intervenants et savez comment les réussir ;
  • vous êtes conscient des difficultés à vaincre et des contraintes à respecter ;
  • vous avez à disposition des outils et des exemples pratiques ;
  • vous savez comment est construit un manuel, de quoi il se compose et à quoi il sert ;
  • vous savez dans quelle organisation votre travail s’intègre et, ainsi, comment le réaliser au mieux.

Nota bene  : un suivi particulier et des extensions spécifiques peuvent être assurés par le biais de l’Alliance internationale des éditeurs indépendants. N’hésitez pas à nous contacter.

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Une formation conçue pour l’Alliance internationale des éditeurs indépendants par Scolibris Livre solidaire

Cette formation a été commandée par l’Alliance internationale des éditeurs indépendants à ScoLibris Livre solidaire.

Stéphane Marill - fondatrice de ScoLibris et responsable des formations - a développé ce cours tout spécialement pour l’Alliance, riche de son expérience dans l’édition scolaire française. Ayant travaillé cinq ans au sein d’une maison d’édition de petite taille comme responsable éditoriale, elle a en effet acquis une solide connaissance des contraintes des petites maisons d’édition dans l’univers du scolaire, où les grands groupes internationaux sont omniprésents. Elle connaît les moyens de se faire une place sur ce marché, qui représente un potentiel de ventes incomparablement supérieur à ceux des autres secteurs de l’édition en Afrique subsaharienne. Stéphane Marill a par ailleurs suivi un cursus spécifique axé sur les méthodes de transmission des savoirs et sur la formation. Elle livre dans cette formation en ligne aussi bien ses outils que les procédures et méthodes qu’elle a suivies en tant qu’éditrice de manuels scolaires.

L’espace formation de l’Alliance a été développé sous SPIP par Syllène.

L’éditing des textes a été réalisé par ( : ? ! ; ) D O U B L E P O N C T U A T I O N

Scolibris

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Séquence 1 : acteurs et procédures

Tout un programme

  • L’Éducation nationale rédige un curriculum dans lequel figure un programme d’étude. Le programme est un document établi par des universitaires pour une discipline, pour une ou plusieurs classes. Il liste les sujets à étudier, les objectifs à atteindre en termes de savoir et de savoir-faire ainsi que la manière d’enseigner - c’est-à-dire la pédagogie à adopter. Il définit également un volume horaire, la fréquence et le mode d’évaluation des acquis. C’est en fait un document qui décrit en détail tout ce qui doit se passer en cours : de quoi parle la classe, quelles sont ses activités, pendant combien de temps. En Afrique, les équipes ministérielles ont été généralement guidées par des universitaires étrangers pour rédiger les programmes (des équipes canadiennes par exemple dans certains pays).
  • Depuis 1995, les pays d’Afrique subsaharienne réforment leurs systèmes éducatifs ; les curricula passent peu à peu d’une pédagogie traditionnelle d’acquisition de savoirs académiques à une approche par compétences (APC), qui privilégie l’apprentissage de capacités et de savoir-être (« life skills »), visant à une meilleure insertion des élèves dans la vie économique. Cette nouvelle pédagogie, d’origine canadienne, demande une participation active des élèves.
  • Depuis quelques années, l’APC est adaptée et se met en place une pédagogie de l’intégration, ou approche par compétences de base : les programmes définissent « des familles de situations » à partir desquelles l’enseignement participatif est assuré. Cette pédagogie comprend une activité d’intégration de l’apprentissage (exercice reprenant ce qui a été fait).

Les procédures actuelles d’approvisionnement en manuels scolaires

  • Aujourd’hui, dans la plupart des pays d’Afrique subsaharienne, les manuels scolaires sont de plus en plus fréquemment édités, imprimés et distribués par des éditeurs privés. L’État élabore et diffuse un programme et lance un appel d’offres pour commander des manuels dans la cadre de la gratuité de l’enseignement fondamental (primaire, sixième et cinquième). Il instaure par ailleurs une politique d’agréments, en fin de collège et au lycée, pour autoriser la commercialisation d’ouvrages figurant sur une liste de livres au programme.
  • Les modalités des agréments et des appels d’offres varient selon les pays ; dans certains cas le contenu des manuels est conçu par une équipe de rédacteurs du ministère (comme en Côte d’Ivoire), dans d’autres deux ou trois manuels sont agréés après avoir été rédigés, édités et imprimés (comme au Cameroun). Dans d’autres cas enfin, l’État peut acquérir ou inscrire sur sa liste des manuels scolaires d’autres pays.
  • Dans tous les cas de figure, il est évident qu’un éditeur ayant une tradition d’édition, un réseau de distribution, et une puissance financière de dimension internationale a bien souvent la faveur des commandes publiques ; cela explique la présence des grands groupes éditoriaux français et québécois sur ce marché en Afrique francophone par exemple. Néanmoins, de nombreux États africains réfléchissent aujourd’hui à favoriser, dans leurs appels d’offre, des éditeurs locaux. Pour l’éditeur désireux de s’engager dans cette production rémunératrice, un bon point de départ peut être la publication d’ouvrages parascolaires. C’est une entrée intéressante dans ce secteur : elle donne une expérience et rend crédible la soumission (participation à un appel d’offres).

L’univers du scolaire : une communication étroite entre le secteur public et le secteur privé

  • Historiquement, les manuels scolaires ont été produits sous le contrôle de l’État dans la plupart des pays d’Afrique subsaharienne. Dans les années 1960-1970, les ministères de l’Éducation nationale ont élaboré des programmes scolaires mais ont aussi commencé à produire eux-mêmes des contenus. Parfois, ils ont même dirigé l’édition, puis l’impression et la distribution des ouvrages, en constituant dans certains pays de véritables centres de production de manuels scolaires. Quelquefois, les ministères ont choisi de déléguer ce travail à un éditeur étranger - français ou québécois en Afrique subsaharienne. Comme il n’était pas possible, pour des questions de ressources humaines et de moyens financiers, de prendre en charge l’approvisionnement en manuels scolaires pour toutes les matières et toutes les classes, l’achat d’ouvrages d’éditeurs étrangers a été largement pratiqué.
  • Dans les années 1990, une vague d’ajustements structurels a conduit à la privatisation des organes de production de manuels scolaires - jusqu’ici contrôlés par l’État. En Côte-d’Ivoire par exemple, le Centre d’édition et de diffusion africain a été privatisé en 1992. Cela allait de pair avec la fin des monopoles sur les marchés scolaires des structures de production, qu’elles soient publiques ou privées. L’Éducation nationale a continué à rédiger des programmes, et parfois également le contenu des manuels - l’édition et l’impression étant alors prises en charge par des éditeurs privés, en général étrangers. L’Éducation nationale a développé une politique d’agrément, c’est-à-dire qu’elle a choisi les livres qui pouvaient figurer sur les listes d’ouvrages au programme. La distribution des manuels pouvaient parfois être assurée par l’État, si ce dernier achetait des ouvrages à un éditeur, dans une procédure d’appels d’offres.
  • En parallèle, en 2000, à Dakar, les Objectifs du millénaire pour le développement (OMD) ont été fixés par la communauté internationale ; deux concernaient l’éducation : il s’agissait « d’universaliser » l’enseignement primaire et de promouvoir l’égalité des sexes et l’autonomisation des femmes, en particulier par le biais de l’éducation. Les OMD ont servi de cadre à des programmes d’aide internationale visant la mise en place d’un enseignement fondamental dans tous les pays.

Éditer, c’est créer : le manuel scolaire, « miroir » du programme scolaire

  • Le manuel scolaire est une interprétation du programme en une forme pédagogique utilisable en classe : là où le programme prescrit d’exercer les élèves à une activité manuelle faisant appel à des outils comme la règle et le compas, le manuel va proposer une activité de construction d’un bateau en papier ; là où le programme demande de vérifier les acquis des élèves, le manuel présente un exercice d’intégration, etc.
  • Le manuel est donc étroitement lié au programme, mais il est très différent de lui : c’est une création à partir du programme, le résultat d’un travail de conception qui est l’édition proprement dite du manuel.
  • L’édition d’un manuel recouvre différentes activités : concevoir un projet et le tester ; en analyser les coûts et prévoir un financement ; sélectionner une équipe d’auteurs et de professionnels (graphiste, imprimeur…) ; valider les maquettes ; établir chartes (ou cahiers des charge) et planning ; établir des contrats ; respecter un budget ; assurer le suivi éditorial.
  • Le suivi éditorial recouvre les activités de : réception et adaptation de manuscrits ; la sélection des images ; la préparation de copies ; la relecture et la correction d’épreuves ; la relation avec les différents intervenants (maquettistes, auteurs, correcteurs, etc.).
  • La publication recouvre le fait d’éditer, puis de (faire) imprimer, de promouvoir, de diffuser et de distribuer un ouvrage. Le terme « édition » est là encore fréquemment employé pour désigner la publication. Quoi qu’il en soit, être éditeur, c’est assumer le risque éditorial (et financier) qui va de pair avec toute publication.
  • Dans le cas d’un manuel scolaire, l’édition se fait en conformité avec le programme et en veillant attentivement à l’utilisation qui sera faite de l’ouvrage. Ainsi, deux étapes spécifiques sont à prendre en compte. L’étape de discussion avec le ministère : elle intervient soit au cours de l’édition pour valider les contenus au fur et à mesure (dans le cas d’une commande de l’État par un appel d’offres), soit à la fin de l’édition, sous la forme d’une demande d’agrément, une fois le contenu édité (mais avant l’impression). Parfois, une demande d’agrément peut même concerner des livres existants et déjà en circulation. L’étape du test du manuel en classe ou auprès d’enseignants : que ce soit le ministère qui le demande à la suite d’une commande de manuels qu’il a passée ou que ce soit un choix de l’éditeur, il est nécessaire de tester en classe le manuel au cours de son édition, ou au minimum d’en montrer quelques éléments (un sommaire, un chapitre…) à des professeurs pour en valider la forme et la pédagogie.

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  • La diffusion est l’activité commerciale qui consiste à annoncer l’existence de l’ouvrage aux détaillants et à prendre leurs commandes ; elle se matérialise par la tournée des représentants dans les points de vente. La distribution est l’acheminement proprement dit des ouvrages aux clients, c’est la circulation physique du livre. Les deux sont également spécifiques dans le secteur scolaire.
  • Les modes d’approvisionnement diffèrent selon qu’il s’agit d’un appel d’offres, d’un agrément ou d’une libéralisation totale du marché. Si l’État a passé commande d’un certain nombre de manuels par appel d’offres, il demande le plus souvent qu’ils soient livrés dans les écoles ; l’éditeur se charge donc lui-même de la distribution. Dans ces cas-là, il n’y a pas à proprement parler de diffusion.
  • Si l’État adopte une politique d’agrément, il choisit simplement les livres parmi ceux qui lui sont présentés par les éditeurs et en fait figurer un certain nombre sur la liste des ouvrages au programme. C’est aux élèves et parents d’élèves d’aller les acheter et la diffusion est alors faite auprès des différents points de vente du livre. Si un système libéral et décentralisé a été mis en place (politique d’achat des ouvrages par les collectivités), les éditeurs présentent leurs manuels aux établissements et reçoivent les commandes de ceux-ci et non plus de l’État central. Là non plus, il n’y a pas de diffusion à proprement parler, mais un travail de présentation des manuels auprès des établissements scolaires assuré par des « délégués pédagogiques ». On peut observer des systèmes qui mixent ces possibilités : politique d’agrément et achat centralisé par exemple.

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80 recommandations & outils en faveur de la bibliodiversité

Ces 80 recommandations dressent, par thème, un ensemble de bases nécessaires au développement, au maintien et à la vitalité de la bibliodiversité dans les pays. Pour certaines, les recommandations s’accompagnent d’outils et de projets (existants ou à venir dans le cadre du programme d’actions 2015-2016 de l’Alliance), permettant très concrètement de mettre en pratique les propositions des éditeurs indépendants.
Elles s’adressent aux pouvoirs publics, aux organismes internationaux et aux professionnels du livre des quatre coins du monde.

Elles font écho à la Déclaration internationale des éditrices et éditeurs indépendants 2014, texte majeur en faveur de la bibliodiversité, signé le 20 septembre 2014 par plus de 400 éditeurs indépendants de 45 pays dans le monde.

L’ensemble de ces propositions est issu des Assises internationales de l’édition indépendante tenues sous le patronage de l’UNESCO entre 2012 et 2014.

Pour toute remarque, suggestion, idée et proposition, permettant de compléter et affiner ce travail, contactez l’équipe de l’Alliance !

Sommaire des 80 recommandations et outils pour défendre et promouvoir la bibliodiversité :
* Des politiques publiques pour garantir la bibliodiversité
* Des propositions et actions pour favoriser la bibliodiversité numérique
* Le système Amazon, quelles menaces pour la bibliodiversité ?
* Des mesures nécessaires pour l’édition en langues locales et nationales
* Repenser le don de livres
* Des propositions et actions pour développer les partenariats éditoriaux solidaires
* Des actions pour renforcer une édition jeunesse plurielle

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80 recommandations & outils en faveur de la bibliodiversité

Les 80 recommandations proposées ici déclinent et détaillent les principes affirmés dans la Déclaration internationale des éditrices et éditeurs indépendants 2014, texte majeur en faveur de la bibliodiversité, signé le 20 septembre 2014 par plus de 400 éditeurs indépendants de 45 pays dans le monde.
Elles dressent, par thème, un ensemble de bases nécessaires au développement, au maintien et à la vitalité de la bibliodiversité dans les pays.
Pour certaines, les recommandations s’accompagnent d’outils et de projets (existants ou à venir dans le cadre du programme d’actions 2015-2016 de l’Alliance), permettant très concrètement de mettre en pratique les propositions des éditeurs indépendants.

Sommaire des 80 recommandations et outils pour défendre et promouvoir la bibliodiversité :
* Des politiques publiques pour garantir la bibliodiversité
* Des propositions et actions pour favoriser la bibliodiversité numérique
* Le système Amazon, quelles menaces pour la bibliodiversité ?
* Des mesures nécessaires pour l’édition en langues locales et nationales
* Repenser le don de livres
* Des propositions et actions pour développer les partenariats éditoriaux solidaires
* Des actions pour renforcer une édition jeunesse plurielle

Dans un souci d’appropriation de ces recommandations et outils par l’ensemble des acteurs du livre, nous vous remercions de nous contacter pour toute remarque, suggestion, idée et proposition, qui compléteront et affineront ce travail !

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Séquence 2 : l’équipe d’un manuel scolaire

 

  • Les intervenants sont les mêmes que pour d’autres publications, mais sont plus nombreux. Pour publier un manuel scolaire, on fait appel en effet à beaucoup de métiers différents.
  • L’éditeur - qu’il soit le directeur de la maison d’édition ou le responsable éditorial, voire les deux à la fois - est le chef d’orchestre de la publication. Toutes les décisions importantes relèvent de sa responsabilité.
  • En dessous de lui, l’assistant éditorial est celui qui met en œuvre et qui assure le suivi du projet ; il supervise le travail des personnes qui interviennent sur le contenu et la forme de l’ouvrage (auteurs, maquettiste, correcteur, dessinateur, etc.). Le travail de l’assistant éditorial s’appuie sur la charte éditoriale et la charte graphique qui auront été définies au préalable.
     
    Cliquez sur l’image pour l’ouvrir. Cliquez sur « Zoom » pour l’agrandir ou la rétrécir. Cliquez sur la croix pour la fermer.
  • Sous chacun des services figurent les intervenants extérieurs (fournisseurs, prestataires, free lance, etc.) avec lesquels travaillent ces services. Les cartouches plus clairs représentent des intervenants qui ne sont pas systématiquement présents dans l’équipe d’un manuel.
     
  • Il arrive régulièrement qu’une même personne remplisse plusieurs fonctions, c’est même la règle dans les petites structures éditoriales.
  • Nota bene : les différentes activités que recouvre la publication d’un ouvrage et leur répartition par intervenant sont détaillées dans les modules correspondants.

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