français

L’Alliance

Rencontre du réseau hispanophone de l’Alliance à Buenos Aires, avril 2009

Pays de parution : Argentine

Le réseau hispanophone a réuni ses membres à l’occasion de la Foire du livre de Buenos Aires en Argentine, du 18 au 22 avril 2009. À cette occasion, les représentants de 6 collectifs latinos-américains d’éditeurs indépendants ont tenu une rencontre spécifique, pour échanger leurs expériences.

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Dauchez l’Africain, maître et comédien

Auteur(s) : Pierre CHAMBERT
Pays de parution : France, Mali
Langue(s) : français
Prix : 17 €

Alger, Tlemcen, Angers, Saint-Étienne, Firminy, Yaoundé, Bamako, Philippe Dauchez a, dans toutes ces villes, joué de son art, le théâtre, en tant que comédien, metteur en scène ou professeur. Un temps assistant d’Albert Camus, il s’est toujours passionné pour l’intégration du théâtre dans la Cité sous toutes ses formes, classique, populaire, traditionnel...

Des grandes scènes françaises dans le passé aux places des villages maliens aujourd’hui, il a toujours travaillé avec la même simplicité et le même engagement. Cet ouvrage retrace son histoire, sa passion de la vie, du théâtre et des gens, dans un texte qui fait se croiser l’intimité et l’universel, l’histoire et la vie quotidienne, le théâtre savant et l’art populaire. Pierre Chambert nous dresse un portrait poétique d’un homme qui a mis sa vie toute entière au service d’un théâtre utile.

Pierre Chambert, poète et écrivain, exerce le métier d’inspecteur-conseiller pour le théâtre et les spectacles au ministère de la Culture et de la Communication. Il est actuellement en fonction en Guyane, à proximité de l’Amazonie, de ses légendes et de ses conteurs.

Date de publication : 2006, 256 pages

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L’Ombre d’Imana

Auteur(s) : Véronique TADJO
Pays de parution : Bénin, Burkina Faso, Cameroun, Côte d’Ivoire, Gabon, Rwanda, Sénégal, Tunisie
Langue(s) : français
Prix : 1500 FCFA / 2,3 €

Invitée au Rwanda en 1998 pour une résidence d’écriture, Véronique Tadjo découvre les séquelles laissées par le génocide. Par devoir de mémoire, elle décide de redonner des visages, des noms, des vies à ceux qu’elle a croisés, victimes ou bourreaux. Tour à tour témoignage et fiction, son texte pose un regard humain sur un des plus grands drames de l’Afrique contemporaine. L’Ombre d’Imana est un acte de foi dans la capacité de la littérature à apporter un éclairage nouveau sur le passé et à aider les peuples à réapprendre à vivre ensemble. Pour qu’une telle barbarie ne se reproduise plus.

Auteur de nationalité ivoirienne, Véronique Tadjo vit actuellement en Afrique du Sud. Elle a écrit des romans, des recueils de poèmes et des livres pour la jeunesse. Le Grand Prix Littéraire d’Afrique Noire 2005 lui a été décerné pour l’ensemble de son œuvre.

Date de publication : 2006
144 pages,
12 X 19 cm

Collection Terres solidaires

Créée en 2007, la collection « Terres solidaires » est une expérience collective. Elle propose des textes littéraires d’autrices et auteurs africain.e.s, édités par un collectif de maisons d’édition en Afrique francophone. Grâce au principe de la coédition solidaire, les textes circulent, sont disponibles et accessibles pour les lecteurs africains ; l’écosystème du livre local est préservé et renforcé.
La collection « Terres solidaires » est soutenue par l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF).

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100 propositions du Forum social mondial

Pays de parution : France, Gabon, Guinée, Mali, Maroc
Langue(s) : espagnol , français , portugais
Prix : 18 €

Créé en 2001 à Porto Alegre pour venir en contrepoint du Forum économique mondial de Davos, le Forum social mondial n’a cessé, d’édition en édition, de s’étoffer, de s’internationaliser, de s’organiser. Cependant, faute d’informations sur le contenu des débats, il n’a jamais réussi à convaincre les médias, l’opinion, les politiques de sa force « proposante ». Or, les propositions qui en ont émergé sont nombreuses. S’appuyant sur la mémoire des forums précédents, onze rédacteurs, femmes et hommes originaires de différentes régions du monde, ont couvert les débats à Porto Alegre, pour l’édition 2005 du FSM, et ont recueilli les propositions des onze espaces thématiques. Leur travail permet de démontrer que le Forum social mondial est un véritable espace de construction d’une communauté mondiale qui produit en abondance des percées intellectuelles et des propositions concrètes fondées sur la conviction que, oui, « un autre monde est possible ». Cet ouvrage est édité simultanément en portugais, en anglais et en espagnol.

Date de publication : 2006

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A Violência das Cidades

Auteur(s) : Yves PEDRAZZINI
Pays de parution : Angola, Brésil, Guinée-Bissao, Portugal
Langue(s) : portugais

Traduit du français par Giselle UNTI

L’ouvrage La Violence des villes, paru initialement en 2005 dans la collection francophone « Enjeux Planète », est paru en juin 2006 en portugais.
Coédité par l’éditeur brésilien Vozes, l’angolais Chá de Caxinde et le portugais Campo das Letras, ce livre a reçu un appui de la Fondation Prince Claus pour la culture et le développement.
Après Les batailles de l’eau de Mohammed Larbi Bouguerra, c’est le second titre francophone de la collection « Enjeux Planète » traduit et publié dans la collection lusophone « Questões Mundiais ».

Au Nord comme au Sud, nous aimons les grandes villes, mais nous n’en aimons pas la violence. Une tendance lourde est d’en attribuer les causes aux habitants les plus pauvres, puis d’adopter, pour les combattre, des stratégies sécuritaires : nos sociétés se transforment vite en sociétés de la peur. L’urbanisme, déjà, divise l’espace en forteresses et bidonvilles. On ne peut pas continuer à penser l’urbanisation depuis les commissariats de police : une lecture alternative des phénomènes de violence et d’insécurité urbaines est nécessaire. Elle ne peut se faire qu’en les resituant dans le contexte de la violence de l’urbanisation et de la globalisation. En prenant en compte, aussi, le point de vue des pauvres et en privilégiant, d’entre les pauvres, les « méchants », les outsiders, les illégaux, les bandits, les membres des gangs.
Quand tout paraît fermé, la « vision du pauvre » ouvre des pistes pour une pacification des territoires urbains. Contre l’actuelle dérive sécuritaire, un dialogue créatif s’impose avec ceux que le pouvoir diabolise. Ce livre s’adresse à tous ceux qui cherchent à saisir le sens de la ville, ceux qu’elle effraie et ceux qui l’aiment et ne veulent pas y renoncer, mais également aux habitants des quartiers extrêmes, même s’ils sont pauvres et « méchants », même si la ville les détruit plus qu’elle ne les protège. Pour reconstruire des villes habitables, il faut désobéir aux modèles.

Date de publication : 2006,
188 pages

Collection Enjeux Planète

12 éditeurs francophones traitent de différents thèmes sur les défis de la mondialisation (ressources naturelles, aide au développement, rapports Nord-Sud, etc.). Une collection internationale pour une autre mondialisation : « Enjeux Planète » existe aussi en anglais et en portugais. De brefs essais, porteurs de diagnostics et de propositions, de perspectives d’action, accessibles à un large public. Portant le label « Le Livre équitable », la collection fait l’objet d’accords commerciaux justes et solidaires.

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Water Under Threat

Auteur(s) : Mohamed LARBI BOUGUERRA (dir.)
Pays de parution : Afrique du Sud, Canada, Inde, Malaisie, Royaume-Uni, Thaïlande
Langue(s) : anglais

Traduit du français par Patrick CAMILLER

Ouvrage également disponible en arabe, portugais, espagnol et français.

Cette coédition anglophone vient rejoindre les versions francophone (12 éditeurs), lusophone (5 éditeurs), arabophone (5 éditeurs) et espagnole (1 éditeur). Le livre de Mohamed Larbi Bouguerra est donc aujourd’hui disponible dans 5 langues, et publié dans 29 pays différents.

L’eau est devenue une question politique et géostratégique majeure qui fait l’actualité dans les sommets mondiaux et les forums alternatifs. En fait, cette ressource vitale commande le développement des sociétés humaines. Pour certains, elle est une banale marchandise qui doit générer des profits. Pour d’autres, c’est un bien commun de l’humanité, ayant une charge symbolique exceptionnelle dans toutes les cultures et toutes les religions. L’eau a-t-elle un prix ? L’eau est-elle un droit ou un besoin ? Y a-t-il assez d’eau pour chacun face à la croissance démographique ? Y a-t-il une crise de l’eau ? Y aura-t-il demain des guerres de l’eau ? Les solutions techniques suffiront-elles à juguler la pollution de l’eau ? Cet ouvrage montre que la gestion et les usages de l’eau posent aux hommes des questions essentielles sur leur mode de vie, leur éthique, leur rapport avec la nature et à la biosphère. Il plaide pour une société économe en eau et pour une gestion globale solidaire de l’eau.

Date de publication : 2006,
208 pages

Collection Enjeux Planète

12 éditeurs francophones traitent de différents thèmes sur les défis de la mondialisation (ressources naturelles, aide au développement, rapports Nord-Sud, etc.). Une collection internationale pour une autre mondialisation : « Enjeux Planète » existe aussi en anglais et en portugais. De brefs essais, porteurs de diagnostics et de propositions, de perspectives d’action, accessibles à un large public. Portant le label « Le Livre équitable », la collection fait l’objet d’accords commerciaux justes et solidaires.

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La diplomatie non gouvernementale

Auteur(s) : Henri ROUILLÉ D’ORFEUIL
Pays de parution : Bénin, Cameroun, Canada, France, Gabon, Guinée, Mali, Maroc, Suisse
Langue(s) : français
Prix : 14 €

Comment assurer la survie de la planète et permettre une vie habitable pour tous en son sein ? Comment tenir les objectifs du millénaire pour le développement qui visent à réduire de moitié la pauvreté et la malnutrition à l’horizon 2015 ? La diplomatie des gouvernements, si nécessaire soit-elle, a besoin de l’action des citoyens pour être plus efficace, comme le prouve l’intervention des ONG dans l’espace public mondial. Depuis quinze ans, cette diplomatie non gouvernementale a permis des avancées non négligeables : campagnes d’opinion pour la défense des droits humains, des droits économiques et sociaux, des droits de l’enfant, actions en faveur des agriculteurs familiaux et pour la souveraineté alimentaire, mobilisations pour la protection de l’environnement, l’interdiction des mines antipersonnel, la production des médicaments génériques, l’annulation de la dette des pays pauvres et le lancement de taxes internationales.

Ce livre, qui repose sur une longue expérience des négociations internationales, examine les processus diplomatiques de ces quinze dernières années et propose des clés de lecture aux analystes qui s’intéressent à la construction d’un État de droit international. Il donne aussi des pistes d’action aux responsables d’associations et aux citoyens engagés dans la construction d’une mondialisation soucieuse du respect des droits sociaux et environnementaux. En décrivant l’étonnant pouvoir d’influence des ONG au regard de leurs modestes moyens, Henri Rouillé d’Orfeuil jette les bases d’une participation plus active des citoyens au gouvernement du monde.

Date de publication : 2006

Collection Enjeux Planète

12 éditeurs francophones traitent de différents thèmes sur les défis de la mondialisation (ressources naturelles, aide au développement, rapports Nord-Sud, etc.). Une collection internationale pour une autre mondialisation : « Enjeux Planète » existe aussi en anglais et en portugais. De brefs essais, porteurs de diagnostics et de propositions, de perspectives d’action, accessibles à un large public. Portant le label « Le Livre équitable », la collection fait l’objet d’accords commerciaux justes et solidaires.

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Maman

Auteur(s) : Béatrice LALINON GBADO ; Mamadou Wolid NIANG, Ousseynou SAKHO, Abdoulaye SECK, Ibrahima DIA, Chérif DIOP
Pays de parution : Bénin, Burkina Faso, Côte d’Ivoire, Sénégal, Congo Brazzaville
Langue(s) : français
Prix : 15 euros ; 5 000 FCFA

Ce texte poétique, écrit par Béatrice LALINON GBADO, est un véritable hommage à la femme, un long poème magnifiquement illustré par plusieurs artistes sénégalais travaillant la technique du « sous-verre ».

Date de publication : 2006,
48 pages,
24 X 24 cm

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Festins de la détresse

Auteur(s) : Aminata SOW FALL
Pays de parution : Bénin, Burkina Faso, Cameroun, Côte d’Ivoire, France, Mali, Maroc, Sénégal, Suisse
Langue(s) : français
Prix : 18 €

Chroniques d’une famille et d’une cour, Festins de la détresse, nous plongent au cœur de vies en proie aux absurdités que provoquent les changements économiques et sociaux, trop rapides pour le temps d’une vie humaine. Puisant dans la mémoire complexe du chant africain, Aminata Sow Fall veut « changer la croyance selon laquelle la nourriture et les biens matériels sont seuls nécessaires à la survie, et mettre en évidence l’importance de la créativité et des besoins spirituels. Ils sont même plus importants que les biens matériels, qui ne suffisent pas à fonder la dignité d’un être humain ».

Date de publication : 2005,
160 pages,
14,5 X 22 cm

Collection Terres d’écritures

La collection « Terres d’écritures » accueille des textes de création – populaires, littéraires et poétiques – coédités par des éditeurs au Nord et au Sud. Les coéditions de cette collection portent le label « Le Livre équitable ».

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La maison-monde

Auteur(s) : François-Xavier VERSCHAVE
Pays de parution : Bénin, Burkina Faso, Côte d’Ivoire, France, Gabon, Maroc
Langue(s) : français
Prix : 15 €

Disparu en 1985, Fernand Braudel a révolutionné la façon de concevoir et d’écrire l’histoire. En convoquant les données de la géographie, de l’économie politique et de la sociologie, il a redonné à l’histoire humaine toute l’amplitude de son mouvement. L’oeuvre de Braudel peut-elle ébranler le discours des économistes et des technocrates d’aujourd’hui ? En mettant en avant l’autonomie relative des différents étages de l’économie ainsi que les voies de passage entre eux, son analyse permet de comprendre les processus de domination actuels. Cet ouvrage réactualise le premier livre de F-X Verschave, bien connu pour sa dénonciation des dérives de la coopération internationale.

Date de publication : 2005,
246 pages,
14 X 22 cm

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Observatoire de la bibliodiversité

La BD au Maroc : en attente de lecteurs

À première vue, le Maroc peut passer pour un pays où la bande dessinée est reine : le pays a abrité ou abrite plusieurs festivals de bande dessinée (Tétouan, Fès, Kénitra, Casablanca) et compte avec l’Institut National des beaux-arts de Tétouan, la seule filière BD de l’Afrique francophone. Malheureusement, la production de BD au niveau local ou dans la diaspora reste faible et la BD reste un genre mineur au Maroc, même si on constate un certain frémissement depuis quelques années. Retour sur une histoire vieille de plus de 50 ans.

Lire l’intégralité de l’article « La BD au Maroc : en attente des lecteurs », écrit par Christophe Cassiau-Haurie, publié par Africultures, le 23 mars 2017.

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Une opération de dons de livres en Côte d’Ivoire : quels impacts pour la bibliodiversité ?, juin 2017

Dans le cadre d’une convention signée en juin 2017 entre le ministère de la Culture de Côte d’Ivoire et le Syndicat national de l’Édition française (SNE), « les éditeurs français, via la société Electre, s’engagent à faire un don chaque année, de 5 000 livres de littérature générale, de jeunesse et de sciences humaines, destinés à enrichir et développer les fonds des bibliothèques nationales de Côte d’Ivoire. À travers ce texte, les parties partagent une volonté commune de développement de la Francophonie ainsi qu’une meilleure connaissance des livres de chaque pays ».

L’Association internationale des libraires francophones (AILF) et l’Alliance partagent dans un communiqué commun leurs réflexions et préoccupations et rappellent les possibles répercussions des dons de livres sur la chaîne du livre d’un pays.

Extrait du communiqué, 15 juin 2017 :
Nous invitons à se référer à plusieurs ressources et réflexions formulées par des professionnels du livre, des universitaires et des collectifs, recensées ici.

L’ensemble de ces témoignages, analyses et articles mettent en évidence certaines questions, fondamentales à prendre en compte pour toute opération de dons de livres, dont nous en rappelons les principales ici :
=> Prendre en compte les besoins des lecteurs pour que les ouvrages envoyés soient en adéquation avec leurs attentes, leurs langues, leurs envies : types d’ouvrages répondant à des besoins spécifiques identifiés
=> Travailler main dans la main avec les professionnels locaux :

  • Associer et travailler étroitement avec les bibliothécaires : les livres envoyés viennent-ils en complément de l’offre de la bibliothèque dans un souci de bibliodiversité ? Permettent-ils de constituer un nouveau rayon thématique ? Des animations sont-elles prévues pour que les lecteurs les découvrent ?
  • Associer les libraires et éditeurs locaux afin de respecter la chaîne du livre locale : comment faire en sorte que les dons ne viennent pas fragiliser et court-circuiter l’économie locale ?

=> Prévoir, en complément des opérations de dons de livres, des actions de soutien pérennes pour la filière locale.

Nous sommes attachés à inscrire ces recommandations en référence à la Convention sur la protection et la promotion de la diversité des expressions culturelles de l’UNESCO (2005).

Le développement du secteur culturel d’un pays – et en particulier celui du livre – est une des conditions d’émergence de la création ; garantit la vitalité d’un vivier de créateurs (auteurs, traducteurs, illustrateurs…) et de professionnels (bibliothécaires, éditeurs, libraires, diffuseurs…) ; génère un dynamisme économique. La Côte d’Ivoire en est une illustration exemplaire depuis plusieurs années. Il serait ainsi préoccupant que des opérations de dons viennent fragiliser l’écosystème local ; il serait regrettable que ces opérations ne prennent pas en compte le travail et les partenariats mis en place par les collectifs professionnels d’éditeurs et de libraires, au niveau national et international, depuis plusieurs années (coéditions francophones, travail sur les langues africaines, ateliers et formations…).

Nous rappelons par ailleurs qu’il existe d’autres manières de penser le don de livres :
=> S’appuyer sur un principe et des mécanismes de réciprocité : en contrepartie de 5 000 livres donnés, un achat de livres ivoiriens pourrait être réalisé pour les bibliothèques françaises – afin justement de renforcer « une meilleure connaissance des livres de chaque pays » ;
=> Monétiser le don dans une logique de redistribution : les 5 000 livres ne sont pas donnés mais vendus en France, et l’argent récolté est reversé à l’Association des éditeurs ivoiriens pour le prochain Salon International du livre d’Abidjan (cf. bibliobraderies organisées par Bibliothèques Sans Frontières) ;
=> Privilégier une logique de partenariats équilibrés entre professionnels : l’argent prévu pour le transport des 5 000 livres de France vers la Côte d’Ivoire n’est pas utilisé pour une opération de dons mais pour des rencontres entre éditeurs ivoiriens et français dans l’optique de cessions de droits ; pour des rencontres entre libraires ivoiriens et français dans l’optique de partenariats…

Il s’agit ainsi de trouver collectivement des systèmes de solidarité et de réciprocité, en adéquation avec les réalités du terrain. Ce sont ces formes de coopération et de liens qui assurent sur le moyen terme les bases de partenariats de confiance, la structuration pérenne et viable des marchés – garantissant également la conscientisation, l’éveil et l’émancipation des futures générations de lecteurs et citoyens.

Lire l’intégralité du Communiqué ci-contre.

Voir les articles publiés par ActuaLitté :

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Histoire de la bande dessinée en Côte d’Ivoire (3/3)

Peu de gens le savent, mais l’édition ivoirienne est l’une des plus anciennes du continent. Christophe Cassiau-Haurie documente en trois épisodes, l’histoire de la bande dessinée depuis les années 1960. En voici le troisième et dernier volet sur la décennie 2010.

Lire ici l’article publié par Africultures le 12 février 2019.

Retrouvez ici l’intégralité de « Histoire de la bande dessinée en Côte d’Ivoire (2/3) », par Christophe Cassiau-Haurie, publié par Africultures le 16 janvier 2018.
Et retrouvez ici l’Histoire de la bande dessinée en Côte d’Ivoire 1/3.

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Histoire de la bande dessinée en Cote d’Ivoire (2/3)

Après avoir retracé l’histoire de la bande dessinée en Côte d’Ivoire des années 1960 aux années 1990, Christophe Cassiau-Haurie nous plonge dans les années 2000.

La crise politique et militaire qui affecte le pays à compter de 2002 met un coup de frein aux activités des auteurs de BD (en particulier la publication d’albums) pendant près d’une décennie. Seules quelques productions locales sont visibles sur le marché national, beaucoup d’entre elles au tout début de la décennie.

Lire l’intégralité de « Histoire de la bande dessinée en Côte d’Ivoire (2/3) », par Christophe Cassiau-Haurie, publié par Africultures le 16 janvier 2018.
Et retrouvez ici l’Histoire de la bande dessinée en Côte d’Ivoire 1/3.

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Histoire de la bande dessinée en Côte d’Ivoire (1/3)

Peu de gens le savent, mais l’édition ivoirienne est l’une des plus anciennes du continent.
Les éditions CEDA sont nées en 1961. Elles ont été créées par l’Etat Ivoirien en partenariat avec les éditions françaises Hatier, Didier, Fouchier et Mame. Si l’Etat n’était actionnaire qu’à 25% à l’origine, il est passé à 51% en 1974. En 1972, sont créés à Dakar les NEA (Nouvelles Editions Africaines) avec une direction générale à Dakar et deux antennes à Lomé et Abidjan. Dix ans plus tard, les NEA Abidjan tentent une autonomie qui se solde par un dépôt de bilan en 1989.

Lire l’intégralité de « Histoire de la bande dessinée en Côte d’Ivoire (1/3) », par Christophe Cassiau-Haurie, publié par Africultures le 15 mars 2017.

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Des propositions et actions pour développer les partenariats éditoriaux solidaires

Ces recommandations et propositions sont extraites des 80 recommandations en faveur de la bibliodiversité, formulées lors des Assises internationales de l’édition indépendante (2012-2014).

Elles ont été formulées à partir de l’expérience et des pratiques au sein de l’Alliance internationale des éditeurs indépendants : elles concernent prioritairement les partenariats éditoriaux entre éditeurs des pays du Sud dans la mesure où les soutiens à l’édition dans ces pays sont souvent faibles, voire inexistants, et entre éditeurs du Sud et du Nord dans la mesure où ces échanges sont encore peu fréquents.

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Modèles de contrats pour des partenariats éditoriaux

L’Alliance tient à votre disposition des modèles de contrat type pour les partenariats éditoriaux suivants :

Pour toute demande de contrat type ou pour un conseil sur la mise en place d’un partenariat éditorial, n’hésitez pas à contacter l’équipe de l’Alliance.

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Les programmes de don de livre en Afrique : le temps venu pour une réévaluation ?, Raphaël Thierry / partie 2, 2015

Deuxième partie : Raphaël Thierry : Le don de livre, mais à quel prix, et en échange de quoi ? (un panorama du don de livre en Afrique francophone)

À venir dans African Research & Documentation, Revue de la SCOLMA (the UK Libraries and Archives Group on Africa), no. 127 (2015) [Publication 2017]

Retrouvez aussi l’article sur le site EditAfrica !

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Les programmes de don de livre en Afrique : le temps venu pour une réévaluation ?, Hans Zell / partie 1, 2015

Première partie : Hans M. Zell : le don de livre en Afrique de langue anglaise (en anglais)

À venir dans dans African Research & Documentation, Revue de la SCOLMA (the UK Libraries and Archives Group on Africa), no. 127 (2015) [Publication 2017]

Extrait de l’avant-propos de l’éditrice :
« C’est une très grande joie que de publier ce numéro d’African Research & Documentation (ARD). La Scolma est très reconnaissante à l’égard d’Hans Zell et de Raphaël Thierry pour avoir choisi de publier dans nos pages la totalité de leur étude consacrée aux programmes de don de livre en Afrique.
Comme l’affirment les auteurs, « le temps est venu pour une réévaluation » et nous espérons en cela que le débat qui suivra trouvera sa place dans les pages d’ARD, de même que sur internet. Je voudrai ici solliciter réactions et retours sur cette étude importante aussi bien que provocatrice en certains points. Les retours des bibliothèques destinataires seront particulièrement les bienvenus. »
Terry Barringer, éditrice, African Research & Documentation

Retrouvez aussi l’article sur EditAfrica !

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Appel à candidatures : récolte de données et cartographies des politiques publiques du livre dans le monde arabe et en Afrique subsaharienne/Madagascar

Dans le cadre du travail sur les politiques publiques du livre entamé en 2017 (voir présentation ici), l’Alliance lance un appel à candidatures pour les phases de récolte de données et de cartographies des politiques publiques du livre dans le monde arabe et en Afrique subsaharienne/Madagascar.

Si vous êtes intéressé-e-s pour réaliser ce travail de récolte de données et de cartographies dans une de ces deux zones, aux conditions indiquées dans les appels ci-contre, nous vous remercions d’adresser votre proposition à l’équipe de l’Alliance, avant le 30 avril 2017.

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