français

L’Alliance

Salon du livre de Paris 2006

Pays de parution : France

L’Alliance internationale des éditeurs indépendants remercie chaleureusement toutes les personnes qui ont contribué à la réussite de notre stand collectif au Salon du Livre de Paris.

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Bibliodiversité 2, février 2006

À lire ! Le deuxième numéro de Bibliodiversité, la lettre mensuelle de l’Alliance des éditeurs indépendants, vient de paraître.

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Bibliodiversité 1, janvier 2006

À lire ! Le premier numéro de Bibliodiversité, la lettre mensuelle de l’Alliance des éditeurs indépendants vient de paraître.

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Les éditeurs indépendants du monde latin et la bibliodiversité, Mexique, 2005

Pays de parution : Mexique

27-30 novembre 2005
Foire Internationale du Livre de Guadalajara, Mexique

Le livre et le monde éditorial sont au cœur du débat actuel sur la nécessité de promouvoir la diversité culturelle dans le contexte de la mondialisation et de la concentration des industries culturelles, en tenant compte de la prédominance du facteur économique.
Textes issus de la rencontre

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FILDAK 2005 - Foire Internationale du Livre et du Matériel Didactique de Dakar (Sénégal)

Pays de parution : Sénégal

L’Alliance des éditeurs indépendants et l’Association Internationale des Libraires Francophones (AILF) ont tenu conjointement à la Foire Internationale du Livre et du matériel didactique de Dakar (Sénégal), un stand de présentation de leurs activités. À cette occasion, l’Alliance a lancée une étude sur l’édition en langues africaines, sous la direction de Jean-Claude Naba (éditions Sankofa & Gurli au Burkina Faso), avec l’appui de Karine Lewkowicz.

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Salon du livre et de la presse jeunesse, Montreuil, 2005

Pays de parution : France


L’Alliance des éditeurs indépendants a été invitée au Salon du livre et de la presse jeunesse de Seine-Saint-Denis, du 30 novembre au 5 décembre, sur le stand d’Afrilivres. Béatrice Lalinon-Gbado, présidente de l’association panafricaine et, par ailleurs, éditrice jeunesse au Bénin (Ruisseaux d’Afrique) et également auteur de l’ouvrage “Maman“, sélectionné pour participer au Prix Baobab, a eu le plaisir de vous y rencontrer.
Par ailleurs, la LIBRE, Ligue brésilienne des éditeurs, partenaire de l’Alliance, fut représentée au Salon par la maison d’édition Maco.


Site officiel du Salon

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Rencontre des éditeurs arabophones, Beyrouth, 2005

Pays de parution : Liban

La rencontre des éditeurs de langue arabe s’est tenue à Beyrouth, les 11 et 12 décembre 2005, et a réuni les éditeurs du Liban (Dar Al Farabi et Intishar), du Maroc (Toubkal), d’Algérie (Thala), de Tunisie (Med Ali), de Libye (Tala) et de Jordanie (Dar Al Shoruk). Les éditeurs ont également participé au Salon du livre arabophone de Beyrouth.

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L’Alliance au Centre Georges Pompidou

Pays de parution : France

L’Alliance des éditeurs indépendants participe le 10 octobre 2005, au Centre Georges Pompidou (Paris), à 19h, à un débat sur la bibliodiversité et les conditions d’existence du livre de création en France et ailleurs.
Cette rencontre, organisée par Littératures Pirates Korporation (LPK, voir www.litteraturespirates.org) s’inscrit dans le cadre de Lire en Fête.

Hélène Clémente d’Inextenso (diffuseur de petits éditeurs d’art contemporain : www.inextensodiffusion.com), Claire Mathon (LPK), Philippe Magnani (Paris Musées Diffusion), Jérôme Saliou (librarie Alphagraph, Rennes) et Étienne Galliand (Alliance des éditeurs indépendants) débattront des pratiques qui visent à défendre la diversité de l’édition indépendante. Ici et ailleurs, la question est plus que jamais d’actualité : comment valoriser la bibliodiversité ?

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Rencontre du réseau lusophone, septembre 2005

Pays de parution : Brésil

La rencontre du réseau lusophone de l’Alliance des éditeurs indépendants s’est tenue à Rio de Janeiro, les 14 et 15 septembre 2005, et a réuni les éditeurs d’Angola (Cha de Caxinde), de Guinée Bissao (Ku Si Mon), de Portugal (Campo das Letras), de Mozambique (Moçambique editora) et du Brésil (Vozes et Pallas). Ces éditeurs du Brésil, du Portugal et d’Afrique lusophone ont également participé à la Primavera dos Livros de Rio de Janeiro, foire du livre organisée par les éditeurs brésiliens du réseau LIBRE.

Les documents suivants sont disponibles auprès de l’Alliance :

1) Le rapport de la rencontre du réseau lusophone de l’Alliance des éditeurs indépendants (Rio de Janeiro, 14 et 15 septembre) ;

2) La participation à la Primavera dos Livros (Rio de Janeiro, 16-19 septembre) ;

3) Les projets 2004-2005 (Année du Brésil en France, Biennale de Rio, Bibliothèque Nationale) ;

4) L’annuaire des participants et autres contacts.

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Survie en deuil

L’Alliance des éditeurs indépendants s’associe à Survie pour vous faire part du décès de François-Xavier Verschave, survenu le 29 juin 2005.
« Fondateur de l’association Survie, qu’il présidait depuis 1995, il fut, 20 ans durant, en notre sein, ce qu’aucun qualificatif ne pourrait exprimer, au-delà des qualités et de la pertinence avec lesquelles il menait notre combat collectif. Il a défini lui même ce combat comme étant celui d’abord de ne pas nuire à autrui, et en particulier aux peuples africains. Emporté par un cancer que la meilleure des médecines n’a pu enrayer, sa disparition nous laisse dans l’incapacité de trouver les mots pour dire ce que nous avons au fond du cœur. Elle nous laisse, cependant, avec l’exemple que François-Xavier nous lègue : celui de ne point baisser les bras dans un combat pour que la vérité, la justice, l’équité, soient les maîtres mots dans la conduite des affaires humaines. À celui qui n’a jamais flanché devant la difficulté, jamais perdu l’espoir de « donner valeur de loi au devoir de sauver les vivants », nous devons de puiser en nous la force de poursuivre l’œuvre. Nous nous y engageons. » Association Survie.

François-Xavier Verschave est notamment l’auteur de La Maison Monde, publié par 6 éditeurs membres de l’Alliance. Nous sommes tous particulièrement touchés par cette disparition.

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Observatoire de la bibliodiversité

Enquêtes, témoignages et sensibilisation sur les répercussions du don de livres à Madagascar, 2002-2015

Depuis plusieurs années, l’Association des éditeurs de Madagascar (AEdiM) et particulièrement l’une de ses membres, Marie Michèle Razafintsalama (éditions Jeunes malgaches), mène un travail d’enquêtes de terrain sur les dons de livres à Madagascar.

Différentes actions de sensibilisation ont été menées par cette éditrice auprès d’associations, organisations et professionnels localement mais aussi en France, qui portent leurs fruits progressivement, par exemple :

Lire aussi l’interview de Marie Michèle Razafintsalama publiée par le magazine en ligne ActuaLitté en novembre 2016 : « Madagascar : “À force de dons, les gens pensent que le livre ne s’achète pas.” »

Écouter ici l’émission « Cap Océan Indien », sur RFI, du 22 mai 2011 : L’appel de l’éditrice Marie-Michèle Razafintsalama.

Lire ci-contre les résultats des enquêtes sur le don de livres menées à Madagascar entre 2003 et 2012.

Ecouter l’interview de Marie Michèle Razafinstalama dans l’émission « Cap Océan Indien », sur RFI (22 mai 2011)

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La BD au Maroc : en attente de lecteurs

À première vue, le Maroc peut passer pour un pays où la bande dessinée est reine : le pays a abrité ou abrite plusieurs festivals de bande dessinée (Tétouan, Fès, Kénitra, Casablanca) et compte avec l’Institut National des beaux-arts de Tétouan, la seule filière BD de l’Afrique francophone. Malheureusement, la production de BD au niveau local ou dans la diaspora reste faible et la BD reste un genre mineur au Maroc, même si on constate un certain frémissement depuis quelques années. Retour sur une histoire vieille de plus de 50 ans.

Lire l’intégralité de l’article « La BD au Maroc : en attente des lecteurs », écrit par Christophe Cassiau-Haurie, publié par Africultures, le 23 mars 2017.

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Une opération de dons de livres en Côte d’Ivoire : quels impacts pour la bibliodiversité ?, juin 2017

Dans le cadre d’une convention signée en juin 2017 entre le ministère de la Culture de Côte d’Ivoire et le Syndicat national de l’Édition française (SNE), « les éditeurs français, via la société Electre, s’engagent à faire un don chaque année, de 5 000 livres de littérature générale, de jeunesse et de sciences humaines, destinés à enrichir et développer les fonds des bibliothèques nationales de Côte d’Ivoire. À travers ce texte, les parties partagent une volonté commune de développement de la Francophonie ainsi qu’une meilleure connaissance des livres de chaque pays ».

L’Association internationale des libraires francophones (AILF) et l’Alliance partagent dans un communiqué commun leurs réflexions et préoccupations et rappellent les possibles répercussions des dons de livres sur la chaîne du livre d’un pays.

Extrait du communiqué, 15 juin 2017 :
Nous invitons à se référer à plusieurs ressources et réflexions formulées par des professionnels du livre, des universitaires et des collectifs, recensées ici.

L’ensemble de ces témoignages, analyses et articles mettent en évidence certaines questions, fondamentales à prendre en compte pour toute opération de dons de livres, dont nous en rappelons les principales ici :
=> Prendre en compte les besoins des lecteurs pour que les ouvrages envoyés soient en adéquation avec leurs attentes, leurs langues, leurs envies : types d’ouvrages répondant à des besoins spécifiques identifiés
=> Travailler main dans la main avec les professionnels locaux :

  • Associer et travailler étroitement avec les bibliothécaires : les livres envoyés viennent-ils en complément de l’offre de la bibliothèque dans un souci de bibliodiversité ? Permettent-ils de constituer un nouveau rayon thématique ? Des animations sont-elles prévues pour que les lecteurs les découvrent ?
  • Associer les libraires et éditeurs locaux afin de respecter la chaîne du livre locale : comment faire en sorte que les dons ne viennent pas fragiliser et court-circuiter l’économie locale ?

=> Prévoir, en complément des opérations de dons de livres, des actions de soutien pérennes pour la filière locale.

Nous sommes attachés à inscrire ces recommandations en référence à la Convention sur la protection et la promotion de la diversité des expressions culturelles de l’UNESCO (2005).

Le développement du secteur culturel d’un pays – et en particulier celui du livre – est une des conditions d’émergence de la création ; garantit la vitalité d’un vivier de créateurs (auteurs, traducteurs, illustrateurs…) et de professionnels (bibliothécaires, éditeurs, libraires, diffuseurs…) ; génère un dynamisme économique. La Côte d’Ivoire en est une illustration exemplaire depuis plusieurs années. Il serait ainsi préoccupant que des opérations de dons viennent fragiliser l’écosystème local ; il serait regrettable que ces opérations ne prennent pas en compte le travail et les partenariats mis en place par les collectifs professionnels d’éditeurs et de libraires, au niveau national et international, depuis plusieurs années (coéditions francophones, travail sur les langues africaines, ateliers et formations…).

Nous rappelons par ailleurs qu’il existe d’autres manières de penser le don de livres :
=> S’appuyer sur un principe et des mécanismes de réciprocité : en contrepartie de 5 000 livres donnés, un achat de livres ivoiriens pourrait être réalisé pour les bibliothèques françaises – afin justement de renforcer « une meilleure connaissance des livres de chaque pays » ;
=> Monétiser le don dans une logique de redistribution : les 5 000 livres ne sont pas donnés mais vendus en France, et l’argent récolté est reversé à l’Association des éditeurs ivoiriens pour le prochain Salon International du livre d’Abidjan (cf. bibliobraderies organisées par Bibliothèques Sans Frontières) ;
=> Privilégier une logique de partenariats équilibrés entre professionnels : l’argent prévu pour le transport des 5 000 livres de France vers la Côte d’Ivoire n’est pas utilisé pour une opération de dons mais pour des rencontres entre éditeurs ivoiriens et français dans l’optique de cessions de droits ; pour des rencontres entre libraires ivoiriens et français dans l’optique de partenariats…

Il s’agit ainsi de trouver collectivement des systèmes de solidarité et de réciprocité, en adéquation avec les réalités du terrain. Ce sont ces formes de coopération et de liens qui assurent sur le moyen terme les bases de partenariats de confiance, la structuration pérenne et viable des marchés – garantissant également la conscientisation, l’éveil et l’émancipation des futures générations de lecteurs et citoyens.

Lire l’intégralité du Communiqué ci-contre.

Voir les articles publiés par ActuaLitté :

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Histoire de la bande dessinée en Côte d’Ivoire (3/3)

Peu de gens le savent, mais l’édition ivoirienne est l’une des plus anciennes du continent. Christophe Cassiau-Haurie documente en trois épisodes, l’histoire de la bande dessinée depuis les années 1960. En voici le troisième et dernier volet sur la décennie 2010.

Lire ici l’article publié par Africultures le 12 février 2019.

Retrouvez ici l’intégralité de « Histoire de la bande dessinée en Côte d’Ivoire (2/3) », par Christophe Cassiau-Haurie, publié par Africultures le 16 janvier 2018.
Et retrouvez ici l’Histoire de la bande dessinée en Côte d’Ivoire 1/3.

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Histoire de la bande dessinée en Cote d’Ivoire (2/3)

Après avoir retracé l’histoire de la bande dessinée en Côte d’Ivoire des années 1960 aux années 1990, Christophe Cassiau-Haurie nous plonge dans les années 2000.

La crise politique et militaire qui affecte le pays à compter de 2002 met un coup de frein aux activités des auteurs de BD (en particulier la publication d’albums) pendant près d’une décennie. Seules quelques productions locales sont visibles sur le marché national, beaucoup d’entre elles au tout début de la décennie.

Lire l’intégralité de « Histoire de la bande dessinée en Côte d’Ivoire (2/3) », par Christophe Cassiau-Haurie, publié par Africultures le 16 janvier 2018.
Et retrouvez ici l’Histoire de la bande dessinée en Côte d’Ivoire 1/3.

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Histoire de la bande dessinée en Côte d’Ivoire (1/3)

Peu de gens le savent, mais l’édition ivoirienne est l’une des plus anciennes du continent.
Les éditions CEDA sont nées en 1961. Elles ont été créées par l’Etat Ivoirien en partenariat avec les éditions françaises Hatier, Didier, Fouchier et Mame. Si l’Etat n’était actionnaire qu’à 25% à l’origine, il est passé à 51% en 1974. En 1972, sont créés à Dakar les NEA (Nouvelles Editions Africaines) avec une direction générale à Dakar et deux antennes à Lomé et Abidjan. Dix ans plus tard, les NEA Abidjan tentent une autonomie qui se solde par un dépôt de bilan en 1989.

Lire l’intégralité de « Histoire de la bande dessinée en Côte d’Ivoire (1/3) », par Christophe Cassiau-Haurie, publié par Africultures le 15 mars 2017.

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Des propositions et actions pour développer les partenariats éditoriaux solidaires

Ces recommandations et propositions sont extraites des 80 recommandations en faveur de la bibliodiversité, formulées lors des Assises internationales de l’édition indépendante (2012-2014).

Elles ont été formulées à partir de l’expérience et des pratiques au sein de l’Alliance internationale des éditeurs indépendants : elles concernent prioritairement les partenariats éditoriaux entre éditeurs des pays du Sud dans la mesure où les soutiens à l’édition dans ces pays sont souvent faibles, voire inexistants, et entre éditeurs du Sud et du Nord dans la mesure où ces échanges sont encore peu fréquents.

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Modèles de contrats pour des partenariats éditoriaux

L’Alliance tient à votre disposition des modèles de contrat type pour les partenariats éditoriaux suivants :

Pour toute demande de contrat type ou pour un conseil sur la mise en place d’un partenariat éditorial, n’hésitez pas à contacter l’équipe de l’Alliance.

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Les programmes de don de livre en Afrique : le temps venu pour une réévaluation ?, Raphaël Thierry / partie 2, 2015

Deuxième partie : Raphaël Thierry : Le don de livre, mais à quel prix, et en échange de quoi ? (un panorama du don de livre en Afrique francophone)

À venir dans African Research & Documentation, Revue de la SCOLMA (the UK Libraries and Archives Group on Africa), no. 127 (2015) [Publication 2017]

Retrouvez aussi l’article sur le site EditAfrica !

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Les programmes de don de livre en Afrique : le temps venu pour une réévaluation ?, Hans Zell / partie 1, 2015

Première partie : Hans M. Zell : le don de livre en Afrique de langue anglaise (en anglais)

À venir dans dans African Research & Documentation, Revue de la SCOLMA (the UK Libraries and Archives Group on Africa), no. 127 (2015) [Publication 2017]

Extrait de l’avant-propos de l’éditrice :
« C’est une très grande joie que de publier ce numéro d’African Research & Documentation (ARD). La Scolma est très reconnaissante à l’égard d’Hans Zell et de Raphaël Thierry pour avoir choisi de publier dans nos pages la totalité de leur étude consacrée aux programmes de don de livre en Afrique.
Comme l’affirment les auteurs, « le temps est venu pour une réévaluation » et nous espérons en cela que le débat qui suivra trouvera sa place dans les pages d’ARD, de même que sur internet. Je voudrai ici solliciter réactions et retours sur cette étude importante aussi bien que provocatrice en certains points. Les retours des bibliothèques destinataires seront particulièrement les bienvenus. »
Terry Barringer, éditrice, African Research & Documentation

Retrouvez aussi l’article sur EditAfrica !

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