En 2023, continuons à construire un monde solidaire, à faire dialoguer les idées et à défendre la bibliodiversité
Illustration de Mariette Robbes
En 2023, continuons à construire un monde solidaire, à faire dialoguer les idées et à défendre la bibliodiversité
Illustration de Mariette Robbes
Dans le cadre du Salon international du livre de jeunesse de Conakry (7-10 novembre 2022), impulsé et coordonné par les éditions Ganndal en Guinée, une vingtaine de maisons d’édition d’Afrique francophone se réunissent à Conakry pour un programme de formation monté sur mesure pour répondre aux besoins des finalistes du Prix Orange du livre en Afrique et aux membres de l’Alliance.
Ces rencontres sont conçus grâce à un partenariat noué avec la Fondation Orange et au soutien de l’Organisation internationale de la Francophonie.
Les rencontres à Conakry s’articuleront en plusieurs temps :
Les participant.es prendront également part à l’inauguration du Salon et exposeront durant le Salon les livres jeunesse de leur pays. Enfin, les participant.es sont également conviés à fêter le trentenaire des éditions Ganndal, que l’Alliance remercie à nouveau pour leur soutien et leur accueil si chaleureux à Conakry !
Lire le programme et voir la liste des participant·es ici !
Le Comité international des éditeur·rices indépendant.es (CIEI) composé des coordinateur·rices des réseaux linguistiques de l’Alliance se réunit en présentiel à Paris du 25 au 27 octobre prochain.
Cette rencontre est essentielle dans la vie de l’Alliance : elle permet de définir les activités de l’Alliance pour la période à venir ; de travailler sur la gouvernance de l’association ; de prendre des décisions sur des questions stratégiques pour l’association.
Le programme est disponible ici !
Visuel : Mariette Robbes
« Je n’aurais pas écrit tous mes livres si je n’avais pas eu des éditeurs réceptifs, des éditeurs qui avaient leurs propres réseaux, qui travaillent selon une philosophie que je partage et selon laquelle tout ce qui est petit est beau. Dans les systèmes auto-organisés, tout ce qui est petit est synonyme de grandeur : grandeur d’âme, de cœur… Grandeur aussi car on peut étendre les possibilités de l’humanité et de la terre à une époque où l’économie dominante aimerait réduire ces possibilités. »
« Si vous n’aviez pas des profils si divers et si vous ne publiiez pas la diversité d’idées nécessaire à l’époque dans laquelle on vit, non seulement vous ne disposeriez pas, en tant que réseau d’éditeurs, de la résilience et de l’assise requises, mais vous ne seriez pas non plus en mesure d’offrir cette incroyable vigueur à la société dans laquelle nous vivons. »
Lire le discours de Vandana Shiva lors de la clôture des Assises internationales de l’édition indépendante, Pampelune-Iruñea, 26 novembre 2021.
L’Alliance remercie chaleureusement Laëtitia Saint-Loubert pour la traduction de ce texte de l’anglais (Inde) vers le français.
Ce discours est également disponible en audio, sur la chaîne Youtube de l’Alliance.
« Plus que jamais, l’avenir du livre dans sa diversité et la promotion des voix minoritaires voire alternatives reposent sur les épaules des éditrices et éditeurs indépendant·es qui, par sens d’engagement et conviction, par attachement aux causes tranchant avec le seul diktat du capitalisme, font vivre l’essence culturelle des livres. »
« Mon troisième roman, Munyal ; les larmes de la patience, est désormais présent dans bien des pays francophones d’Afrique à la faveur de la collection “Terres solidaires” de l’Alliance. Bien des autrices et auteurs africains figurent dans cette liste, mais ma fierté est surtout d’avoir accédé à ces reconnaissances à partir de l’Afrique subsaharienne où je réside et écris. Voilà qui participe véritablement à l’esprit de la diversité cher à l’Alliance et qui représente des valeurs que nous autres écrivains, écrivaines, éditrices et éditeurs devrons défendre et promouvoir. L’Alliance joue dans ce sens un rôle primordial qui, autant que faire se peut, pallie en partie la problématique de diffusion des livres en Afrique subsaharienne et particulièrement dans les pays francophones. »
Lire le discours de Djaïli Amadou Amal lors de la clôture des Assises internationales de l’édition indépendante, Pampelune-Iruñea, 26 novembre 2021.
Ce discours est également disponible en audio, sur la chaîne Youtube de l’Alliance.
Du 21 au 22 septembre 2022, à l’occasion de la Journée internationale de la bibliodiversité, participez à la 1re édition de Babelica en ligne – salon du livre international des maisons d’édition indépendantes !
Le Salon Babelica, via sa plateforme en ligne, met à l’honneur la diversité de la production éditoriale indépendante internationale. Plus de 65 maisons d’édition de 37 pays présentent une sélection de 200 titres (littérature, jeunesse, sciences humaines, bandes dessinées…) en indonésien, arabe, portugais, basque, espagnol, kinyarwanda, allemand, créole, français, italien, anglais, malgache, … à découvrir sur Babelica et à acheter en ligne.
Babelica propose également des rencontres, webinaires et tables rondes, à suivre en direct et en plusieurs langues : voir ici le programme des 5 tables rondes programmées entre le 21 et le 22 septembre.
La sixième édition du Salon du livre de Téhéran non censuré se tient du 11 mai au 12 juin 2022 ; il commencera à Londres puis se déplacera à travers plusieurs villes européennes et américaines !
Ce salon du livre est programmé en parallèle du Salon du livre en Iran, d’où son nom : Salon du livre de Téhéran, non censuré. L’objectif de ce salon est de donner l’occasion aux auteur.rices et éditeur.rices qui seraient censurés ou interdits en Iran de s’exprimer librement et de présenter leur travail.
Les maisons d’édition participantes :
• Forough Book (Allemagne)
• Naakojaa (France)
• Gardoon (Allemagne)
• Nogaam (UK)
• Satrap (UK)
• Dena Book (Pays bas)
• Red Intellect (Pays bas)
• Aftab Publication (Norvège)
• Roonak Publication (Pays bas)
• Pendaar Publications (UK)
• Arzan (Suède)
• Ferdosi (Suède)
• Iran Academia (Pays bas)
• Pegah Books (Canada)
• Ketab Corp. (États-Unis)
• Saraye Bamdad (Canada)
• Ketab Corp. (États-Unis)
Pour en savoir plus : www.uncensoredbook.com / #UBF22
Suite à l’agression de l’Ukraine par le pouvoir russe et à l’envahissement de son territoire, l’Alliance internationale des éditeurs indépendants exprime son soutien et sa solidarité à l’ensemble du peuple ukrainien ainsi qu’aux professionnel·le·s de la culture ukrainiennes et ukrainiens et son attachement au droit à l’autodétermination des peuples.
Nous, éditrices et éditeurs indépendant·e·s exerçant dans plus de 55 pays à travers le monde, membres d’un réseau international de solidarité, condamnons avec la plus grande vigueur les violences commises à l’encontre du peuple ukrainien et appelons ensemble à un retour à la paix. Nous réaffirmons par ailleurs notre soutien à tous les peuples, sur tous les continents, confrontés à des guerres et conflits, luttant pour leur liberté et leur émancipation.
Nous nous opposons fermement aux discours de stigmatisation et de déshumanisation et rappelons ici le rôle essentiel de la culture, en particulier du livre, comme outil de dialogue, d’analyse, de compréhension, de découverte de la pluralité et de la diversité.
Auteur(s) : MUTT-LON
Pays de parution : République de Guinée, Cameroun, Côte d’Ivoire, Togo
Langue(s) :
français
Prix : 3 500 FCFA
Fuyant des pesanteurs familiales et sociales, Damienne Bourdin, jeune médecin, marseillaise, s’engage dans les troupes coloniales. À peine arrivée au Cameroun, elle est sollicitée par le Dr Eugène Jamot pour une mission de la plus haute importance : exfiltrer Debora Edoa, princesse ewondo, nièce du chef supérieur Atangana et unique infirmière du cru. En effet, une bavure médicale, au sein de la mission de prophylaxie de la trypanosomiase dirigée par Jamot, a provoqué la cécité de 700 patients. La révolte gronde et la présence d’Edoa sur les lieux de l’insurrection risque de mettre toute la région à feu et à sang…
À partir de ce drame historique, Mutt-Lon nous plonge au cœur du Cameroun colonial : préjugés, lutte effrénée pour le pouvoir, violence… mais aussi amour, courage et abnégation. Il met en lumière le destin exceptionnel de deux femmes déterminées à faire œuvre utile tout en se réalisant pleinement, et la résistance de l’Afrique ancestrale, incarnée par l’incorruptible Pygmée Ndongo.
Avec ce roman captivant, à l’écriture juste, sobre, incisive, Mutt-Lon poursuit son œuvre de réhabilitation de l’histoire de son pays et, ici, celle de la mission Jamot au Cameroun.
Né en 1973 à Bafia, Mutt-Lon est monteur à la télévision d’État camerounaise, la CRTV, après avoir enseigné les mathématiques. Ceux qui sortent dans la nuit, son premier roman, a reçu le Prix Ahmadou Kourouma 2014.
Coéditeurs : Eburnie (Côte d’Ivoire), Ganndal (Guinée Conakry), Graines de Pensées (Togo), Proximité (Cameroun)
Date de publication de la version panafricaine : 2022, 11,5 X 19 cm
© Mutt-Lon, 2020.
Une coédition solidaire « Le livre équitable ».
Créée en 2007, la collection « Terres solidaires » est une expérience collective. Elle propose des textes littéraires d’autrices et auteurs africain.e.s, édités par un collectif de maisons d’édition en Afrique francophone. Grâce au principe de la coédition solidaire, les textes circulent, sont disponibles et accessibles pour les lecteurs africains ; l’écosystème du livre local est préservé et renforcé.
La collection « Terres solidaires » est soutenue par l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF).
Le Mali, pays sahélien de quatorze millions d’habitants n’a pas une grande tradition en matière d’édition. Durant longtemps, la seule maison d’édition du pays était un éditeur public, créé dans les années 1960 avec des capitaux de l’Etat : EDIM (EDitions Imprimerie du Mali). C’est seulement en 1988 que des éditeurs privés arriveront sur le marché.
Lire l’article intégral : « La bande dessinée au Mali », par Christophe Cassiau-Haurie.
Un état des lieux publié par Africultures, le 21 juillet 2017 à retrouver ici.
Depuis plusieurs années, l’Association des éditeurs de Madagascar (AEdiM) et particulièrement l’une de ses membres, Marie Michèle Razafintsalama (éditions Jeunes malgaches), mène un travail d’enquêtes de terrain sur les dons de livres à Madagascar.
Différentes actions de sensibilisation ont été menées par cette éditrice auprès d’associations, organisations et professionnels localement mais aussi en France, qui portent leurs fruits progressivement, par exemple :
Lire aussi l’interview de Marie Michèle Razafintsalama publiée par le magazine en ligne ActuaLitté en novembre 2016 : « Madagascar : “À force de dons, les gens pensent que le livre ne s’achète pas.” »
Écouter ici l’émission « Cap Océan Indien », sur RFI, du 22 mai 2011 : L’appel de l’éditrice Marie-Michèle Razafintsalama.
Lire ci-contre les résultats des enquêtes sur le don de livres menées à Madagascar entre 2003 et 2012.
À première vue, le Maroc peut passer pour un pays où la bande dessinée est reine : le pays a abrité ou abrite plusieurs festivals de bande dessinée (Tétouan, Fès, Kénitra, Casablanca) et compte avec l’Institut National des beaux-arts de Tétouan, la seule filière BD de l’Afrique francophone. Malheureusement, la production de BD au niveau local ou dans la diaspora reste faible et la BD reste un genre mineur au Maroc, même si on constate un certain frémissement depuis quelques années. Retour sur une histoire vieille de plus de 50 ans.
Lire l’intégralité de l’article « La BD au Maroc : en attente des lecteurs », écrit par Christophe Cassiau-Haurie, publié par Africultures, le 23 mars 2017.
Dans le cadre d’une convention signée en juin 2017 entre le ministère de la Culture de Côte d’Ivoire et le Syndicat national de l’Édition française (SNE), « les éditeurs français, via la société Electre, s’engagent à faire un don chaque année, de 5 000 livres de littérature générale, de jeunesse et de sciences humaines, destinés à enrichir et développer les fonds des bibliothèques nationales de Côte d’Ivoire. À travers ce texte, les parties partagent une volonté commune de développement de la Francophonie ainsi qu’une meilleure connaissance des livres de chaque pays ».
L’Association internationale des libraires francophones (AILF) et l’Alliance partagent dans un communiqué commun leurs réflexions et préoccupations et rappellent les possibles répercussions des dons de livres sur la chaîne du livre d’un pays.
Extrait du communiqué, 15 juin 2017 :
Nous invitons à se référer à plusieurs ressources et réflexions formulées par des professionnels du livre, des universitaires et des collectifs, recensées ici.
L’ensemble de ces témoignages, analyses et articles mettent en évidence certaines questions, fondamentales à prendre en compte pour toute opération de dons de livres, dont nous en rappelons les principales ici :
=> Prendre en compte les besoins des lecteurs pour que les ouvrages envoyés soient en adéquation avec leurs attentes, leurs langues, leurs envies : types d’ouvrages répondant à des besoins spécifiques identifiés
=> Travailler main dans la main avec les professionnels locaux :
=> Prévoir, en complément des opérations de dons de livres, des actions de soutien pérennes pour la filière locale.
Nous sommes attachés à inscrire ces recommandations en référence à la Convention sur la protection et la promotion de la diversité des expressions culturelles de l’UNESCO (2005).
Le développement du secteur culturel d’un pays – et en particulier celui du livre – est une des conditions d’émergence de la création ; garantit la vitalité d’un vivier de créateurs (auteurs, traducteurs, illustrateurs…) et de professionnels (bibliothécaires, éditeurs, libraires, diffuseurs…) ; génère un dynamisme économique. La Côte d’Ivoire en est une illustration exemplaire depuis plusieurs années. Il serait ainsi préoccupant que des opérations de dons viennent fragiliser l’écosystème local ; il serait regrettable que ces opérations ne prennent pas en compte le travail et les partenariats mis en place par les collectifs professionnels d’éditeurs et de libraires, au niveau national et international, depuis plusieurs années (coéditions francophones, travail sur les langues africaines, ateliers et formations…).
Nous rappelons par ailleurs qu’il existe d’autres manières de penser le don de livres :
=> S’appuyer sur un principe et des mécanismes de réciprocité : en contrepartie de 5 000 livres donnés, un achat de livres ivoiriens pourrait être réalisé pour les bibliothèques françaises – afin justement de renforcer « une meilleure connaissance des livres de chaque pays » ;
=> Monétiser le don dans une logique de redistribution : les 5 000 livres ne sont pas donnés mais vendus en France, et l’argent récolté est reversé à l’Association des éditeurs ivoiriens pour le prochain Salon International du livre d’Abidjan (cf. bibliobraderies organisées par Bibliothèques Sans Frontières) ;
=> Privilégier une logique de partenariats équilibrés entre professionnels : l’argent prévu pour le transport des 5 000 livres de France vers la Côte d’Ivoire n’est pas utilisé pour une opération de dons mais pour des rencontres entre éditeurs ivoiriens et français dans l’optique de cessions de droits ; pour des rencontres entre libraires ivoiriens et français dans l’optique de partenariats…
Il s’agit ainsi de trouver collectivement des systèmes de solidarité et de réciprocité, en adéquation avec les réalités du terrain. Ce sont ces formes de coopération et de liens qui assurent sur le moyen terme les bases de partenariats de confiance, la structuration pérenne et viable des marchés – garantissant également la conscientisation, l’éveil et l’émancipation des futures générations de lecteurs et citoyens.
Lire l’intégralité du Communiqué ci-contre.
Voir les articles publiés par ActuaLitté :
Peu de gens le savent, mais l’édition ivoirienne est l’une des plus anciennes du continent. Christophe Cassiau-Haurie documente en trois épisodes, l’histoire de la bande dessinée depuis les années 1960. En voici le troisième et dernier volet sur la décennie 2010.
Lire ici l’article publié par Africultures le 12 février 2019.
Retrouvez ici l’intégralité de « Histoire de la bande dessinée en Côte d’Ivoire (2/3) », par Christophe Cassiau-Haurie, publié par Africultures le 16 janvier 2018.
Et retrouvez ici l’Histoire de la bande dessinée en Côte d’Ivoire 1/3.
Après avoir retracé l’histoire de la bande dessinée en Côte d’Ivoire des années 1960 aux années 1990, Christophe Cassiau-Haurie nous plonge dans les années 2000.
La crise politique et militaire qui affecte le pays à compter de 2002 met un coup de frein aux activités des auteurs de BD (en particulier la publication d’albums) pendant près d’une décennie. Seules quelques productions locales sont visibles sur le marché national, beaucoup d’entre elles au tout début de la décennie.
Lire l’intégralité de « Histoire de la bande dessinée en Côte d’Ivoire (2/3) », par Christophe Cassiau-Haurie, publié par Africultures le 16 janvier 2018.
Et retrouvez ici l’Histoire de la bande dessinée en Côte d’Ivoire 1/3.
Peu de gens le savent, mais l’édition ivoirienne est l’une des plus anciennes du continent.
Les éditions CEDA sont nées en 1961. Elles ont été créées par l’Etat Ivoirien en partenariat avec les éditions françaises Hatier, Didier, Fouchier et Mame. Si l’Etat n’était actionnaire qu’à 25% à l’origine, il est passé à 51% en 1974. En 1972, sont créés à Dakar les NEA (Nouvelles Editions Africaines) avec une direction générale à Dakar et deux antennes à Lomé et Abidjan. Dix ans plus tard, les NEA Abidjan tentent une autonomie qui se solde par un dépôt de bilan en 1989.
Lire l’intégralité de « Histoire de la bande dessinée en Côte d’Ivoire (1/3) », par Christophe Cassiau-Haurie, publié par Africultures le 15 mars 2017.
Ces recommandations et propositions sont extraites des 80 recommandations en faveur de la bibliodiversité, formulées lors des Assises internationales de l’édition indépendante (2012-2014).
Elles ont été formulées à partir de l’expérience et des pratiques au sein de l’Alliance internationale des éditeurs indépendants : elles concernent prioritairement les partenariats éditoriaux entre éditeurs des pays du Sud dans la mesure où les soutiens à l’édition dans ces pays sont souvent faibles, voire inexistants, et entre éditeurs du Sud et du Nord dans la mesure où ces échanges sont encore peu fréquents.
L’Alliance tient à votre disposition des modèles de contrat type pour les partenariats éditoriaux suivants :
Pour toute demande de contrat type ou pour un conseil sur la mise en place d’un partenariat éditorial, n’hésitez pas à contacter l’équipe de l’Alliance.
Deuxième partie : Raphaël Thierry : Le don de livre, mais à quel prix, et en échange de quoi ? (un panorama du don de livre en Afrique francophone)
À venir dans African Research & Documentation, Revue de la SCOLMA (the UK Libraries and Archives Group on Africa), no. 127 (2015) [Publication 2017]
Retrouvez aussi l’article sur le site EditAfrica !
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