français

L’Alliance

Éditer en francophonie (4-5 avril 2024), Foire du livre de Bruxelles

En partenariat avec la Foire du livre de Bruxelles (Belgique), plusieurs collectifs professionnels (dont l’Alliance) organisent « Éditer en francophonie », ateliers qui se dérouleront les 4 et 5 avril 2024 et réuniront plus de 20 maisons d’édition de toute la francophonie. Au programme : présentation des catalogues des maisons d’édition, échanges d’expériences sur les coéditions solidaires, découverte de l’écosystème du livre belge...

Découvrez ici le programme de ces ateliers et les participants !

L’Alliance remercie très chaleureusement l’Organisation internationale de la Francophonie pour son soutien, permettant la venue de maisons d’édition d’Afrique francophone, de l’Océan indien et d’Haïti à ces ateliers.

Plus d’informations sur la Foire du livre de Bruxelles (4-7 avril 2024) ici.

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Programme d’actions 2024 de l’Alliance

1. L’Alliance, lieu d’expérimentations et de réflexions à travers l’Observatoire de la bibliodiversité
Poursuivre les analyses, réflexions et plaidoyers via les 4 groupes de travail thématiques

  • Écologie du livre
  • Numérique : ateliers sur l’intelligence artificielle
  • Politiques publiques du livre : cartographie des politiques publiques du livre dans le monde arabe (lancement dans le cadre d’une foire du livre dans le monde arabe en fin d’année 2024) + Manuel des bonnes pratiques pour les achats publics de livre (traduction et adaptation dans d’autres aires géographiques et linguistiques)
  • Liberté d’éditer : publication d’analyses transversales et série d’interviews et podcasts

Outiller et documenter l’édition indépendante internationale

  • Guide des bonnes pratiques (voir ici)
  • Revue Bibliodiversité (voir ici) : numéro dédié à la précarité en 2024

2. L’Alliance, espace de collaborations et de mutualisations
Mutualiser les pratiques et les savoir-faire entre éditrices et éditeurs ; se rencontrer et renforcer les flux d’échanges

  • Ateliers et échanges de savoir-faire en particulier au sein des groupes thématiques et dans le cadre de Babelica
  • Rencontres, ateliers et formations au format virtuel, sur des thèmes définis avec les groupes thématiques de l’Alliance (focus notamment sur l’intelligence artificielle et autres thèmes)
  • Formation in situ (lieu à confirmer) à destination des maisons d’édition en Afrique
  • Rencontres professionnelles lors de la Foire du livre de Bruxelles (4-7 avril 2024) 

3. L’Alliance, outil de promotion et de visibilité de l’édition indépendante
Encourager la visibilité et la promotion de l’édition indépendante ; favoriser la circulation des œuvres et les productions des maisons d’édition indépendantes

  • Babelica (voir ici), septembre 2024 (salon du livre, espace de rencontres et débats dédié à l’édition indépendante internationale)
  • Tehran Book Fair, Uncensored (voir ici)
  • Présence des membres dans les salons et foires du livre en 2024

4. L’Alliance, laboratoire de pratiques éditoriales alternatives
Poursuivre et renforcer les partenariats éditoriaux solidaires (cessions de droits, traductions, coéditions…)

  • Groupes éditoriaux par affinités de catalogue (littérature, sciences humaines et sociales et littérature de jeunesse) : foires aux projets en ligne (cessions de droits, échanges sur des projets éditoriaux) + accompagnement pour la mise en place de cessions et coéditions (voir ici)
  • Projets éditoriaux en cours et/ou en réflexion

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Moussa et la poule reine

Auteur(s) : Julien ALIHONOU (MAKEJOS)
Pays de parution : Bénin, Côte d’Ivoire, Gabon, Guinée, Mali
Langue(s) : français

Une coédition solidaire panafricaine : Éburnie (Côte d’Ivoire), Ganndal (Guinée), Sawa (Mali), Nstame (Gabon), Ruisseaux d’Afrique (Bénin)

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Kouvito dans les rues de Kokoli

Auteur(s) : Kenneth VIHOTOGBE
Pays de parution : Bénin, Côte d’Ivoire, Mali, République démocratique du Congo
Langue(s) : français

Une coédition solidaire panafricaine : Éburnie (Côte d’Ivoire), Elondja (République démocratique du Congo), Sawa (Mali), Ruisseaux d’Afrique (Bénin)

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Rudia et les cybercriminels

Auteur(s) : Claude ADJAKA (Lenfan Claudio)
Pays de parution : Bénin, Côte d’Ivoire, Mali
Langue(s) : français

Une coédition solidaire panafricaine : Éburnie (Côte d’Ivoire), Sawa (Mali), Ruisseaux d’Afrique (Bénin)

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Vignon et les voleurs du quartier

Auteur(s) : Alexandre KOSSOVO
Pays de parution : Bénin, Burkina Faso, Côte d’Ivoire, Gabon, Guinée, Mali
Langue(s) : français

Une coédition solidaire panafricaine : Éburnie (Côte d’Ivoire), Ganndal (Guinée), Sawa (Mali), Nstame (Gabon), Ruisseaux d’Afrique (Bénin), Sankofa & Gurli (Burkina Faso)

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La pensée blanche

Auteur(s) : Lilian THURAM
Pays de parution : Algérie, Bénin, Burkina Faso, Cameroun, Côte d’Ivoire, Gabon, Guinée, Mali, Maroc, Sénégal, Togo
Prix : 5 000 FCFA, 65 000 GNF, 75 DH, 1 500 DA

Grâce à un partenariat entre la Fondation Lilian Thuram - Éducation contre le racisme et l’Alliance internationale des éditeurs indépendants, 11 maisons d’édition en Afrique francophone coéditent La pensée blanche, publié initialement aux éditions Philippe Rey (France).

La pensée blanche est disponible dans les pays suivants  : Algérie (Apic), Bénin (Ruisseaux d’Afrique), Burkina Faso (Sankofa & Gurli), Cameroun (Presses universitaires d’Afrique), Côte d’Ivoire (Éburnie), Gabon (Éditions Nstame), Guinée (Ganndal), Mali (Jamana), Maroc (Le Fennec), Sénégal (Papyrus d’Afrique), Togo (Graines de Pensées).

Date de parution : novembre 2023
Format : 14,5 X 22 cm ; 320 pages

Écoutez ici l’interview de Lilian Thuram dans le cadre du Salon international de l’édition indépendante en ligne, Babelica, le 20 septembre 2023.

Le livre
Qu’est-ce qu’être blanc ? Plus qu’une couleur de peau, n’est-ce pas plutôt une pensée ? Qui sont ceux qui l’ont inventée, et pourquoi ? Ce livre raconte l’histoire de la pensée blanche, son origine et son fonctionnement, la manière dont elle divise, comment elle s’est répandue à travers le monde au point d’être aujourd’hui universelle, jusqu’à infuser l’air que l’on respire. Depuis des siècles, la pensée blanche est une norme, la fossilisation de hiérarchies, de schémas de domination, d’habitudes qui nous sont imposées. Elle signifie aux Blancs et aux non-Blancs ce qu’ils doivent être, quelle est leur place. Comme la longue emprise des hommes sur les femmes, elle est profondément ancrée dans nos mentalités et agit au quotidien. Seule sa remise en question permettra d’avancer pour passer à autre chose. Il ne s’agit pas de culpabiliser ni d’accuser, mais de comprendre les mécanismes à l’œuvre, d’en prendre conscience pour construire de nouvelles solidarités. Le temps n’est-il pas venu d’élargir nos points de vue pour nous considérer tous enfin comme des êtres humains ?

Lilian Thuram est né en Guadeloupe en 1972. Il a créé en 2008 la fondation Éducation contre le racisme, pour l’égalité. Il est l’auteur de plusieurs ouvrages dont Mes étoiles noires (Philippe Rey, 2010, prix Seligmann contre le racisme ; coédition solidaire en Afrique francophone, Madagascar et Haïti, 2014), Manifeste pour l’égalité (Autrement, 2012) et Notre histoire (Delcourt, 2014 et 2016). Il a été commissaire général de l’exposition « Exhibitions. L’invention du sauvage », au musée du Quai-Branly en 2011. Prix de l’éthique de la Fondation Kéba-Mbaye au Sénégal en 2014, il est docteur honoris causa en sciences humaines des universités de Stockholm en Suède et de Stirling en Écosse. Dans une première vie, il a connu une carrière prestigieuse de footballeur international. Avec l’équipe de France, il a été Champion du monde en 1998 et Champion d’Europe en 2000.

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Bel abîme

Auteur(s) : Yamen MANAI
Pays de parution : Algérie, Burkina Faso, Cameroun, Guinée, Maroc, Maurice, Sénégal, Togo
Langue(s) : français
Prix : 700 DA, 50 DH, 3 500 FCFA, 50 000 GNF, 350 Rs

Yamen Manai nous conte avec fougue le cruel éveil au monde d’un adolescent révolté par les injustices. Heureusement, il a Bella. Entre eux, un amour inconditionnel et l’expérience du mépris dans cette société qui honnit les faibles jusqu’aux chiens qu’on abat « pour que la rage ne se propage pas dans le peuple ».
Mais la rage est déjà là.

Né en 1980 à Tunis, Yamen Manai vit à Paris. Ingénieur, il travaille sur les nouvelles technologies de l’information. Bel abîme (Prix Orange du livre en Afrique 2022, Prix de la littérature arabe 2022…) et ses précédents romans, La marche de l’incertitude (2010), La sérénade d’Ibrahim Santos (2011) et L’amas ardent (2017, Prix des Cinq Continents de la Francophonie) sont publiés aux éditions Elyzad en Tunisie.

Maisons d’édition coéditrices : Amalion (Sénégal), Apic (Algérie), Atelier des nomades (Ile Maurice), Ganndal (Guinée), Graines de Pensées (Togo), Le Fennec (Maroc), Proximité (Cameroun), Sankofa & Gurli (Burkina Faso)
Date de publication de la version panafricaine : 2023, 11,5 X 19 cm
© Elyzad, 2021.

Une coédition solidaire « Le livre équitable ».

Collection Terres solidaires

Créée en 2007, la collection « Terres solidaires » est une expérience collective. Elle propose des textes littéraires d’autrices et auteurs africain.e.s, édités par un collectif de maisons d’édition en Afrique francophone. Grâce au principe de la coédition solidaire, les textes circulent, sont disponibles et accessibles pour les lecteurs africains ; l’écosystème du livre local est préservé et renforcé.
La collection « Terres solidaires » est soutenue par l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF).

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Babelica 2023, revivre la deuxième édition du Salon !

Le Salon international de l’édition indépendante en ligne s’est tenu du 20 au 22 septembre 2023. L’ensemble de la programmation de Babelica (lectures en arabe, en créole, en mapuche… ; tables rondes sur l’intelligence artificielle, l’écologie décoloniale, l’édition inclusive, les cartoneras en Amérique latine, la traduction dans le monde arabe, les coéditions solidaires… ; rencontres avec Lilian Thuram et Vandana Shiva…) est à (re)voir et (ré)écouter en replay sur la chaîne YouTube de l’Alliance.

Le Salon du livre Babelica (réunissant plus de 90 maisons d’édition dans le monde) est disponible en ligne tout au long de l’année, jusqu’à la prochaine édition de Babelica en 2024 !

L’Alliance internationale des éditeurs indépendants remercient à nouveau les partenaires de Babelica (Campus AFD et l’Organisation internationale de la Francophonie) ; Maxime Guedj (PCFH Studio) et Thibault Daumain qui ont conçu et développé la plateforme Babelica ; l’ensemble des intervenant·es ; l’équipe d’interprètes et toutes les personnes qui ont contribué à la réussite de cette deuxième édition !

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Cycle de 5 ateliers sur la découvrabilité, à visionner en ligne !

Octavio Kulesz (Teseo Editorial et co-fondateur du Labo numérique de l’Alliance, Argentine) et Annie-Josée Ngo Njock (éditrice, Cameroun) proposent un cycle de 5 ateliers en ligne sur la découvrabilité ; ces ateliers sont à visionner ici.

Plus d’informations sur le Labo numérique de l’Alliance.

Ce cycle d’ateliers est mis en place grâce à un soutien de l’Organisation internationale de la Francophonie, avec l’appui de l’Alliance internationale des éditeurs indépendants.

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Observatoire de la bibliodiversité

La BD au Maroc : en attente de lecteurs

À première vue, le Maroc peut passer pour un pays où la bande dessinée est reine : le pays a abrité ou abrite plusieurs festivals de bande dessinée (Tétouan, Fès, Kénitra, Casablanca) et compte avec l’Institut National des beaux-arts de Tétouan, la seule filière BD de l’Afrique francophone. Malheureusement, la production de BD au niveau local ou dans la diaspora reste faible et la BD reste un genre mineur au Maroc, même si on constate un certain frémissement depuis quelques années. Retour sur une histoire vieille de plus de 50 ans.

Lire l’intégralité de l’article « La BD au Maroc : en attente des lecteurs », écrit par Christophe Cassiau-Haurie, publié par Africultures, le 23 mars 2017.

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Une opération de dons de livres en Côte d’Ivoire : quels impacts pour la bibliodiversité ?, juin 2017

Dans le cadre d’une convention signée en juin 2017 entre le ministère de la Culture de Côte d’Ivoire et le Syndicat national de l’Édition française (SNE), « les éditeurs français, via la société Electre, s’engagent à faire un don chaque année, de 5 000 livres de littérature générale, de jeunesse et de sciences humaines, destinés à enrichir et développer les fonds des bibliothèques nationales de Côte d’Ivoire. À travers ce texte, les parties partagent une volonté commune de développement de la Francophonie ainsi qu’une meilleure connaissance des livres de chaque pays ».

L’Association internationale des libraires francophones (AILF) et l’Alliance partagent dans un communiqué commun leurs réflexions et préoccupations et rappellent les possibles répercussions des dons de livres sur la chaîne du livre d’un pays.

Extrait du communiqué, 15 juin 2017 :
Nous invitons à se référer à plusieurs ressources et réflexions formulées par des professionnels du livre, des universitaires et des collectifs, recensées ici.

L’ensemble de ces témoignages, analyses et articles mettent en évidence certaines questions, fondamentales à prendre en compte pour toute opération de dons de livres, dont nous en rappelons les principales ici :
=> Prendre en compte les besoins des lecteurs pour que les ouvrages envoyés soient en adéquation avec leurs attentes, leurs langues, leurs envies : types d’ouvrages répondant à des besoins spécifiques identifiés
=> Travailler main dans la main avec les professionnels locaux :

  • Associer et travailler étroitement avec les bibliothécaires : les livres envoyés viennent-ils en complément de l’offre de la bibliothèque dans un souci de bibliodiversité ? Permettent-ils de constituer un nouveau rayon thématique ? Des animations sont-elles prévues pour que les lecteurs les découvrent ?
  • Associer les libraires et éditeurs locaux afin de respecter la chaîne du livre locale : comment faire en sorte que les dons ne viennent pas fragiliser et court-circuiter l’économie locale ?

=> Prévoir, en complément des opérations de dons de livres, des actions de soutien pérennes pour la filière locale.

Nous sommes attachés à inscrire ces recommandations en référence à la Convention sur la protection et la promotion de la diversité des expressions culturelles de l’UNESCO (2005).

Le développement du secteur culturel d’un pays – et en particulier celui du livre – est une des conditions d’émergence de la création ; garantit la vitalité d’un vivier de créateurs (auteurs, traducteurs, illustrateurs…) et de professionnels (bibliothécaires, éditeurs, libraires, diffuseurs…) ; génère un dynamisme économique. La Côte d’Ivoire en est une illustration exemplaire depuis plusieurs années. Il serait ainsi préoccupant que des opérations de dons viennent fragiliser l’écosystème local ; il serait regrettable que ces opérations ne prennent pas en compte le travail et les partenariats mis en place par les collectifs professionnels d’éditeurs et de libraires, au niveau national et international, depuis plusieurs années (coéditions francophones, travail sur les langues africaines, ateliers et formations…).

Nous rappelons par ailleurs qu’il existe d’autres manières de penser le don de livres :
=> S’appuyer sur un principe et des mécanismes de réciprocité : en contrepartie de 5 000 livres donnés, un achat de livres ivoiriens pourrait être réalisé pour les bibliothèques françaises – afin justement de renforcer « une meilleure connaissance des livres de chaque pays » ;
=> Monétiser le don dans une logique de redistribution : les 5 000 livres ne sont pas donnés mais vendus en France, et l’argent récolté est reversé à l’Association des éditeurs ivoiriens pour le prochain Salon International du livre d’Abidjan (cf. bibliobraderies organisées par Bibliothèques Sans Frontières) ;
=> Privilégier une logique de partenariats équilibrés entre professionnels : l’argent prévu pour le transport des 5 000 livres de France vers la Côte d’Ivoire n’est pas utilisé pour une opération de dons mais pour des rencontres entre éditeurs ivoiriens et français dans l’optique de cessions de droits ; pour des rencontres entre libraires ivoiriens et français dans l’optique de partenariats…

Il s’agit ainsi de trouver collectivement des systèmes de solidarité et de réciprocité, en adéquation avec les réalités du terrain. Ce sont ces formes de coopération et de liens qui assurent sur le moyen terme les bases de partenariats de confiance, la structuration pérenne et viable des marchés – garantissant également la conscientisation, l’éveil et l’émancipation des futures générations de lecteurs et citoyens.

Lire l’intégralité du Communiqué ci-contre.

Voir les articles publiés par ActuaLitté :

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Histoire de la bande dessinée en Côte d’Ivoire (3/3)

Peu de gens le savent, mais l’édition ivoirienne est l’une des plus anciennes du continent. Christophe Cassiau-Haurie documente en trois épisodes, l’histoire de la bande dessinée depuis les années 1960. En voici le troisième et dernier volet sur la décennie 2010.

Lire ici l’article publié par Africultures le 12 février 2019.

Retrouvez ici l’intégralité de « Histoire de la bande dessinée en Côte d’Ivoire (2/3) », par Christophe Cassiau-Haurie, publié par Africultures le 16 janvier 2018.
Et retrouvez ici l’Histoire de la bande dessinée en Côte d’Ivoire 1/3.

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Histoire de la bande dessinée en Cote d’Ivoire (2/3)

Après avoir retracé l’histoire de la bande dessinée en Côte d’Ivoire des années 1960 aux années 1990, Christophe Cassiau-Haurie nous plonge dans les années 2000.

La crise politique et militaire qui affecte le pays à compter de 2002 met un coup de frein aux activités des auteurs de BD (en particulier la publication d’albums) pendant près d’une décennie. Seules quelques productions locales sont visibles sur le marché national, beaucoup d’entre elles au tout début de la décennie.

Lire l’intégralité de « Histoire de la bande dessinée en Côte d’Ivoire (2/3) », par Christophe Cassiau-Haurie, publié par Africultures le 16 janvier 2018.
Et retrouvez ici l’Histoire de la bande dessinée en Côte d’Ivoire 1/3.

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Histoire de la bande dessinée en Côte d’Ivoire (1/3)

Peu de gens le savent, mais l’édition ivoirienne est l’une des plus anciennes du continent.
Les éditions CEDA sont nées en 1961. Elles ont été créées par l’Etat Ivoirien en partenariat avec les éditions françaises Hatier, Didier, Fouchier et Mame. Si l’Etat n’était actionnaire qu’à 25% à l’origine, il est passé à 51% en 1974. En 1972, sont créés à Dakar les NEA (Nouvelles Editions Africaines) avec une direction générale à Dakar et deux antennes à Lomé et Abidjan. Dix ans plus tard, les NEA Abidjan tentent une autonomie qui se solde par un dépôt de bilan en 1989.

Lire l’intégralité de « Histoire de la bande dessinée en Côte d’Ivoire (1/3) », par Christophe Cassiau-Haurie, publié par Africultures le 15 mars 2017.

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Des propositions et actions pour développer les partenariats éditoriaux solidaires

Ces recommandations et propositions sont extraites des 80 recommandations en faveur de la bibliodiversité, formulées lors des Assises internationales de l’édition indépendante (2012-2014).

Elles ont été formulées à partir de l’expérience et des pratiques au sein de l’Alliance internationale des éditeurs indépendants : elles concernent prioritairement les partenariats éditoriaux entre éditeurs des pays du Sud dans la mesure où les soutiens à l’édition dans ces pays sont souvent faibles, voire inexistants, et entre éditeurs du Sud et du Nord dans la mesure où ces échanges sont encore peu fréquents.

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Modèles de contrats pour des partenariats éditoriaux

L’Alliance tient à votre disposition des modèles de contrat type pour les partenariats éditoriaux suivants :

Pour toute demande de contrat type ou pour un conseil sur la mise en place d’un partenariat éditorial, n’hésitez pas à contacter l’équipe de l’Alliance.

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Les programmes de don de livre en Afrique : le temps venu pour une réévaluation ?, Raphaël Thierry / partie 2, 2015

Deuxième partie : Raphaël Thierry : Le don de livre, mais à quel prix, et en échange de quoi ? (un panorama du don de livre en Afrique francophone)

À venir dans African Research & Documentation, Revue de la SCOLMA (the UK Libraries and Archives Group on Africa), no. 127 (2015) [Publication 2017]

Retrouvez aussi l’article sur le site EditAfrica !

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Les programmes de don de livre en Afrique : le temps venu pour une réévaluation ?, Hans Zell / partie 1, 2015

Première partie : Hans M. Zell : le don de livre en Afrique de langue anglaise (en anglais)

À venir dans dans African Research & Documentation, Revue de la SCOLMA (the UK Libraries and Archives Group on Africa), no. 127 (2015) [Publication 2017]

Extrait de l’avant-propos de l’éditrice :
« C’est une très grande joie que de publier ce numéro d’African Research & Documentation (ARD). La Scolma est très reconnaissante à l’égard d’Hans Zell et de Raphaël Thierry pour avoir choisi de publier dans nos pages la totalité de leur étude consacrée aux programmes de don de livre en Afrique.
Comme l’affirment les auteurs, « le temps est venu pour une réévaluation » et nous espérons en cela que le débat qui suivra trouvera sa place dans les pages d’ARD, de même que sur internet. Je voudrai ici solliciter réactions et retours sur cette étude importante aussi bien que provocatrice en certains points. Les retours des bibliothèques destinataires seront particulièrement les bienvenus. »
Terry Barringer, éditrice, African Research & Documentation

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Appel à candidatures : récolte de données et cartographies des politiques publiques du livre dans le monde arabe et en Afrique subsaharienne/Madagascar

Dans le cadre du travail sur les politiques publiques du livre entamé en 2017 (voir présentation ici), l’Alliance lance un appel à candidatures pour les phases de récolte de données et de cartographies des politiques publiques du livre dans le monde arabe et en Afrique subsaharienne/Madagascar.

Si vous êtes intéressé-e-s pour réaliser ce travail de récolte de données et de cartographies dans une de ces deux zones, aux conditions indiquées dans les appels ci-contre, nous vous remercions d’adresser votre proposition à l’équipe de l’Alliance, avant le 30 avril 2017.

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