français

L’Alliance

« Terres solidaires », deux lauréats de renom en 2012

La collection « Terres solidaires » s’appuie depuis sa création sur un Comité de lecture composé de professionnels du livre en Afrique.

Une fois par an, ce Comité se réunit virtuellement pour élire les deux nouveaux titres de la collection. En 2012, Loin de mon père de Véronique TADJO (édité initialement par les éditions Actes Sud) et La civilisation, ma Mère !… de Driss CHRAÏBI (édité initialement par les éditions Denoël) rejoindront ainsi la collection.

L’Alliance remercie chaleureusement les membres du Comité de lecture (voir liste ci-dessous) pour leur investissement, et leurs échanges passionnés !

  • Agnès ADJAHO (ex-gérante de la librairie Notre Dame, Bénin / directrice de l’association Afrilivres) ;
  • Mourad DJEBEL (auteur) ;
  • Mariame GBA (bibliothécaire, Côte d’Ivoire) ;
  • Jean-Claude NABA (éditions Sankofa & Gurli, Burkina Faso) ;
  • Smail MHAND (librairie générale d’El Biar, Algérie) ;
  • François NKEME (éditions Ifrikiya, Cameroun) ;
  • Wilfried N’SONDE (auteur) ;
  • Binta TINI (librairie La Farandole des livres - Niger) ;
  • le club de lecture de la médiathèque d’Oujda (Maroc).

La collection « Terres solidaires » est soutenue depuis sa création par l’Organisation internationale de la Francophonie.
Les deux titres à paraître en 2012 ont par ailleurs bénéficié du soutien de l’Institut français (dans le cadre de son Programme d’aide à la cession de droits Nord-Sud).

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« Le livre équitable »

Le label « Le livre équitable » est attribué par l’Alliance à des ouvrages publiés dans le cadre d’accords éditoriaux internationaux respectueux des spécificités de chacun : les coéditions solidaires. Ces coéditions solidaires permettent de mutualiser les coûts liés à la réalisation intellectuelle et physique d’un livre et faire ainsi des économies d’échelle ; d’échanger des savoir-faire professionnels et une expérience commune, tout en respectant le contexte culturel et l’identité des éditeurs ; de diffuser plus largement les ouvrages en ajustant les prix pour chaque zone géographique ou en uniformisant les prix sur une même zone de commercialisation.

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Le fonds Lectures d’Afrique(s) en vedette dans six librairies de la région parisienne

En 2012, le fonds jeunesse diffusé et distribué par l’Alliance, « Lectures d’Afrique(s) », sera successivement à l’honneur dans six librairies de la région parisienne : Un temps pour tout (Paris 9e), Présence africaine (Paris 5e), L’Attrape-coeurs (Paris 18e), Folies d’encre (Saint-Denis), Le Rideau Rouge (Paris 18e), et Points Communs (Villejuif).

L’Alliance remercie la région Ile-de-France, partenaire du projet.

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Lettre ouverte aux candidats à l’élection présidentielle française (mars 2012)

Alors que le Salon du livre de Paris ouvre ses portes le 16 mars, l’Alliance internationale des éditeurs indépendants a souhaité adresser aux candidats quelques propositions concrètes en faveur de la bibliodiversité.

Article Livres Hebdo, 12 mars 2012

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L’Alliance lance son Laboratoire numérique !

À la suite de la publication de l’étude d’Octavio KULESZ sur l’édition numérique dans les pays en développement, l’Alliance lance son Laboratoire numérique, avec le soutien de la Fondation Prince Claus et de l’Organisation internationale de la Francophonie.


Intégré au centre de ressources de l’Alliance, le Labo est une plateforme participative pensée comme un véritable espace d’échanges sur les questions numériques pour les éditeurs membres de l’Alliance.

Outre un blog et un twitter (@digisouth) traitant des innovations numériques dans les pays en développement, le Labo offre également à ses membres un espace privé consacré à l’expérimentation et à la formation.

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Mandela et moi

Auteur(s) : Lewis NKOSI ; préface de Véronique TADJO
Pays de parution : Algérie, Burkina Faso, Cameroun, Congo, Côte d’Ivoire, Mali, Maroc, Rwanda, Togo, Tunisie
Langue(s) : français
Prix : 2 500 FCFA ; 400 DA ; 45 DM ; 8 DT ; 3 300 RWF

Le jeune Zoulou Dumisani Gumede grandit dans le cadre bucolique des montagnes sud-africaines. Cet irrésistible séducteur a deux obsessions : le sexe et une adoration inconditionnelle pour Nelson Mandela, le mythique leader de l’ANC recherché alors dans tout le pays et incarnation idéale pour lui du courage et de la virilité.
Paru initialement en 2006, Mandela et moi dessine un portrait décalé de l’Afrique du Sud sous le régime de l’apartheid. Roman d’apprentissage atypique et audacieux, mêlant de savoureuses anecdotes relatives à la vie quotidienne de la communauté zouloue et à la violence ordinaire, tant familiale que sociale et politique d’un pays en souffrance. Sagesse et humour se côtoient dans cette fable, qui se veut un hommage au grand Mandela.

Lewis NKOSI est né à Durban (Afrique du Sud) en 1936. Journaliste, il a enseigné la littérature dans différentes universités. Auteur de plusieurs essais consacrés à la culture et à la littérature sud-africaine, de pièces de théâtre et de romans, il a reçu de nombreux prix littéraires. Il est décédé à Johannesburg en septembre 2010.

Date de publication de la version panafricaine : 2011, 360 pages, 11,5 X 19 cm

Une coédition solidaire « Le livre équitable ».

Collection Terres solidaires

Créée en 2007, la collection « Terres solidaires » est une expérience collective. Elle propose des textes littéraires d’autrices et auteurs africain.e.s, édités par un collectif de maisons d’édition en Afrique francophone. Grâce au principe de la coédition solidaire, les textes circulent, sont disponibles et accessibles pour les lecteurs africains ; l’écosystème du livre local est préservé et renforcé.
La collection « Terres solidaires » est soutenue par l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF).

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Trop de soleil tue l’amour

Auteur(s) : Mongo BETI ; préface d'Odile TOBNER
Pays de parution : Algérie, Burkina Faso, Cameroun, Congo, Côte d’Ivoire, Mali, Maroc, Rwanda, Togo, Tunisie
Langue(s) : français
Prix : 2 500 FCFA ; 400 DA ; 45 DM ; 8 DT ; 3 300 RWF

Zam, journaliste politique engagé, est victime d’un vol : toute sa précieuse collection de disques de jazz est dérobée. Le lendemain, il découvre un cadavre dans son placard. S’ensuit alors une succession de péripéties où Zam - plus porté sur les plaisirs simples de la vie - prend lentement conscience de ce qui se trame autour de lui. Il décide alors de mener une enquête qui se transforme très vite en cauchemar, où des policiers véreux se confondent avec des politiciens corrompus, où les diplomates étrangers se dérobent tandis que les services secrets se déchaînent.
Trop de soleil tue l’amour - premier volet d’une trilogie restée inachevée - s’inscrit dans cette tradition de la farce littéraire qui entend dénoncer par l’humour la tragédie d’une Afrique prise dans les rets de ses contradictions et des ingérences multiples.

Écrivain, essayiste, libraire, éditeur, citoyen militant, Mongo BETI - né en 1932 au Cameroun - a été, durant un demi-siècle, au cœur du combat pour une Afrique libérée des drames de la colonisation et des indépendances confisquées. Auteur d’une œuvre importante et considéré comme un des écrivains africains majeurs, Mongo BETI est décédé en octobre 2001.

Date de publication de la version panafricaine : 2011, 372 pages, 11,5 X 19 cm

Une coédition solidaire « Le livre équitable ».

Collection Terres solidaires

Créée en 2007, la collection « Terres solidaires » est une expérience collective. Elle propose des textes littéraires d’autrices et auteurs africain.e.s, édités par un collectif de maisons d’édition en Afrique francophone. Grâce au principe de la coédition solidaire, les textes circulent, sont disponibles et accessibles pour les lecteurs africains ; l’écosystème du livre local est préservé et renforcé.
La collection « Terres solidaires » est soutenue par l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF).

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La hausse de la TVA en France menace la librairie et l’édition indépendantes, communiqué de l’Alliance, novembre 2011

Suite à l’annonce de la hausse du taux de TVA, passant de 5,5 % à 7 % en France au 1er janvier 2012 – mesure qui fragilisera au premier chef la librairie indépendante, l’Alliance manifeste sa solidarité avec l’ensemble des maillons de la chaîne du livre en France, et notamment avec les appels lancés par le Syndicat de la Librairie française et le Syndicat national de l’Édition. Nous rappelons à cette occasion la nécessité de protéger et d’encadrer le livre par des dispositifs législatifs adaptés aux réalités de chaque pays – permettant de renforcer les marchés du livre localement et l’accès aux œuvres pour les lecteurs.

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Observatoire de la bibliodiversité

Les éditeurs d’Afrique francophone sur l’échiquier du « glocal » (1980-2019), par Raphaël Thierry

Résumé de l’article

Entre les langues, les marchés et les labels, l’édition africaine représente un objet constant de discours. Celle-ci interroge en permanence notre regard sur le livre et notre relation à l’offre éditoriale internationale. Le temps est désormais révolu où le discours quasi unique concernant l’édition en Afrique portait sur la prétendue « famine du livre » continentale liée à la crise économique des années 1980. Depuis trois décennies, les marchés du livre n’ont fait que croître sur le continent, diversifiant leur production à travers une circulation des livres et de l’information éditoriale toujours plus intensives et transnationales. L’édition africaine demeure toutefois bien souvent présentée à travers les difficultés rencontrées par ses agents plutôt que, précisément, leur capacité d’agentivité (« Agency »). Indiscutable, historiquement établi, le livre africain se fait pourtant le miroir de la globalisation éditoriale et de ses flux économiques. Les enjeux économiques qui y ont cours reflètent alors les inégalités, les alternatives – les marges, aussi – d’un monde du livre toujours davantage concentré. L’édition africaine participe de même à un double questionnement : en Afrique, elle doit défendre sa légitimité économique et intellectuelle en fonction de contextes sociopolitiques évolutifs et de marchés éducatifs en situation d’extraversion ; à l’international, elle doit se positionner vis-à-vis de l’édition non africaine de littérature et de non-fiction qui concentre la majorité de la production intellectuelle africaine dans le monde. En étudiant les discours sur le livre africain, discours d’éditeurs africains et évolution du marché international du livre africain francophone depuis les années 1980, cette réflexion se propose d’interroger la relation entre l’industrie du livre en Afrique et le phénomène de mondialisation du livre, afin de mettre au jour un tissu permanent d’échanges, de tensions et d’influences, faisant du marché du livre africain un espace « glocal », s’il en est.

Lire l’article dans son intégralité ici.

Thierry, R. (2019). Les éditeurs d’Afrique francophone sur l’échiquier du « glocal »
(1980-2019). Mémoires du livre / Studies in Book Culture, 10 (2).
https://doi.org/10.7202/1060972ar

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Les politiques publiques du livre (dossier de la revue Bibliodiversity)

Contactez l’équipe de l’Alliance pour vous procurer gratuitement la version numérique de ce numéro dédié aux politiques publiques du livre.

Publication : juin 2019
La revue Bibliodiversity est coéditée par Double ponctuation et l’Alliance internationale des éditeurs indépendants.
Voir tous les autres numéros de la revue (« L’Auto édition », « Édition et engagement »...).

Présentation du numéro :
De la censure à la protection la plus appuyée, les interventions publiques dans le secteur du livre prennent des formes variées.
Composé d’articles universitaires, de témoignages de professionnels du livre et de deux analyses régionales inédites (Afrique subsaharienne francophone et Amérique latine hispanophone), ce numéro nous emmène de la Russie à la Suisse, en passant par la Syrie, le Liban, la Tunisie, le Maroc, le Québec, la France et l’Argentine.
Il tente de répondre à une question : l’intervention des pouvoirs publics favorise-t-elle la diversité éditoriale ?

Sommaire du numéro « Les politiques publiques du livre » :

  • « Les interventions publiques dans le secteur du livre. Objectifs, formes, niveaux de développement et principales caractéristiques », par Étienne Galliand, rédacteur en chef de Bibliodiversity
  • « Fédéralisme et cohésion. Les nouvelles politiques du livre en Suisse », par Carine Corajoud, historienne (Suisse)
  • "Une autonomie relative. Analyse comparative des marges de manœuvre
    de l’édition publique en France", par Hélène Seiler-Juilleret, École des hautes études en sciences sociales (France)
  • « Négocier le contrôle, promouvoir la lecture ? Éditeurs indépendants face à l’État dans la Russie des années 2010 », par Bella Ostromooukhova (France et Russie), Sorbonne Université
  • « Maroc : livres en déshérence. Les lacunes de l’implication des pouvoirs publics dans le secteur du livre et de l’écrit », par Anouk Cohen (France et Maroc), CNRS et Kenza Sefrioui, docteure en Littérature comparée, critique littéraire et éditrice (Maroc)
  • « Les politiques publiques du livre en Tunisie ». Témoignage de Nouri Abid, éditions Med Ali (Tunisie)
  • « Les politiques publiques du livre en Syrie ». Témoignage de Samar Haddad, Atlas Publishing (Syrie)
  • « Les politiques publiques du livre au Liban. Le regard d’un libraire ». Témoignage de Michel Choueiri, librairie Culture & Co (Liban et Émirats arabes unis)
  • « Les politiques publiques du livre en Afrique subsaharienne et à Madagascar. Analyse transversale de données récoltées dans 12 pays », par Luc Pinhas, université Paris 13 Villetaneuse (France)
  • « Édition et pouvoirs publics : le cas du Québec. Ou de l’influence des actions publiques sur l’indépendance éditoriale ? », par Pascal Genêt, université de Sherbrooke (Québec-Canada)
  • « Lois, politiques publiques, institutions et dispositifs d’appui au livre et à la lecture en Amérique latine. Analyse des données récoltées dans 10 pays », par Andrés E. Fernández Vergara, université du Chili
  • « De la culture vers l’économie. Analyse d’un programme public de soutien à l’édition locale à Buenos Aires : Opción Libros », par José de Souza Muniz Jr., Centre fédéral d’éducation technologique de Minas Gerais (Brésil)

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Publishing & the Book in Africa : A Literature Review for 2018, par Hans M. Zell

Publishing & the Book in Africa : A Literature Review for 2018 : découvrir le 4e volume d’une série d’études consacrées à la littérature et à la filière du livre en Afrique subsaharienne.

Lire la version pré-imprimée ici.

A paraître dans The African Book Publishing Record, volume 44, numéro 2, (mai 2019)
Réimprimé avec l’autorisation de l’auteur. Copyright © Hans Zell Publishing Consultants 2019

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Le marché du livre africain francophone et ses enjeux géopolitiques, Raphaël Thierry, 2017

Le marché du livre africain francophone et ses enjeux géopolitiques (version non-éditée).
Le livre africain et « l’’esprit du temps »
par Raphaël Thierry, 2017.

Lire ici l’article dans son intégralité sur Academia.edu.

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African Book Industry Data & the State of African National Bibliographies, by Hans M. Zell

African Book Industry Data & the State of African National Bibliographies :
lire ici la version en ligne (ou fichier ci-contre).

Publié dans The African Book Publishing Record, Volume 44, Issue 4 (Dec 2018) : 363-389.

Mise en ligne avec la permission de l’auteur.
Copyright © Hans Zell Publishing Consultants 2018

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Aux origines de la BD camerounaise

À l’occasion de la tenue de la 9ème édition du Mboa BD, festival international de bandes dessinées du Cameroun, Christophe Cassiau-Haurie revient sur les tous premiers pas de la BD camerounaise, en particulier à travers les premières planches publiées dans le journal Cameroun Tribune au milieu des années 1970. Cet article renforce et complète son ouvrage L’histoire de la bande dessinée au Cameroun, parue en 2015.

Lire l’article intégral : « Aux origines de la BD camerounaise », par Christophe Cassiau-Haurie, publié par Africultures le 29 novembre 2018.

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L’Auto-édition (janvier 2019) / Sylvie Bosser, coordinatrice

Prix de vente (version papier) : 10 euros ; 15 dollars canadiens ; 10 francs suisses ; 6 000 francs CFA.
Numéro ISSN : 2650-0205

Présentation du numéro :
S’éditer soi-même est de moins en moins perçu comme un geste égocentré, narcissique – voire revanchard. Contourner la fonction sélective d’un tiers (l’éditeur) au profit d’une relation directe au lecteur potentiel – que cela soit par choix ou par obligation, lorsque l’on a été rejeté par ceux « de la place » – semble au contraire en parfaite adéquation avec l’air du temps, qui prône l’horizontalité des rapports, l’absence d’intermédiaire et la relation directe du producteur au consommateur, les circuits courts, la méfiance des experts, des élites et de la comitologie.
Si l’auto-édition est décomplexée, elle est surtout dynamique sous format numérique, où les barrières à l’entrée sont aujourd’hui négligeables. Pour autant, l’auto-édition est-elle vecteur de bibliodiversité ?
La notion « d’indépendance » est elle aussi questionnée par cette évolution de la production. En effet, on parle très couramment aux États-Unis d’auteurs ou d’ebooks « indies », cette figure de l’auteur indépendant étant elle aussi maintenant assimilée et revendiquée dans le contexte hexagonal. Mais de quelle indépendance s’agit-il ?

Sommaire du numéro « L’Auto-édition » :

  • L’auto-édition : un vecteur de bibliodiversité ? / Par Sylvie Bosser, université Paris 8
  • De l’auto-édition en littérature française.
    Mise en perspective historique d’une pratique éditoriale multiforme / Par Olivier Bessard-Banquy, université Bordeaux-Montaigne
  • Les auteurs auto-édités sur Kindle Direct Publishing.
    Motivations, identités, pratiques et attentes / Par Stéphanie Parmentier, université Bordeaux-Montaigne
  • L’auto-édition de bandes dessinées.
    Une voie d’entrée spécifique au sein du champ éditorial / Par Kevin Le Bruchec, université Paris 13
  • Le tiers (in)visible.
    Le mentorat littéraire, un processus favorisant l’auto-édition ? / Par Marie Caffari et Johanne Mohs, Haute école des arts de Berne
  • Autopublication : un phénomène singulier par sa nature, son ampleur et ses acteurs.
    Radiographie de l’autopublication en Amérique latine et au-delà / Par Daniel Benchimol, pour le CERLALC
  • L’auto-édition littéraire au Maroc.
    Conditions, enjeux et significations sociales d’une pratique culturelle en expansion / Par Kaoutar Harchi, Centre de recherche sur les liens sociaux
  • L’auto-édition en Iran.
    Histoire d’un dilemme sur fond d’audace / Témoignage d’Azadeh Parsapour, éditrice
  • Les Éditions du Net.
    Un entretien avec Henri Mojon / Conduit par Sylvie Bosser, université Paris 8

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Le livre et l’édition et l’économie sociale et solidaire, Thierry Quinqueton, septembre 2018

« Le livre et l’édition et l’économie sociale et solidaire » (septembre 2018), mémoire réalisé par Thierry Quinqueton (membre du Bureau de l’Alliance), Master 2, « Droit et développement de l’économie sociale et solidaire », Faculté de droit et de sciences sociales de l’Université de Poitiers.

Plan du mémoire :
1. Le livre et l’édition abordent les thématiques de l’économie sociale et solidaire
2. Les thématiques de l’économie sociale et solidaire interrogent le livre et l’édition
3. Les potentialités pour le livre et l’édition des sociétés coopératives d’intérêt collectif et des coopératives d’activité et d’emploi

Extrait (introduction) :
Le champ du livre et de l’édition – indissociablement économique et culturel – et le champ de l’économie sociale et solidaire – comme relevant à la fois du mouvement social, du renouvellement de la pensée sur l’économie et de l’expérimentation de nouvelles formes d’activités – ne sont pas des champs clos. L’ambition de ce travail est de contribuer à l’exploration de leurs croisements, en intégrant une vision prospective : en quoi le champ de l’économie sociale et solidaire a-t-il intérêt que se développe et se renforce une offre de livres pour structurer le débat public autour de son objet ? En quoi le monde du livre et de l’édition a-t-il intérêt à prendre en compte les formes nouvelles d’activités économiques développées par l’économie sociale et solidaire pour répondre à certains des défis auxquels il est confronté ?

Lire l’intégralité du mémoire ici !

Pour accéder à l’« Editographie francophone pour l’économie sociale et solidaire » (parcours dans les catalogues de 56 maisons d’édition, annexe I au mémoire) sur Google drive ou sur Calameo.

Pour accéder au parcours « Des coopératives dans le secteur du livre et de l’édition » (présentation des sociétés coopératives participatives - SCOP, des sociétés coopératives d’intérêt collectif - SCIC et des entrepreneurs des coopératives d’activité et d’emploi - CAE du secteur du livre et de l’édition, annexe II au mémoire) sur Google drive ou sur Calameo.

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Les coéditions, les partenariats au sein de la francophonie : expérience et témoignage de Béatrice Lalinon Gbado, Ruisseaux d’Afrique (Bénin)

Retranscription de l’intervention de Béatrice Lalinon Gbado (éditions Ruisseaux d’Afrique au Bénin), lors de la table ronde sur « les partenariats éditoriaux » sur la scène du Pavillon d’honneur, à la Foire du livre de Francfort, octobre 2017.
Propos recueillis par Katja Petrovic, BIEF.

Extraits :
« Ce que nous avons fait, c’est de lancer des coéditions très tôt, depuis 2002, des coéditions qui ont engagé des maisons d’édition de Tunisie, de Guinée, de la Côte d’Ivoire, du Togo, du Sénégal et d’autres pays et qui ont permis de créer des collections qui ont généré jusqu’à 80 titres diffusés dans tous ces pays à la fois, ce qui nous a permis de régler les problèmes de distribution, de production, de qualité aussi de ce que nous mettions au service des enfants.

Quand nous rentrons dans le rapport Sud-Nord, les réalités ne sont pas les mêmes et on peut se poser la question sur le positionnement des éditeurs du Nord par rapport aux éditeurs du Sud.

Tout à l’heure, j’ai entendu qu’il y a des lignes qui bougent mais elles bougent comment et dans quelles proportions ? Est-ce que les chasses ne sont pas toujours gardées, est-ce que cette francophonie que nous voulons promouvoir, que nous disons promouvoir, est-ce que nous sommes vraiment prêts à nous ouvrir ou est-ce que nous pensons toujours que nous avons des leçons à donner.

La question est de savoir si l’on peut entrer en relation à égalité. C’est-à-dire accepter que celui qui s’en vient là, même si je ne suis pas d’accord avec son projet, c’est un projet qui a de la valeur, que je peux accepter et partager demain, qu’il a toujours accepté et partagé ma forme de penser, ma forme de diffuser cette pensée, etc. C’est le problème clé, il faut qu’on résolve ce problème de regard et de posture dans la relation. »

Lire l’intégralité de l’intervention ici :

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