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L’Alliance

L’Alliance au Salon du livre et de la presse jeunesse de Seine-Saint-Denis (France), 30 novembre - 5 décembre 2011 - stand J-11

Pays de parution : République de Guinée, Afrique du Sud, Bénin, Brésil, France, Madagascar, Mali, Maroc, Rwanda, Tunisie

L’Alliance vous accueillera du 30 novembre au 5 décembre 2011 sur son stand collectif, « Lectures d’ailleurs : Afrique, Amériques, Océanie », J-11 au sein de l’Espace international du Salon du livre et de la presse jeunesse de Seine-Saint-Denis.
Nous vous invitons ainsi à rencontrer et découvrir les ouvrages des 10 éditeurs africains, brésilien et français présents sur le stand « Lectures d’ailleurs » : les éditions éditions Alif (Tunisie), Bakamé (Rwanda), Donniya (Mali), Ganndal (République de Guinée), Jacana (Afrique du Sud), Jeunes malgaches (Madagascar), Pallas (Brésil), Ruisseaux d’Afrique (Bénin), Vents d’ailleurs (France) et Yomad (Maroc).

Pour découvrir et commander ces ouvrages jeunesse tout au long de l’année, consultez le catalogue collectif « Lectures d’Afrique(s) » en cliquant ici.

En marge du Salon, l’Alliance organise des rencontres professionnelles entre éditeurs africains et libraires et bibliothécaires franciliens mais aussi avec des associations et structures œuvrant pour le livre - voir le programme ci-dessous !

Avec l’École du livre de jeunesse, l’Alliance propose également une journée de formation sur l’édition jeunesse en Afrique francophone le vendredi 2 décembre 2011. Plus de renseignements sur le site du Salon : www.salon-livre-presse-jeunesse.net

L’éditeur Gilles COLLEU, éditions Vents d’ailleurs (France)

L’éditeur Sékou FOFANA, éditions Donniya (Mali)

L’éditrice Béatrice LALINON GBADO, Ruisseaux d’Afrique (Bénin)

Le stand « Lectures d’ailleurs », pour découvrir la littérature jeunesse d’Afrique, d’Amérique et d’Océanie

L’éditrice Mariana WARTH, Pallas Editora (Brésil)

Stand Lectures d’ailleurs

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La hausse de la TVA en France menace la librairie et l’édition indépendantes, communiqué de l’Alliance, novembre 2011

Pays de parution : France

Suite à l’annonce de la hausse du taux de TVA, passant de 5,5 % à 7 % en
France au 1er janvier 2012 – mesure qui fragilisera au premier chef la librairie indépendante, l’Alliance manifeste sa solidarité avec l’ensemble des maillons de la chaîne du livre en France, et notamment avec les appels lancés par le Syndicat de la Librairie française et le Syndicat national de l’Édition.
Nous rappelons à cette occasion la nécessité de protéger et d’encadrer le livre par des dispositifs législatifs adaptés aux réalités de chaque pays – permettant de renforcer les marchés du livre localement et l’accès aux œuvres pour les lecteurs.

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La liberté de publier est toujours en danger au Canada

Pays de parution : Canada

Suite à l’appel de soutien aux éditions Écosociété coordonné par
l’Alliance en 2008
, l’Alliance vous transmet ci-dessous les conclusions de « l’affaire Noir Canada » avec la compagnie minière Barrick Gold.

Afin de mettre fin à la poursuite qu’une compagnie canadienne leur a intentée en avril 2008 pour un montant de 6 millions de dollars, les éditions
Écosociété
et les auteurs de Noir Canada ont décidé de retirer l’ouvrage de la vente. Ce titre, qui s’est vendu à plus de 5 000 exemplaires, restera néanmoins inscrit au catalogue d’Écosociété, et nous savons qu’il continuera à toucher des lecteurs notamment à travers sa présence dans les bibliothèques. Face à cet acte de censure et face à la pression de grandes compagnies sur une maison d’édition indépendante, nous tenons à saluer la pugnacité dont ont fait preuve trois années durant les éditions Écosociété et leurs auteurs. Le combat contre la censure est toujours d’actualité et l’Alliance continuera d’être solidaire de toutes les actions que mèneront les éditions Écosociété en faveur de la liberté de publier.

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L’Alliance à la Foire du livre de Francfort 2011

Pays de parution : Allemagne

Les éditeurs indépendants se retrouveront à nouveau à Francfort cette année. N’hésitez pas à les rencontrer directement sur leur stand ou à contacter l’Alliance pour toute information supplémentaire.

Par ailleurs, ne manquez pas la présentation publique de l’étude sur l’édition numérique dans les pays en développement, étude coordonnée par l’Alliance en partenariat avec la Fondation Prince Claus, le jeudi 13 octobre entre 12h00 et 13h00 au Forum Dialogue (Hall 5.1 / A962). Cette rencontre réunira Octavio KULESZ (Teseo Editorial en Argentine, et auteur de l’étude), Gabriela ADAMO (directrice de la Foire du livre de Buenos Aires), Bridget IMPEY (Jacana Media en Afrique du Sud) et Mariana WARTH (Pallas Editora au Brésil).

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La Journée internationale de la Bibliodiversité, 21 septembre 2011

Pays de parution : Afrique du Sud, Argentine, Australie, Espagne, France, Inde, Turquie

Depuis 2010, la Journée internationale de la Bibliodiversité (Jour B) est célébrée le 21 septembre (jour du printemps dans l’hémisphère Sud) par les éditeurs indépendants. Au programme cette année :

  • en Espagne, à Ténérife, le Salon international du Livre africain (SILA) accueille du 21 au 25 septembre 2011 des éditeurs membres de l’Alliance autour de tables rondes et rencontres professionnelles, et donne un espace à l’Alliance pour le lancement officiel du Jour B (voir le programme ci-dessous) ;
  • en France, un atelier sur la bibliodiversité réunit les représentants des associations professionnelles (libraires, bibliothécaires, éditeurs) de la chaîne du livre ;
  • en Amérique latine, les collectifs nationaux d’éditeurs se mobilisent et proposent de nombreuses activités, à suivre sur le blog eldiab.org ;
  • en portugais, en espagnol, en français et anglais, consultez l’article Wikipédia sur la « bibliodiversité » ;
  • en Australie, l’artiste Judy Horacek dessine la bibliodiversité ;
  • en Turquie, la peintre Emine Bora illustre aussi la biblodiversité ;
  • en Inde, l’artiste Alpana Khare représente la bibliodiversité ;
  • en Afrique du Sud, la bibliodiversité est interprétée par un designer - voir les illustrations ci-dessous.

Et chez vous, que se passe t-il ? N’hésitez pas à nous faire part de vos activités !


Découvrez la vidéo du Jour B 2011 !

La bibliodiversité en Inde, par l’artiste Alpana Khare

Le Jour B en Afrique du Sud !

La bibliodiversité en Turquie, par la peintre Emine Bora

La bibliodiversité en dessin, par l’artiste australienne Judy Horacek

Le logo du Jour B

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Huit éditeurs persanophones réunis à Paris, 22 - 24 juin 2011

Pays de parution : Allemagne, Danemark, États-Unis, France, Iran, Pays-Bas, Suède

Dans le cadre de son partenariat avec la Fondation Prince Claus, l’Alliance réunit à Paris, du 22 au 24 juin 2011 des éditeurs persanophones de la diaspora (Allemagne, Danemark, États-Unis, France, Pays-Bas et Suède) pour une rencontre inédite. Cette rencontre, nous l’espérons, permettra aux éditeurs de créer des liens autant humains que professionnels, de développer collectivement des projets, enfin de se fédérer.

Le compte-rendu de cette rencontre est disponible en anglais et en persan. Écrivez-nous pour en recevoir un exemplaire.

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Le Comité international des éditeurs indépendants se réunit à Paris, 19 - 22 juin 2011

Pays de parution : France

Le Comité international des éditeurs indépendants (CIEI) est présent à Paris du 19 au 22 juin 2011 pour sa rencontre annuelle avec le Bureau de l’Alliance. Cette année, le CIEI participera entre autres à l’Assemblée générale de l’Alliance le 20 juin, et rencontrera les éditeurs persanophones de la diaspora, réunis à Paris entre le 22 et le 24 juin 2011 (voir le programme ci-dessus).

Les membres du CIEI présents à Paris :

  • Nouri ABID (éditions Med Ali, Tunisie), coordinateur du réseau arabophone ;
  • Serge D. KOUAM (Presses universitaires d’Afrique, Cameroun), coordinateur du réseau francophone ;
  • Araken GOMES RIBEIRO (Contra Capa, Brésil), coordinateur du réseau lusophone ;
  • Guido INDIJ (la marca editora, Argentine) – coordinateur du réseau hispanophone ;
  • Ritu MENON (Women Unlimited, Inde) – représentante du réseau anglophone.

Le compte-rendu de la rencontre du CIEI est disponible auprès de l’équipe de l’Alliance.

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Le Comité international des éditeurs indépendants (CIEI)

Le CIEI se compose des coordinateurs/trices et vice-coordinateurs/trices des réseaux linguistiques de l’Alliance – les coordinateurs et vice-coordinateurs sont désignés par les membres des réseaux linguistiques. Depuis 2011, le CIEI est un organe indispensable dans la gouvernance de l’Alliance, représentant la voix des éditeur·rices. Le CIEI se réunit physiquement une fois par an en présence des membres du Bureau et de l’équipe de l’Alliance. L’ordre du jour est construit à partir des nécessités et des objectifs de l’Alliance, prenant avant tout en compte les besoins et les attentes exprimés par les membres.

Composition du CIEI :

  • Coordinatrice du réseau anglophone : Colleen Higgs, Afrique du Sud (Modjaji Books)
  • Vice-coordinateur du réseau anglophone : Ronny Agustinus, Indonésie (Marjin Kiri)
  • Coordinatrice du réseau francophone : Élisabeth Daldoul, Tunisie (elyzad)
  • Vice-coordinateurs du réseau francophone : Paulin Assem, Togo (AGO Média) et Jean-Claude Naba, Burkina Faso (Sankofa & Gurli)
  • Coordinatrices du réseau persanophone : Azadeh Parsapour, UK/Iran (Nogaam) et Anahita Mehdipour, Allemagne/Iran (Forough Verlag)

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Communiqué de l’Alliance, suite aux rencontres de Tunis, 27 mai 2011

Pays de parution : Tunisie

15 éditeurs indépendants de 8 pays (Algérie, Argentine, Côte d’Ivoire, Égypte, France, Maroc, Tunisie, Syrie) se sont réunis en Tunisie du 12 au 15 mai 2011 pour des rencontres sur l’édition numérique organisées par l’Alliance internationale des éditeurs indépendants, avec le soutien de l’Organisation internationale de la Francophonie.

L’ensemble des éditeurs réunis à Tunis souhaite faire savoir que cette rencontre s’est déroulée dans un climat serein et sûr. L’accueil très chaleureux qui nous a été réservé, et ce malgré le couvre-feu qui était alors instauré, nous a permis d’organiser des rencontres de grande qualité, autant professionnellement qu’humainement.

Nous tenions à manifester ainsi notre amitié à nos partenaires tunisiens, en invitant les associations, les ONG, les organismes et institutions, les touristes et les curieux, à redécouvrir la Tunisie – cette Tunisie où l’on respire un air de liberté.

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Communiqué de l’Alliance, suite aux rencontres numériques de Tunis, 27 mai 2011

Pays de parution : Tunisie

15 éditeurs indépendants de 8 pays (Algérie, Argentine, Côte d’Ivoire, Égypte, France, Maroc, Tunisie, Syrie) se sont réunis en Tunisie du 12 au 15 mai 2011 pour des rencontres sur l’édition numérique organisées par l’Alliance internationale des éditeurs indépendants, avec le soutien de l’Organisation internationale de la Francophonie.

L’ensemble des éditeurs réunis à Tunis souhaite faire savoir que cette rencontre s’est déroulée dans un climat serein et sûr. L’accueil très chaleureux qui nous a été réservé, et ce malgré le couvre-feu qui était alors instauré, nous a permis d’organiser des rencontres de grande qualité, autant professionnellement qu’humainement.

Nous tenions à manifester ainsi notre amitié à nos partenaires tunisiens, en invitant les associations, les ONG, les organismes et institutions, les touristes et les curieux, à redécouvrir la Tunisie – cette Tunisie où l’on respire un air de liberté.

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Observatoire de la bibliodiversité

La BD au Maroc : en attente de lecteurs

À première vue, le Maroc peut passer pour un pays où la bande dessinée est reine : le pays a abrité ou abrite plusieurs festivals de bande dessinée (Tétouan, Fès, Kénitra, Casablanca) et compte avec l’Institut National des beaux-arts de Tétouan, la seule filière BD de l’Afrique francophone. Malheureusement, la production de BD au niveau local ou dans la diaspora reste faible et la BD reste un genre mineur au Maroc, même si on constate un certain frémissement depuis quelques années. Retour sur une histoire vieille de plus de 50 ans.

Lire l’intégralité de l’article « La BD au Maroc : en attente des lecteurs », écrit par Christophe Cassiau-Haurie, publié par Africultures, le 23 mars 2017.

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Une opération de dons de livres en Côte d’Ivoire : quels impacts pour la bibliodiversité ?, juin 2017

Dans le cadre d’une convention signée en juin 2017 entre le ministère de la Culture de Côte d’Ivoire et le Syndicat national de l’Édition française (SNE), « les éditeurs français, via la société Electre, s’engagent à faire un don chaque année, de 5 000 livres de littérature générale, de jeunesse et de sciences humaines, destinés à enrichir et développer les fonds des bibliothèques nationales de Côte d’Ivoire. À travers ce texte, les parties partagent une volonté commune de développement de la Francophonie ainsi qu’une meilleure connaissance des livres de chaque pays ».

L’Association internationale des libraires francophones (AILF) et l’Alliance partagent dans un communiqué commun leurs réflexions et préoccupations et rappellent les possibles répercussions des dons de livres sur la chaîne du livre d’un pays.

Extrait du communiqué, 15 juin 2017 :
Nous invitons à se référer à plusieurs ressources et réflexions formulées par des professionnels du livre, des universitaires et des collectifs, recensées ici.

L’ensemble de ces témoignages, analyses et articles mettent en évidence certaines questions, fondamentales à prendre en compte pour toute opération de dons de livres, dont nous en rappelons les principales ici :
=> Prendre en compte les besoins des lecteurs pour que les ouvrages envoyés soient en adéquation avec leurs attentes, leurs langues, leurs envies : types d’ouvrages répondant à des besoins spécifiques identifiés
=> Travailler main dans la main avec les professionnels locaux :

  • Associer et travailler étroitement avec les bibliothécaires : les livres envoyés viennent-ils en complément de l’offre de la bibliothèque dans un souci de bibliodiversité ? Permettent-ils de constituer un nouveau rayon thématique ? Des animations sont-elles prévues pour que les lecteurs les découvrent ?
  • Associer les libraires et éditeurs locaux afin de respecter la chaîne du livre locale : comment faire en sorte que les dons ne viennent pas fragiliser et court-circuiter l’économie locale ?

=> Prévoir, en complément des opérations de dons de livres, des actions de soutien pérennes pour la filière locale.

Nous sommes attachés à inscrire ces recommandations en référence à la Convention sur la protection et la promotion de la diversité des expressions culturelles de l’UNESCO (2005).

Le développement du secteur culturel d’un pays – et en particulier celui du livre – est une des conditions d’émergence de la création ; garantit la vitalité d’un vivier de créateurs (auteurs, traducteurs, illustrateurs…) et de professionnels (bibliothécaires, éditeurs, libraires, diffuseurs…) ; génère un dynamisme économique. La Côte d’Ivoire en est une illustration exemplaire depuis plusieurs années. Il serait ainsi préoccupant que des opérations de dons viennent fragiliser l’écosystème local ; il serait regrettable que ces opérations ne prennent pas en compte le travail et les partenariats mis en place par les collectifs professionnels d’éditeurs et de libraires, au niveau national et international, depuis plusieurs années (coéditions francophones, travail sur les langues africaines, ateliers et formations…).

Nous rappelons par ailleurs qu’il existe d’autres manières de penser le don de livres :
=> S’appuyer sur un principe et des mécanismes de réciprocité : en contrepartie de 5 000 livres donnés, un achat de livres ivoiriens pourrait être réalisé pour les bibliothèques françaises – afin justement de renforcer « une meilleure connaissance des livres de chaque pays » ;
=> Monétiser le don dans une logique de redistribution : les 5 000 livres ne sont pas donnés mais vendus en France, et l’argent récolté est reversé à l’Association des éditeurs ivoiriens pour le prochain Salon International du livre d’Abidjan (cf. bibliobraderies organisées par Bibliothèques Sans Frontières) ;
=> Privilégier une logique de partenariats équilibrés entre professionnels : l’argent prévu pour le transport des 5 000 livres de France vers la Côte d’Ivoire n’est pas utilisé pour une opération de dons mais pour des rencontres entre éditeurs ivoiriens et français dans l’optique de cessions de droits ; pour des rencontres entre libraires ivoiriens et français dans l’optique de partenariats…

Il s’agit ainsi de trouver collectivement des systèmes de solidarité et de réciprocité, en adéquation avec les réalités du terrain. Ce sont ces formes de coopération et de liens qui assurent sur le moyen terme les bases de partenariats de confiance, la structuration pérenne et viable des marchés – garantissant également la conscientisation, l’éveil et l’émancipation des futures générations de lecteurs et citoyens.

Lire l’intégralité du Communiqué ci-contre.

Voir les articles publiés par ActuaLitté :

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Histoire de la bande dessinée en Côte d’Ivoire (3/3)

Peu de gens le savent, mais l’édition ivoirienne est l’une des plus anciennes du continent. Christophe Cassiau-Haurie documente en trois épisodes, l’histoire de la bande dessinée depuis les années 1960. En voici le troisième et dernier volet sur la décennie 2010.

Lire ici l’article publié par Africultures le 12 février 2019.

Retrouvez ici l’intégralité de « Histoire de la bande dessinée en Côte d’Ivoire (2/3) », par Christophe Cassiau-Haurie, publié par Africultures le 16 janvier 2018.
Et retrouvez ici l’Histoire de la bande dessinée en Côte d’Ivoire 1/3.

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Histoire de la bande dessinée en Cote d’Ivoire (2/3)

Après avoir retracé l’histoire de la bande dessinée en Côte d’Ivoire des années 1960 aux années 1990, Christophe Cassiau-Haurie nous plonge dans les années 2000.

La crise politique et militaire qui affecte le pays à compter de 2002 met un coup de frein aux activités des auteurs de BD (en particulier la publication d’albums) pendant près d’une décennie. Seules quelques productions locales sont visibles sur le marché national, beaucoup d’entre elles au tout début de la décennie.

Lire l’intégralité de « Histoire de la bande dessinée en Côte d’Ivoire (2/3) », par Christophe Cassiau-Haurie, publié par Africultures le 16 janvier 2018.
Et retrouvez ici l’Histoire de la bande dessinée en Côte d’Ivoire 1/3.

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Histoire de la bande dessinée en Côte d’Ivoire (1/3)

Peu de gens le savent, mais l’édition ivoirienne est l’une des plus anciennes du continent.
Les éditions CEDA sont nées en 1961. Elles ont été créées par l’Etat Ivoirien en partenariat avec les éditions françaises Hatier, Didier, Fouchier et Mame. Si l’Etat n’était actionnaire qu’à 25% à l’origine, il est passé à 51% en 1974. En 1972, sont créés à Dakar les NEA (Nouvelles Editions Africaines) avec une direction générale à Dakar et deux antennes à Lomé et Abidjan. Dix ans plus tard, les NEA Abidjan tentent une autonomie qui se solde par un dépôt de bilan en 1989.

Lire l’intégralité de « Histoire de la bande dessinée en Côte d’Ivoire (1/3) », par Christophe Cassiau-Haurie, publié par Africultures le 15 mars 2017.

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Des propositions et actions pour développer les partenariats éditoriaux solidaires

Ces recommandations et propositions sont extraites des 80 recommandations en faveur de la bibliodiversité, formulées lors des Assises internationales de l’édition indépendante (2012-2014).

Elles ont été formulées à partir de l’expérience et des pratiques au sein de l’Alliance internationale des éditeurs indépendants : elles concernent prioritairement les partenariats éditoriaux entre éditeurs des pays du Sud dans la mesure où les soutiens à l’édition dans ces pays sont souvent faibles, voire inexistants, et entre éditeurs du Sud et du Nord dans la mesure où ces échanges sont encore peu fréquents.

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Modèles de contrats pour des partenariats éditoriaux

L’Alliance tient à votre disposition des modèles de contrat type pour les partenariats éditoriaux suivants :

Pour toute demande de contrat type ou pour un conseil sur la mise en place d’un partenariat éditorial, n’hésitez pas à contacter l’équipe de l’Alliance.

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Les programmes de don de livre en Afrique : le temps venu pour une réévaluation ?, Raphaël Thierry / partie 2, 2015

Deuxième partie : Raphaël Thierry : Le don de livre, mais à quel prix, et en échange de quoi ? (un panorama du don de livre en Afrique francophone)

À venir dans African Research & Documentation, Revue de la SCOLMA (the UK Libraries and Archives Group on Africa), no. 127 (2015) [Publication 2017]

Retrouvez aussi l’article sur le site EditAfrica !

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Les programmes de don de livre en Afrique : le temps venu pour une réévaluation ?, Hans Zell / partie 1, 2015

Première partie : Hans M. Zell : le don de livre en Afrique de langue anglaise (en anglais)

À venir dans dans African Research & Documentation, Revue de la SCOLMA (the UK Libraries and Archives Group on Africa), no. 127 (2015) [Publication 2017]

Extrait de l’avant-propos de l’éditrice :
« C’est une très grande joie que de publier ce numéro d’African Research & Documentation (ARD). La Scolma est très reconnaissante à l’égard d’Hans Zell et de Raphaël Thierry pour avoir choisi de publier dans nos pages la totalité de leur étude consacrée aux programmes de don de livre en Afrique.
Comme l’affirment les auteurs, « le temps est venu pour une réévaluation » et nous espérons en cela que le débat qui suivra trouvera sa place dans les pages d’ARD, de même que sur internet. Je voudrai ici solliciter réactions et retours sur cette étude importante aussi bien que provocatrice en certains points. Les retours des bibliothèques destinataires seront particulièrement les bienvenus. »
Terry Barringer, éditrice, African Research & Documentation

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Appel à candidatures : récolte de données et cartographies des politiques publiques du livre dans le monde arabe et en Afrique subsaharienne/Madagascar

Dans le cadre du travail sur les politiques publiques du livre entamé en 2017 (voir présentation ici), l’Alliance lance un appel à candidatures pour les phases de récolte de données et de cartographies des politiques publiques du livre dans le monde arabe et en Afrique subsaharienne/Madagascar.

Si vous êtes intéressé-e-s pour réaliser ce travail de récolte de données et de cartographies dans une de ces deux zones, aux conditions indiquées dans les appels ci-contre, nous vous remercions d’adresser votre proposition à l’équipe de l’Alliance, avant le 30 avril 2017.

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