français

L’Alliance

Les indépendants à Livre Paris 2017 (France), 24-27 mars 2017

Des rendez-vous à ne pas manquer, plus de 15 éditeurs membres de l’Alliance de 9 pays présents !

Vendredi 24 mars, 10h00 – 12h30 / stand du BIEF (U18)
B2B : achats et cessions de droits dans l’espace francophone / rendez-vous professionnels entre éditeurs d’Afrique subsaharienne et d’Haïti et éditeurs français - organisées par l’Alliance, en partenariat avec le BIEF

Lundi 27 mars, 9h00 – 16h00 / Forum professionnel SNE (U14)
Rencontre professionnelle des éditeurs francophones : « Création, partenariats et promotion : quelles perspectives de développement pour l’édition francophone » / organisée par le BIEF, en collaboration avec l’Alliance internationale des éditeurs indépendants

Mardi 28 mars, 9h30 – 13h00 / Centre national du livre
Réunion des éditeurs du réseau francophone de l’Alliance / À l’ordre du jour : échanges autour de l’étude sur l’impression numérique en Afrique de l’Ouest menée par Gilles Colleu (éditions Vents d’ailleurs, France) ; présentation de l’étude sur « la filière de l’édition française et ses impacts », réalisée par le Bureau d’Analyse Sociétale pour une Information Citoyenne (BASIC).

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Indie Book Day, 18 mars 2017

Le 18 mars prochain, c’est la « journée du livre indépendant » !
Vous êtes invités à aller dans une librairie indépendante, acheter un livre édité par un éditeur indépendant, et publier une photo du livre, ou de vous avec le livre, sur les réseaux sociaux, avec le hashtag #indiebookday.

Le Indie Book Day a été créé par les éditeurs indépendants allemands ; aujourd’hui, des éditeurs indépendants en Italie (collectif ODEI), au Royaume Uni (collectif IPG)... se joignent à l’initiative. Demain... l’Indie Book Day pourrait se dupliquer dans bien d’autres pays, grâce à vous !

Pour toute autre précision, cliquez ici.
Facebook.

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Réseaux professionnels et culturels indépendants : quels modes de collaboration entre le Sud et le Nord ?, Paris, 17 février 2017

Un moment d’échanges de pratiques et de savoir-faire entre acteurs du cinéma documentaire, des médias, de la librairie, de l’édition, organisé à l’initiative de la coopérative Tënk et de l’Alliance, sur les enjeux suivants :
* coproduction Nord/Sud : quels systèmes de co-construction et coproduction entre les acteurs du Sud et du Nord ?
* diffusion / distribution / commercialisation : comment les acteurs se diffusent-ils, et notamment en Afrique ? Quels sont les systèmes actuels, ceux qui ont échoué, ceux qui ont réussi ?
* langues locales et nationales / traduction : comment les langues locales sont-elles prises en compte dans les processus de création ? Quel processus de traduction (quels traductions, quelle formation, quelle qualité, etc.) ?

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L’Alliance vous souhaite une année 2017 aux couleurs de la bibliodiversité !

Un avant-goût des activités à venir :

Observatoire de la bibliodiversité
* Centre de ressources en ligne : cartographies des politiques publiques du livre en Amérique latine et dans le monde arabe…
* Recherches et innovations : le Labo numérique relooké ; étude sur l’implantation de pôles d’impression numérique en Afrique francophone
* Plaidoyer : réalisation d’une étude sur la liberté d’éditer ; journée professionnelle sur les politiques publiques du livre dans le monde arabe et en Europe, en partenariat avec la Foire du livre de Tunis.

Ateliers et rencontres thématiques
* échanges de savoir-faire et de pratiques entre pairs sur le numérique, l’édition en sciences humaines, les modèles économiques...
* partage d’informations et mutualisations entre structures de différents secteurs sur la notion d’indépendance, sur la gouvernance, l’économie sociale et solidaire…
* espaces dédiés aux échanges de droits : achats, ventes, trocs de droits entre indépendants
* présence collective des indépendants sur les foires du livre internationales : Francfort mais aussi salons du livre « alternatifs »...

Partenariats éditoriaux solidaires
* Publication des deux prochains titres de la collection « Terres solidaires » : Palestine d’Hubert Haddad et Ceux qui sortent dans la nuit, de Mutt-Lon
* Traduction en espagnol et allemand de Bibliodiversity, A Manifesto for Independent Publishing, de Susan Hawthorne
* Being Feminist Today, ouvrage collectif
* Coédition en espagnol de Manual de edición. Guía para tiempos revueltos, par Manuel Gil et Martín Gómez, publié originellement par le CERLALC

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Atelier sur la création et le graphisme dans l’édition jeunesse, Paris, 27-29 novembre 2016

En marge du Salon du livre et de la presse jeunesse de Seine-Saint-Denis, à Montreuil (30 novembre – 5 décembre 2016), douze éditeurs jeunesse et graphistes/illustrateurs du Bénin, Brésil, France, Madagascar, Maroc, Portugal et Togo se réunissent pour un atelier sur la création et le graphisme dans l’édition jeunesse. Les participants travailleront par binômes, à partir de projets éditoriaux en cours au sein de leur maison d’édition, sur l’agencement textes/images des albums, le traitement des photos, la particularité des ouvrages bilingues, le choix des tons et couleurs des couvertures… privilégiant ainsi l’échange de savoir-faire entre pairs.

L’atelier se donne les objectifs suivants :
• ouvrir de nouveaux horizons, aller vers de nouvelles approches, ne pas se laisser enfermer dans certains cadres et normes de travail ;
• questionner les savoir-faire et pratiques professionnelles des éditeurs et de leurs graphistes ;
• trouver collectivement des ressources et solutions pour contourner des points de blocages, des freins à la créativité ;
• mutualiser des outils existants (ou à créer) ;
• renforcer les partenariats professionnels entre éditeurs africains, brésiliens et européens.

Cet atelier s’inscrit dans le prolongement de celui organisé en novembre 2015 (Graphisme et illustration dans l’édition jeunesse – regards croisés Afrique-Europe), il est soutenu par le Centre national du livre, l’Institut français du Brésil et l’Institut français de Madagascar. Les intervenants et personnes ressources ont tous proposé d’intervenir à titre bénévole – nous les en remercions encore.

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Rencontre des collectifs européens et du Comité international des éditeurs indépendants, Paris, 15-17 octobre 2016

Les représentants de 6 collectifs européens (Allemagne, Espagne, Italie, Pologne, Russie et Suisse) se réuniront à Paris, à l’invitation du Comité international des éditeurs indépendants (CIEI). Cette rencontre a pour ambitions principales d’apprendre à se connaître, de partager des problématiques professionnelles, de projeter des partenariats, de construire les bases de relations futures. Il s’agit d’une première étape, nécessaire au renforcement d’une édition indépendante ouverte sur le monde, garante de la bibliodiversité.
Une partie de cette rencontre sera par ailleurs dédiée à la gouvernance de l’Alliance, ainsi qu’à un bilan de l’Observatoire de la bibliodiversité, quelques mois après sa création en juillet 2016.

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La Saison de l’Ombre

Auteur(s) : Léonora MIANO
Pays de parution : République de Guinée, Cameroun, Côte d’Ivoire, Maroc, Rwanda, Sénégal, Togo
Langue(s) : français
Prix : 2 500 FCFA ; 600 DA ; 45 DM ; 35 000 GNF ; 3 500 RWF

« Elles marchent côte à côte, serrées l’une contre l’autre, avancent à petits pas vers jedu. La végétation les empêche d’aller plus vite. Elles ne se sont pas munies d’un coutelas, pour trancher les branches rebelles. D’ailleurs, elles ont tout leur temps. Il en est ainsi, lorsqu’on ignore où l’on va : point n’est besoin de se hâter... De quoi s’inquiéter quand on a tout perdu ? »
Dire, avec les mots les plus justes, l’interminable douleur de ceux qui restent après le départ du grand « poisson de fer » des étrangers aux « pieds de poule », tel est le mérite de ce roman de Léonora Miano. Rarement un roman a su nous faire vivre avec autant d’émotion le désespoir et le désarroi des familles frappées en pleine nuit par le feu prédateur des négriers.

Née à Douala (Cameroun) en 1973, Léonora Miano vit en France depuis 1991. L’Intérieur de la Nuit, son premier roman, est paru en 2005. Une dizaine d’autres ont suivi depuis lors, recevant de nombreuses distinctions littéraires. Son écriture s’attache aux expériences subsahariennes et afrodescendantes, les inscrivant dans la conscience du monde. La Saison de l’Ombre a reçu le prix Femina 2013.

Date de publication de la version panafricaine : 2016, 11,5 X 19 cm
Édition première en France : Grasset (2013)

Une coédition solidaire « Le livre équitable ».

Collection Terres solidaires

Créée en 2007, la collection « Terres solidaires » est une expérience collective. Elle propose des textes littéraires d’autrices et auteurs africain.e.s, édités par un collectif de maisons d’édition en Afrique francophone. Grâce au principe de la coédition solidaire, les textes circulent, sont disponibles et accessibles pour les lecteurs africains ; l’écosystème du livre local est préservé et renforcé.
La collection « Terres solidaires » est soutenue par l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF).

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Bibliodiversité. Manifeste pour une édition indépendante

Auteur(s) : Susan Hawthorne ; Agnès El Kaïm (trad.)
Pays de parution : Cameroun, France, Mali, Suisse
Langue(s) : français
Prix : 9 € ; 10 CHF ; 3000 FCFA

« Un système économique et social est en état d’équilibre
dynamique lorsque des voix différentes peuvent être entendues ».

Inspiré de la notion de biodiversité, le terme « bibliodiversité » fait référence à un ensemble de publications variées dans le paysage éditorial, représentatives d’un système culturel équilibré où toutes les voix peuvent s’exprimer. Aujourd’hui, l’uniformisation des médias et la concentration des secteurs de l’édition et de la librairie favorisent le développement d’une culture standardisée et soumise, à grand renfort de campagnes marketing, à des exigences de rentabilité plus que d’originalité et de qualité. En quête d’une autre voix, les petits éditeurs indépendants entendent bien maintenir la diversité culturelle.

S’inspirant de son propre parcours, l’auteure, militante féministe australienne et éditrice indépendante engagée, fait ici le lien entre l’évolution de la place de la femme dans notre société et la bibliodiversité, entre l’oppression des femmes et celle
des créations à la marge, dédaignées par les poids lourds de l’édition. À l’heure du numérique et de l’autopublication, elle rappelle les fonctions indispensables de relecture et de mise en forme assurées par l’éditeur, qui garantissent la qualité d’un
ouvrage. Elle s’attache aussi à mettre en avant les talents d’innovation des petites structures indépendantes, développant une nouvelle forme d’ « écologie de l’édition » en marge des grosses structures vers une véritable bibliodiversité du XXIe siècle.

Une traduction de l’anglais vers le français, couplée à une coédition solidaire entre 4 éditeurs en France (éditions Charles Léopold Mayer), en Suisse (éditions d’en bas), au Mali (Jamana) et au Cameroun (Presses universitaires d’Afrique).

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Journée internationale de la bibliodiversité, 21 septembre 2016

La bibliodiversité… elle est le quotidien des éditeurs indépendants, ce qui les anime. Pourquoi en faire une journée spéciale alors ? Pour marquer le jour du printemps dans l’hémisphère Sud, pour que les livres occupent les espaces publics, pour échanger, se retrouver, partager, débattre, s’amuser… Parce que la diversité d’idées est indispensable à la construction de sociétés démocratiques, parce que les éditeurs indépendants en sont des acteurs, aux côtés des auteurs, des traducteurs, des illustrateurs, des libraires, des bibliothécaires…

Cette année, parmi les festivités et activités prévues :
Au Québec, les éditions Mémoire d’encrier organisent en partenariat avec la Maison de la Syrie une rencontre littéraire Syrie-Québec
En Syrie, les éditions Atlas Publishing réuniront des libraires et éditeurs au cœur de Damas
Au Chili, le collectif EDIN diffusera un catalogue des productions des éditeurs indépendants dans les principales bibliothèques du pays ; des animations filmées ponctueront la journée
En Colombie, les espaces publics (parcs, places publiques) seront investis par les éditeurs du collectif REIC
En Italie, les éditeurs indépendants membres de la FIDARE font entendre leurs voix dans un appel
En Espagne, le ministère de la Culture lance une campagne en faveur de la bibliodiversité
Au Pérou, le collectif EIP organise une foire du livre indépendant, du 23 au 25 septembre, à suivre sur Facebook
En Argentine, le collectif EDINAR prévoit des lâchers de livres, des rencontres...

Suivez l’ensemble des animations sur les réseaux sociaux et sur le blog du Jour B.

Et ici, la vidéo du Jour B 2016 !

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Les éditeurs indépendants à Francfort en 2016 !

Du 19 au 23 octobre prochain, retrouvez les éditeurs indépendants à la foire du livre Francfort : plus de 25 maisons d’édition indépendantes des quatre coins du monde seront présentes à Francfort !
Les contacts des éditeurs sont disponibles dans le document joint. N’attendez plus pour prendre rendez-vous !

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Observatoire de la bibliodiversité

Enquêtes, témoignages et sensibilisation sur les répercussions du don de livres à Madagascar, 2002-2015

Depuis plusieurs années, l’Association des éditeurs de Madagascar (AEdiM) et particulièrement l’une de ses membres, Marie Michèle Razafintsalama (éditions Jeunes malgaches), mène un travail d’enquêtes de terrain sur les dons de livres à Madagascar.

Différentes actions de sensibilisation ont été menées par cette éditrice auprès d’associations, organisations et professionnels localement mais aussi en France, qui portent leurs fruits progressivement, par exemple :

Lire aussi l’interview de Marie Michèle Razafintsalama publiée par le magazine en ligne ActuaLitté en novembre 2016 : « Madagascar : “À force de dons, les gens pensent que le livre ne s’achète pas.” »

Écouter ici l’émission « Cap Océan Indien », sur RFI, du 22 mai 2011 : L’appel de l’éditrice Marie-Michèle Razafintsalama.

Lire ci-contre les résultats des enquêtes sur le don de livres menées à Madagascar entre 2003 et 2012.

Ecouter l’interview de Marie Michèle Razafinstalama dans l’émission « Cap Océan Indien », sur RFI (22 mai 2011)

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La BD au Maroc : en attente de lecteurs

À première vue, le Maroc peut passer pour un pays où la bande dessinée est reine : le pays a abrité ou abrite plusieurs festivals de bande dessinée (Tétouan, Fès, Kénitra, Casablanca) et compte avec l’Institut National des beaux-arts de Tétouan, la seule filière BD de l’Afrique francophone. Malheureusement, la production de BD au niveau local ou dans la diaspora reste faible et la BD reste un genre mineur au Maroc, même si on constate un certain frémissement depuis quelques années. Retour sur une histoire vieille de plus de 50 ans.

Lire l’intégralité de l’article « La BD au Maroc : en attente des lecteurs », écrit par Christophe Cassiau-Haurie, publié par Africultures, le 23 mars 2017.

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Une opération de dons de livres en Côte d’Ivoire : quels impacts pour la bibliodiversité ?, juin 2017

Dans le cadre d’une convention signée en juin 2017 entre le ministère de la Culture de Côte d’Ivoire et le Syndicat national de l’Édition française (SNE), « les éditeurs français, via la société Electre, s’engagent à faire un don chaque année, de 5 000 livres de littérature générale, de jeunesse et de sciences humaines, destinés à enrichir et développer les fonds des bibliothèques nationales de Côte d’Ivoire. À travers ce texte, les parties partagent une volonté commune de développement de la Francophonie ainsi qu’une meilleure connaissance des livres de chaque pays ».

L’Association internationale des libraires francophones (AILF) et l’Alliance partagent dans un communiqué commun leurs réflexions et préoccupations et rappellent les possibles répercussions des dons de livres sur la chaîne du livre d’un pays.

Extrait du communiqué, 15 juin 2017 :
Nous invitons à se référer à plusieurs ressources et réflexions formulées par des professionnels du livre, des universitaires et des collectifs, recensées ici.

L’ensemble de ces témoignages, analyses et articles mettent en évidence certaines questions, fondamentales à prendre en compte pour toute opération de dons de livres, dont nous en rappelons les principales ici :
=> Prendre en compte les besoins des lecteurs pour que les ouvrages envoyés soient en adéquation avec leurs attentes, leurs langues, leurs envies : types d’ouvrages répondant à des besoins spécifiques identifiés
=> Travailler main dans la main avec les professionnels locaux :

  • Associer et travailler étroitement avec les bibliothécaires : les livres envoyés viennent-ils en complément de l’offre de la bibliothèque dans un souci de bibliodiversité ? Permettent-ils de constituer un nouveau rayon thématique ? Des animations sont-elles prévues pour que les lecteurs les découvrent ?
  • Associer les libraires et éditeurs locaux afin de respecter la chaîne du livre locale : comment faire en sorte que les dons ne viennent pas fragiliser et court-circuiter l’économie locale ?

=> Prévoir, en complément des opérations de dons de livres, des actions de soutien pérennes pour la filière locale.

Nous sommes attachés à inscrire ces recommandations en référence à la Convention sur la protection et la promotion de la diversité des expressions culturelles de l’UNESCO (2005).

Le développement du secteur culturel d’un pays – et en particulier celui du livre – est une des conditions d’émergence de la création ; garantit la vitalité d’un vivier de créateurs (auteurs, traducteurs, illustrateurs…) et de professionnels (bibliothécaires, éditeurs, libraires, diffuseurs…) ; génère un dynamisme économique. La Côte d’Ivoire en est une illustration exemplaire depuis plusieurs années. Il serait ainsi préoccupant que des opérations de dons viennent fragiliser l’écosystème local ; il serait regrettable que ces opérations ne prennent pas en compte le travail et les partenariats mis en place par les collectifs professionnels d’éditeurs et de libraires, au niveau national et international, depuis plusieurs années (coéditions francophones, travail sur les langues africaines, ateliers et formations…).

Nous rappelons par ailleurs qu’il existe d’autres manières de penser le don de livres :
=> S’appuyer sur un principe et des mécanismes de réciprocité : en contrepartie de 5 000 livres donnés, un achat de livres ivoiriens pourrait être réalisé pour les bibliothèques françaises – afin justement de renforcer « une meilleure connaissance des livres de chaque pays » ;
=> Monétiser le don dans une logique de redistribution : les 5 000 livres ne sont pas donnés mais vendus en France, et l’argent récolté est reversé à l’Association des éditeurs ivoiriens pour le prochain Salon International du livre d’Abidjan (cf. bibliobraderies organisées par Bibliothèques Sans Frontières) ;
=> Privilégier une logique de partenariats équilibrés entre professionnels : l’argent prévu pour le transport des 5 000 livres de France vers la Côte d’Ivoire n’est pas utilisé pour une opération de dons mais pour des rencontres entre éditeurs ivoiriens et français dans l’optique de cessions de droits ; pour des rencontres entre libraires ivoiriens et français dans l’optique de partenariats…

Il s’agit ainsi de trouver collectivement des systèmes de solidarité et de réciprocité, en adéquation avec les réalités du terrain. Ce sont ces formes de coopération et de liens qui assurent sur le moyen terme les bases de partenariats de confiance, la structuration pérenne et viable des marchés – garantissant également la conscientisation, l’éveil et l’émancipation des futures générations de lecteurs et citoyens.

Lire l’intégralité du Communiqué ci-contre.

Voir les articles publiés par ActuaLitté :

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Histoire de la bande dessinée en Côte d’Ivoire (3/3)

Peu de gens le savent, mais l’édition ivoirienne est l’une des plus anciennes du continent. Christophe Cassiau-Haurie documente en trois épisodes, l’histoire de la bande dessinée depuis les années 1960. En voici le troisième et dernier volet sur la décennie 2010.

Lire ici l’article publié par Africultures le 12 février 2019.

Retrouvez ici l’intégralité de « Histoire de la bande dessinée en Côte d’Ivoire (2/3) », par Christophe Cassiau-Haurie, publié par Africultures le 16 janvier 2018.
Et retrouvez ici l’Histoire de la bande dessinée en Côte d’Ivoire 1/3.

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Histoire de la bande dessinée en Cote d’Ivoire (2/3)

Après avoir retracé l’histoire de la bande dessinée en Côte d’Ivoire des années 1960 aux années 1990, Christophe Cassiau-Haurie nous plonge dans les années 2000.

La crise politique et militaire qui affecte le pays à compter de 2002 met un coup de frein aux activités des auteurs de BD (en particulier la publication d’albums) pendant près d’une décennie. Seules quelques productions locales sont visibles sur le marché national, beaucoup d’entre elles au tout début de la décennie.

Lire l’intégralité de « Histoire de la bande dessinée en Côte d’Ivoire (2/3) », par Christophe Cassiau-Haurie, publié par Africultures le 16 janvier 2018.
Et retrouvez ici l’Histoire de la bande dessinée en Côte d’Ivoire 1/3.

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Histoire de la bande dessinée en Côte d’Ivoire (1/3)

Peu de gens le savent, mais l’édition ivoirienne est l’une des plus anciennes du continent.
Les éditions CEDA sont nées en 1961. Elles ont été créées par l’Etat Ivoirien en partenariat avec les éditions françaises Hatier, Didier, Fouchier et Mame. Si l’Etat n’était actionnaire qu’à 25% à l’origine, il est passé à 51% en 1974. En 1972, sont créés à Dakar les NEA (Nouvelles Editions Africaines) avec une direction générale à Dakar et deux antennes à Lomé et Abidjan. Dix ans plus tard, les NEA Abidjan tentent une autonomie qui se solde par un dépôt de bilan en 1989.

Lire l’intégralité de « Histoire de la bande dessinée en Côte d’Ivoire (1/3) », par Christophe Cassiau-Haurie, publié par Africultures le 15 mars 2017.

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Des propositions et actions pour développer les partenariats éditoriaux solidaires

Ces recommandations et propositions sont extraites des 80 recommandations en faveur de la bibliodiversité, formulées lors des Assises internationales de l’édition indépendante (2012-2014).

Elles ont été formulées à partir de l’expérience et des pratiques au sein de l’Alliance internationale des éditeurs indépendants : elles concernent prioritairement les partenariats éditoriaux entre éditeurs des pays du Sud dans la mesure où les soutiens à l’édition dans ces pays sont souvent faibles, voire inexistants, et entre éditeurs du Sud et du Nord dans la mesure où ces échanges sont encore peu fréquents.

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Modèles de contrats pour des partenariats éditoriaux

L’Alliance tient à votre disposition des modèles de contrat type pour les partenariats éditoriaux suivants :

Pour toute demande de contrat type ou pour un conseil sur la mise en place d’un partenariat éditorial, n’hésitez pas à contacter l’équipe de l’Alliance.

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Les programmes de don de livre en Afrique : le temps venu pour une réévaluation ?, Raphaël Thierry / partie 2, 2015

Deuxième partie : Raphaël Thierry : Le don de livre, mais à quel prix, et en échange de quoi ? (un panorama du don de livre en Afrique francophone)

À venir dans African Research & Documentation, Revue de la SCOLMA (the UK Libraries and Archives Group on Africa), no. 127 (2015) [Publication 2017]

Retrouvez aussi l’article sur le site EditAfrica !

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Les programmes de don de livre en Afrique : le temps venu pour une réévaluation ?, Hans Zell / partie 1, 2015

Première partie : Hans M. Zell : le don de livre en Afrique de langue anglaise (en anglais)

À venir dans dans African Research & Documentation, Revue de la SCOLMA (the UK Libraries and Archives Group on Africa), no. 127 (2015) [Publication 2017]

Extrait de l’avant-propos de l’éditrice :
« C’est une très grande joie que de publier ce numéro d’African Research & Documentation (ARD). La Scolma est très reconnaissante à l’égard d’Hans Zell et de Raphaël Thierry pour avoir choisi de publier dans nos pages la totalité de leur étude consacrée aux programmes de don de livre en Afrique.
Comme l’affirment les auteurs, « le temps est venu pour une réévaluation » et nous espérons en cela que le débat qui suivra trouvera sa place dans les pages d’ARD, de même que sur internet. Je voudrai ici solliciter réactions et retours sur cette étude importante aussi bien que provocatrice en certains points. Les retours des bibliothèques destinataires seront particulièrement les bienvenus. »
Terry Barringer, éditrice, African Research & Documentation

Retrouvez aussi l’article sur EditAfrica !

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