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L’Alliance

Indie Book Day, mois de mars

L’Indie Book Day a été créé en 2013, à l’initiative d’éditeurs indépendants en Allemagne, il s’est internationalisé en 2017 grâce à des collectifs d’éditeurs indépendants dans le monde et à l’Alliance.

Mode d’emploi : le 3e dimanche du mois de mars, les lecteurs sont invités à aller dans une librairie indépendante, acheter un livre édité par un éditeur indépendant, et publier une photo du livre sur les réseaux sociaux, avec le hashtag #indiebookday. Les libraires et les éditeurs peuvent organiser une campagne de communication commune en amont, pour informer les lecteurs par exemple (affiches dans les librairies, informations sur les réseaux sociaux et sites Internet, etc.).

Retrouvez ci-contre les logos de l’Indie Book Day et ici la page officielle de l’Indie Book Day.

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Journée internationale de la bibliodiversité (Jour B), 21 septembre

Le Jour B a été créé en 2010, à l’initiative d’éditeurs membres du réseau hispanophone de l’Alliance en Amérique latine.

Il se déroule toutes les années dans plusieurs pays, et notamment en Amérique latine. Le 21 septembre, jour du printemps dans l’hémisphère Sud, les éditeurs, libraires, l’ensemble des professionnels du livre mais aussi le public sont invités à célébrer l’édition indépendante, la diversité éditoriale.

Mode d’emploi : toutes les idées et activités sont les bienvenues, qu’elles soient à l’initiative d’un éditeur, d’un collectif d’éditeurs, de libraires, d’auteurs, de lecteurs, etc. : bookcrossing, pique-nique littéraire, rencontres professionnelles, lectures, émissions radio, articles de presse…

Voir ici la carte sonore littéraire et multilingue pour le Jour B 2021 (et les 20 ans de l’Alliance).

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Retrouvez ci-contre les logos du Jour B à télécharger et ici le blog du Jour B.

Visualisez ici toutes les vidéos du Jour B.

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Manual de edición. Guía para estos tiempos revueltos

Auteur(s) : Manuel GIL
Pays de parution : Argentine
Langue(s) : espagnol

Nouvelle édition publiée en 2017 par la marca editora (Argentine), en coédition avec EDINAR (Argentine) et le CERLALC.
Ouvrage de référence publié initialement par le CERLALC.

ISBN : 978-950-889-299-7
264 pages / 20 X 25 cm

Pour en savoir plus.

Voir également ci-dessous l’édition péruvienne du Manual de edición, éditée par La Travesía Editora, maison d’édition péruvienne, membre du collectif EIP au Pérou.

« Manual de edición », La Travesía Editora, Perú

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Les cheveux de Cora / Ny volon’i Cora

Auteur(s) : Ana Zarco CÂMARA (texte) ; Taline SCHUBACH (illustrations)
Pays de parution : Madagascar
Langue(s) : français , malgache
Prix : 16 0000 Ar (4 €)

Album illustré jeunesse – édition bilingue français-malgache
Traduit du portugais (Brésil) vers le français par Joana Cabral, traduit en malgache par Veloniaina Rabakoly

Éditions Jeunes Malgaches, 2014, 32 pages
Édition originale : Pallas Editora (Brésil)

ISBN : 978-2 916362-42-7

Ce livre est issu de plusieurs rencontres entre les éditrices et éditeurs membres de l’Alliance internationale des éditeurs indépendants (« Groupe jeunesse » de l’Alliance), lors de salons du livre (stand collectif jeunesse) et dans le cadre d’ateliers autour de la littérature jeunesse. Ces temps de partage, de connaissance mutuelle, d’échanges, de savoir-faire favorisent des partenariats éditoriaux inédits. En soutenant et favorisant ces partenariats, les membres de l’Alliance participent à la circulation des textes et des idées d’un continent à un autre, mais aussi d’une langue à une autre. À travers ces partenariats éditoriaux solidaires, il s’agit aussi de développer des flux de traduction encore « rares », par exemple ici du portugais du Brésil vers le malgache.

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Kofi et le petit garçon de feu

Auteur(s) : Nei LOPES (texte) ; Hélène MOREAU (illustrations)
Pays de parution : Bénin
Langue(s) : français

Kofi était enfant dans un village du Ghana, au temps où ce pays s’appelait la Gold Coast et était une colonie anglaise. Il avait entendu dire qu’il existait des gens qui avaient des cheveux clairs et des peaux blanches, peaux qui rougissaient quand ils étaient en colère et qui, alors, pouvaient brûler celui qui les touchait. Imaginez alors son inquiétude quand il se trouva face à un jeune Anglais, venu en visite avec son père, chef d’une délégation officielle. Le petit Blanc, lui, pensait que le noir de la peau s’effaçait au toucher… Tous ces présupposés écartés, leur sourire et leur poignée de main sont des plus sincères. Cette histoire, porteuse de leçon sur l’importance de la rencontre pour dépasser les préjugés, est servie par un texte qui reflète bien le point de Kofi avec toute sa naïveté. Les illustrations aux belles couleurs chaudes modèlent formes et lumières.
Les dernières pages du livre sont consacrées à un intéressant dossier documentaire sur le Ghana.
Présentation du livre : © Nathalie Beau (Takam Tikou)

Traduit du portugais (Brésil) vers le français par Flavio Corrêa de Mello

Ruisseaux d’Afrique (Bénin), 2012 ; 37 pages
Édition originale : Pallas Editora (Brésil)

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Atelier sur l’édition numérique et les langues africaines à Conakry (Guinée Conakry), 20-23 novembre 2017

Après Ouagadougou, Tunis, Dakar, Abidjan… c’est à Conakry – capitale mondiale du livre de l’Unesco en 2017 – que se tiendra le prochain atelier numérique de l’Alliance, réunissant plus de 15 éditeurs d’Afrique de l’Ouest, d’Afrique centrale et de Madagascar. Cet atelier, animé par des éditeurs et typographes, explorera les outils numériques permettant de résoudre les problèmes typographiques rencontrés dans la réalisation d’ouvrages en langues locales. Découvrez ci-contre le programme et la liste des participants.

Cet atelier est soutenu par l’Organisation internationale de la Francophonie et mis en place grâce au partenariat avec les éditions Ganndal, éditeur membre de l’Alliance en Guinée Conakry.

Les éditions Ganndal, qui fêtent leurs 25 ans en 2017, organisent par ailleurs plusieurs activités à cette période, qui se tiendront au Centre culturel franco-guinéen. Les éditeurs participant à l’atelier prendront part à tout ou partie de ces événements, et interviendront notamment lors du colloque sur la littérature jeunesse en Afrique :
Colloque sur le livre de jeunesse en Afrique : du 22 au 23 novembre
Salon du livre de jeunesse : du 23 au 26 novembre
Colloque sur les défis de la promotion et de la distribution des livres en langues africaines : du 27 au 28 novembre
Retrouvez ci-contre la présentation de l’ensemble des activités organisées par les éditions Ganndal et le programme du colloque sur la littérature jeunesse en Afrique.

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HotList 2017 des éditeurs indépendants latino-américains !

WHY A HOTLIST ?

In 2009, together with the members of EDINAR (Argentinean Alliance of independent publishers), we decided to launch a promotion strategy, following the “Young independent Germans” : a HotList.

Against the tendentious ranking of the most sold out books published in the newspapers, every member of the collective had to choose one book among her/his new books -the one that she or he saw as the most outstanding, for whatever reason. With all EDINAR publishers, we thus formed a list, promoted at the same time by a group of booksellers from Buenos Aires who arranged a special table dedicated to this list in their bookshops during one month.

In 2010, Argentina was Guest country of Frankfurt Book Fair and the Argentinean National Book Chamber had a spacious booth with a strong presence of local publishing, which did not include many independent publishers. However, the Hotlist had an outstanding exhibition space in this Fair : thanks to a German colleague, curious publisher, philoanarchist, employed by the Fair, we got a well-situated booth and the possibility to exhibit our HotList.

Because a lot of Latin-American publishers cannot travel every year to Frankfurt, we have reminded this adventure and decided to implement it again this year, extended to Spanish-speaking publishers from Latin America, in order to give a better visibility to the vibrant Latin-American independent publishing, in the biggest commercial Book Fair of the World.

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This HotList presents a selection of about 40 books published in Peru, Colombia, Argentina, Uruguay, Chile… exhibited in the “Reading Island for Independent Publishers” (Pavilion 4.1) of the Frankfurt Book Fair, thanks to the cooperation of the Kurt Wolff Stiftung, group of German independent publishers.

We hope you will appreciate !

Guido Indij
Argentinean publisher, coordinator of the Spanish-speaking network of the International Alliance of independent publishers

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Rencontre du Comité international des éditeurs indépendants (CIEI) à Paris (France), 7-9 octobre 2017

Les 9 coordinateurs et vice-coordinateurs des 6 réseaux linguistiques de l’Alliance, le Bureau et l’équipe de l’Alliance se retrouvent pour le CIEI, rencontre annuelle essentielle dans la gouvernance de l’association. Au programme : politiques publiques du livre en Afrique subsaharienne, Amérique latine et dans le monde arabe ; l’Europe et l’Alliance ; stratégie et gouvernance ; l’Alliance de demain...

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Francfort en français : appel à la cohérence pour plus de bibliodiversité

Alors que s’ouvre d’ici quelques semaines la Foire du livre de Francfort (11-15 octobre 2017), mettant à l’honneur la France et les langues françaises, l’Alliance internationale des éditeurs indépendants souhaite rappeler certains enjeux essentiels pour les éditeurs indépendants et la bibliodiversité, tels qu’exprimés par les 400 éditeurs de 50 pays en 2014, dans la Déclaration internationale des éditeurs et éditrices indépendants.

La France a souhaité, dans le cadre de son invitation à Francfort, accorder une place aux éditeurs du Sud et nous nous félicitons de cette belle opportunité. Nous espérons ainsi que cette ouverture constituera une étape supplémentaire pour que les professionnels francophones apprennent à se connaître davantage, à dialoguer et échanger. Ces rapports de confiance et de curiosité, qui sont au cœur de l’Alliance, ont en effet fait leur preuve depuis plus de 15 ans, ayant donné naissance à des coéditions et des traductions inédites entre les continents.

Cependant, d’autres aspects de « Francfort en Français » vont à l’encontre de cette dynamique positive. Des opérations de dons de livres de la France vers l’Afrique, entre autres, sont ainsi organisées à Francfort cette année. En particulier, les 30 000 livres qui seront présentés sur le Pavillon français sont destinés à être distribués dans plusieurs pays à l’issue de la Foire – et ce alors même qu’une vingtaine d’éditeurs africains sont invités à prendre part à la Foire, sur un stand « Afrique/Haïti ». Comme nous le mentionnions dans plusieurs communiqués et dans le programme de nos activités à Francfort (voir ici), les dons de livres, même s’ils procèdent d’une bonne intention, peuvent venir fragiliser l’économie locale de la chaîne du livre. Ils représentent aussi une hégémonie culturelle violente s’ils ne sont pas précautionneusement pensés avec les professionnels du livre des régions destinataires qui sont les relais et médiateurs auprès des lecteurs.

Nous appelons ainsi à la responsabilité de chacun : pouvoirs publics, associations et professionnels, pour que ces dons soient faits en concertation avec les éditeurs africains présents mais aussi en dialogue avec les libraires locaux africains. Il s’agit des conditions élémentaires pour des échanges équilibrés et respectueux de l’environnement des acteurs.

Il est urgent de repenser le don de livres. Il est prioritaire d’encourager et de soutenir des partenariats éditoriaux équitables et pérennes.

Nous espérons que la volonté de montrer la francophonie dans sa diversité et pluralité à Francfort s’accompagnera d’actes significatifs de la part des pouvoirs publics au Nord comme au Sud. Il est en effet indispensable qu’une volonté politique accompagne un changement de prisme et de rapports entre les pays de la francophonie.

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Solidarité avec le peuple mexicain, 22 septembre 2017

Le 21 septembre, nous fêtions dans le monde entier la Journée internationale de la bibliodiversité. Au Mexique, après le terrible séisme survenu le 19 septembre, l’heure est au constat : des victimes, des rues dévastées, des centaines et des centaines de personnes sans toit…

L’Alliance internationale des éditeurs indépendants témoigne – en ces jours de célébration de la diversité culturelle, de la circulation des idées et des textes – sa solidarité avec le peuple mexicain.

L’Association des éditeurs indépendants mexicains (AEMI), collectif membre de l’Alliance, propose ainsi de collecter des ouvrages auprès des éditeurs latino-américains, afin de les offrir notamment aux enfants et jeunes mexicains – pour que les imaginaires ne se referment pas sur cette catastrophe, que les histoires et mots d’ailleurs viennent les accompagner dans ces moments douloureux.

La bibliodiversité, c’est aussi cela : faire attention au monde qui nous entoure, rester éveillés et conscients, être solidaires.

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Observatoire de la bibliodiversité

Les éditeurs d’Afrique francophone sur l’échiquier du « glocal » (1980-2019), par Raphaël Thierry

Résumé de l’article

Entre les langues, les marchés et les labels, l’édition africaine représente un objet constant de discours. Celle-ci interroge en permanence notre regard sur le livre et notre relation à l’offre éditoriale internationale. Le temps est désormais révolu où le discours quasi unique concernant l’édition en Afrique portait sur la prétendue « famine du livre » continentale liée à la crise économique des années 1980. Depuis trois décennies, les marchés du livre n’ont fait que croître sur le continent, diversifiant leur production à travers une circulation des livres et de l’information éditoriale toujours plus intensives et transnationales. L’édition africaine demeure toutefois bien souvent présentée à travers les difficultés rencontrées par ses agents plutôt que, précisément, leur capacité d’agentivité (« Agency »). Indiscutable, historiquement établi, le livre africain se fait pourtant le miroir de la globalisation éditoriale et de ses flux économiques. Les enjeux économiques qui y ont cours reflètent alors les inégalités, les alternatives – les marges, aussi – d’un monde du livre toujours davantage concentré. L’édition africaine participe de même à un double questionnement : en Afrique, elle doit défendre sa légitimité économique et intellectuelle en fonction de contextes sociopolitiques évolutifs et de marchés éducatifs en situation d’extraversion ; à l’international, elle doit se positionner vis-à-vis de l’édition non africaine de littérature et de non-fiction qui concentre la majorité de la production intellectuelle africaine dans le monde. En étudiant les discours sur le livre africain, discours d’éditeurs africains et évolution du marché international du livre africain francophone depuis les années 1980, cette réflexion se propose d’interroger la relation entre l’industrie du livre en Afrique et le phénomène de mondialisation du livre, afin de mettre au jour un tissu permanent d’échanges, de tensions et d’influences, faisant du marché du livre africain un espace « glocal », s’il en est.

Lire l’article dans son intégralité ici.

Thierry, R. (2019). Les éditeurs d’Afrique francophone sur l’échiquier du « glocal »
(1980-2019). Mémoires du livre / Studies in Book Culture, 10 (2).
https://doi.org/10.7202/1060972ar

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Les politiques publiques du livre (dossier de la revue Bibliodiversity)

Contactez l’équipe de l’Alliance pour vous procurer gratuitement la version numérique de ce numéro dédié aux politiques publiques du livre.

Publication : juin 2019
La revue Bibliodiversity est coéditée par Double ponctuation et l’Alliance internationale des éditeurs indépendants.
Voir tous les autres numéros de la revue (« L’Auto édition », « Édition et engagement »...).

Présentation du numéro :
De la censure à la protection la plus appuyée, les interventions publiques dans le secteur du livre prennent des formes variées.
Composé d’articles universitaires, de témoignages de professionnels du livre et de deux analyses régionales inédites (Afrique subsaharienne francophone et Amérique latine hispanophone), ce numéro nous emmène de la Russie à la Suisse, en passant par la Syrie, le Liban, la Tunisie, le Maroc, le Québec, la France et l’Argentine.
Il tente de répondre à une question : l’intervention des pouvoirs publics favorise-t-elle la diversité éditoriale ?

Sommaire du numéro « Les politiques publiques du livre » :

  • « Les interventions publiques dans le secteur du livre. Objectifs, formes, niveaux de développement et principales caractéristiques », par Étienne Galliand, rédacteur en chef de Bibliodiversity
  • « Fédéralisme et cohésion. Les nouvelles politiques du livre en Suisse », par Carine Corajoud, historienne (Suisse)
  • "Une autonomie relative. Analyse comparative des marges de manœuvre
    de l’édition publique en France", par Hélène Seiler-Juilleret, École des hautes études en sciences sociales (France)
  • « Négocier le contrôle, promouvoir la lecture ? Éditeurs indépendants face à l’État dans la Russie des années 2010 », par Bella Ostromooukhova (France et Russie), Sorbonne Université
  • « Maroc : livres en déshérence. Les lacunes de l’implication des pouvoirs publics dans le secteur du livre et de l’écrit », par Anouk Cohen (France et Maroc), CNRS et Kenza Sefrioui, docteure en Littérature comparée, critique littéraire et éditrice (Maroc)
  • « Les politiques publiques du livre en Tunisie ». Témoignage de Nouri Abid, éditions Med Ali (Tunisie)
  • « Les politiques publiques du livre en Syrie ». Témoignage de Samar Haddad, Atlas Publishing (Syrie)
  • « Les politiques publiques du livre au Liban. Le regard d’un libraire ». Témoignage de Michel Choueiri, librairie Culture & Co (Liban et Émirats arabes unis)
  • « Les politiques publiques du livre en Afrique subsaharienne et à Madagascar. Analyse transversale de données récoltées dans 12 pays », par Luc Pinhas, université Paris 13 Villetaneuse (France)
  • « Édition et pouvoirs publics : le cas du Québec. Ou de l’influence des actions publiques sur l’indépendance éditoriale ? », par Pascal Genêt, université de Sherbrooke (Québec-Canada)
  • « Lois, politiques publiques, institutions et dispositifs d’appui au livre et à la lecture en Amérique latine. Analyse des données récoltées dans 10 pays », par Andrés E. Fernández Vergara, université du Chili
  • « De la culture vers l’économie. Analyse d’un programme public de soutien à l’édition locale à Buenos Aires : Opción Libros », par José de Souza Muniz Jr., Centre fédéral d’éducation technologique de Minas Gerais (Brésil)

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Publishing & the Book in Africa : A Literature Review for 2018, par Hans M. Zell

Publishing & the Book in Africa : A Literature Review for 2018 : découvrir le 4e volume d’une série d’études consacrées à la littérature et à la filière du livre en Afrique subsaharienne.

Lire la version pré-imprimée ici.

A paraître dans The African Book Publishing Record, volume 44, numéro 2, (mai 2019)
Réimprimé avec l’autorisation de l’auteur. Copyright © Hans Zell Publishing Consultants 2019

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Le marché du livre africain francophone et ses enjeux géopolitiques, Raphaël Thierry, 2017

Le marché du livre africain francophone et ses enjeux géopolitiques (version non-éditée).
Le livre africain et « l’’esprit du temps »
par Raphaël Thierry, 2017.

Lire ici l’article dans son intégralité sur Academia.edu.

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African Book Industry Data & the State of African National Bibliographies, by Hans M. Zell

African Book Industry Data & the State of African National Bibliographies :
lire ici la version en ligne (ou fichier ci-contre).

Publié dans The African Book Publishing Record, Volume 44, Issue 4 (Dec 2018) : 363-389.

Mise en ligne avec la permission de l’auteur.
Copyright © Hans Zell Publishing Consultants 2018

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Aux origines de la BD camerounaise

À l’occasion de la tenue de la 9ème édition du Mboa BD, festival international de bandes dessinées du Cameroun, Christophe Cassiau-Haurie revient sur les tous premiers pas de la BD camerounaise, en particulier à travers les premières planches publiées dans le journal Cameroun Tribune au milieu des années 1970. Cet article renforce et complète son ouvrage L’histoire de la bande dessinée au Cameroun, parue en 2015.

Lire l’article intégral : « Aux origines de la BD camerounaise », par Christophe Cassiau-Haurie, publié par Africultures le 29 novembre 2018.

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L’Auto-édition (janvier 2019) / Sylvie Bosser, coordinatrice

Prix de vente (version papier) : 10 euros ; 15 dollars canadiens ; 10 francs suisses ; 6 000 francs CFA.
Numéro ISSN : 2650-0205

Présentation du numéro :
S’éditer soi-même est de moins en moins perçu comme un geste égocentré, narcissique – voire revanchard. Contourner la fonction sélective d’un tiers (l’éditeur) au profit d’une relation directe au lecteur potentiel – que cela soit par choix ou par obligation, lorsque l’on a été rejeté par ceux « de la place » – semble au contraire en parfaite adéquation avec l’air du temps, qui prône l’horizontalité des rapports, l’absence d’intermédiaire et la relation directe du producteur au consommateur, les circuits courts, la méfiance des experts, des élites et de la comitologie.
Si l’auto-édition est décomplexée, elle est surtout dynamique sous format numérique, où les barrières à l’entrée sont aujourd’hui négligeables. Pour autant, l’auto-édition est-elle vecteur de bibliodiversité ?
La notion « d’indépendance » est elle aussi questionnée par cette évolution de la production. En effet, on parle très couramment aux États-Unis d’auteurs ou d’ebooks « indies », cette figure de l’auteur indépendant étant elle aussi maintenant assimilée et revendiquée dans le contexte hexagonal. Mais de quelle indépendance s’agit-il ?

Sommaire du numéro « L’Auto-édition » :

  • L’auto-édition : un vecteur de bibliodiversité ? / Par Sylvie Bosser, université Paris 8
  • De l’auto-édition en littérature française.
    Mise en perspective historique d’une pratique éditoriale multiforme / Par Olivier Bessard-Banquy, université Bordeaux-Montaigne
  • Les auteurs auto-édités sur Kindle Direct Publishing.
    Motivations, identités, pratiques et attentes / Par Stéphanie Parmentier, université Bordeaux-Montaigne
  • L’auto-édition de bandes dessinées.
    Une voie d’entrée spécifique au sein du champ éditorial / Par Kevin Le Bruchec, université Paris 13
  • Le tiers (in)visible.
    Le mentorat littéraire, un processus favorisant l’auto-édition ? / Par Marie Caffari et Johanne Mohs, Haute école des arts de Berne
  • Autopublication : un phénomène singulier par sa nature, son ampleur et ses acteurs.
    Radiographie de l’autopublication en Amérique latine et au-delà / Par Daniel Benchimol, pour le CERLALC
  • L’auto-édition littéraire au Maroc.
    Conditions, enjeux et significations sociales d’une pratique culturelle en expansion / Par Kaoutar Harchi, Centre de recherche sur les liens sociaux
  • L’auto-édition en Iran.
    Histoire d’un dilemme sur fond d’audace / Témoignage d’Azadeh Parsapour, éditrice
  • Les Éditions du Net.
    Un entretien avec Henri Mojon / Conduit par Sylvie Bosser, université Paris 8

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Le livre et l’édition et l’économie sociale et solidaire, Thierry Quinqueton, septembre 2018

« Le livre et l’édition et l’économie sociale et solidaire » (septembre 2018), mémoire réalisé par Thierry Quinqueton (membre du Bureau de l’Alliance), Master 2, « Droit et développement de l’économie sociale et solidaire », Faculté de droit et de sciences sociales de l’Université de Poitiers.

Plan du mémoire :
1. Le livre et l’édition abordent les thématiques de l’économie sociale et solidaire
2. Les thématiques de l’économie sociale et solidaire interrogent le livre et l’édition
3. Les potentialités pour le livre et l’édition des sociétés coopératives d’intérêt collectif et des coopératives d’activité et d’emploi

Extrait (introduction) :
Le champ du livre et de l’édition – indissociablement économique et culturel – et le champ de l’économie sociale et solidaire – comme relevant à la fois du mouvement social, du renouvellement de la pensée sur l’économie et de l’expérimentation de nouvelles formes d’activités – ne sont pas des champs clos. L’ambition de ce travail est de contribuer à l’exploration de leurs croisements, en intégrant une vision prospective : en quoi le champ de l’économie sociale et solidaire a-t-il intérêt que se développe et se renforce une offre de livres pour structurer le débat public autour de son objet ? En quoi le monde du livre et de l’édition a-t-il intérêt à prendre en compte les formes nouvelles d’activités économiques développées par l’économie sociale et solidaire pour répondre à certains des défis auxquels il est confronté ?

Lire l’intégralité du mémoire ici !

Pour accéder à l’« Editographie francophone pour l’économie sociale et solidaire » (parcours dans les catalogues de 56 maisons d’édition, annexe I au mémoire) sur Google drive ou sur Calameo.

Pour accéder au parcours « Des coopératives dans le secteur du livre et de l’édition » (présentation des sociétés coopératives participatives - SCOP, des sociétés coopératives d’intérêt collectif - SCIC et des entrepreneurs des coopératives d’activité et d’emploi - CAE du secteur du livre et de l’édition, annexe II au mémoire) sur Google drive ou sur Calameo.

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Les coéditions, les partenariats au sein de la francophonie : expérience et témoignage de Béatrice Lalinon Gbado, Ruisseaux d’Afrique (Bénin)

Retranscription de l’intervention de Béatrice Lalinon Gbado (éditions Ruisseaux d’Afrique au Bénin), lors de la table ronde sur « les partenariats éditoriaux » sur la scène du Pavillon d’honneur, à la Foire du livre de Francfort, octobre 2017.
Propos recueillis par Katja Petrovic, BIEF.

Extraits :
« Ce que nous avons fait, c’est de lancer des coéditions très tôt, depuis 2002, des coéditions qui ont engagé des maisons d’édition de Tunisie, de Guinée, de la Côte d’Ivoire, du Togo, du Sénégal et d’autres pays et qui ont permis de créer des collections qui ont généré jusqu’à 80 titres diffusés dans tous ces pays à la fois, ce qui nous a permis de régler les problèmes de distribution, de production, de qualité aussi de ce que nous mettions au service des enfants.

Quand nous rentrons dans le rapport Sud-Nord, les réalités ne sont pas les mêmes et on peut se poser la question sur le positionnement des éditeurs du Nord par rapport aux éditeurs du Sud.

Tout à l’heure, j’ai entendu qu’il y a des lignes qui bougent mais elles bougent comment et dans quelles proportions ? Est-ce que les chasses ne sont pas toujours gardées, est-ce que cette francophonie que nous voulons promouvoir, que nous disons promouvoir, est-ce que nous sommes vraiment prêts à nous ouvrir ou est-ce que nous pensons toujours que nous avons des leçons à donner.

La question est de savoir si l’on peut entrer en relation à égalité. C’est-à-dire accepter que celui qui s’en vient là, même si je ne suis pas d’accord avec son projet, c’est un projet qui a de la valeur, que je peux accepter et partager demain, qu’il a toujours accepté et partagé ma forme de penser, ma forme de diffuser cette pensée, etc. C’est le problème clé, il faut qu’on résolve ce problème de regard et de posture dans la relation. »

Lire l’intégralité de l’intervention ici :

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